samedi 8 mars 2014

Direction Vientiane la capital.

6 mars 2014

Malgré tout j'ai quand même passe une bonne nuit, couché sur le dos et le bras soulevé par un oreillé.
A 07:30hre. un tuk tuk nous attend devant notre Guesthouse pour nous conduire à la station de bus.
Nous prenons cette fois un petit bus de transport local. Un maximum de 27 passagers, 2 sièges d'un côté de l'allé et un siège de l'autre. Je suis assis dans le siège seul et je peu accoter mon bras sur un accoudoir. Les bancs sont quand même confortables. Manon est de l'autre côté de l'allé, avec deux sièges à elle seul.
Tout le long du trajet nous embarquons des gens et personne ne vas s'assoir avec Manon?????
Nous sommes les seuls étrangers dans le bus, et personne ne parle l'anglais.
Quand nous quittons Phonsavanh la route est en asphalte et assez droite.
Trente minutes plus tard, c'est la distribution des petits sacs à vomi, mauvais présage ça! On prend pas de chance on en prend chaque un, pis sort les gravols 
on sais jamais.
La on se met à monter et à prendre des courbes, ça recommence, je sais pas si ça vas être comme ça tout le long, mais on a pour huit heure de route.
Une chance que le paysage est beau, nous traversons souvent des villages.

Ici contrairement à la route que nous avons fait voilà deux jours, on dirait qu'est les villageois sont bûcherons, nous croisons beaucoup de camion transportant du bois. Le long des routes, nous voyons de petit moulin à scie. 
La circonférence de ces arbres est impressionnante, j'ai vue des camions ne transportant que 3 billots tellement ils étaient gros.
Le paysage est beau, plus beau que voilà deux jours et différent. 
Depuis que nous sommes parti de la ville chaque côté de la route c'est de la terre rouge et poussiéreuse.
Les villages que nous traversons sont tous sur cette terre rouge, la seul route pavé des villages est la grande route qui les traverses, les autres routes sont en terre.
La route principal est en meilleur condition ici, mais pas beaucoup plus.
Malgré les courbes ça vas bien, pour Manon et moi, mais les paysans qu'on embarque on de la difficulté. 
Le petit monsieur assis derrière Manon, à le corps sorti par la fenêtre, il ne supporte pas, la chemise grande ouverte en bédaine il essai de récupérer, sans succès, les petit sacs se font allé, "y en avait du lunch dans ce petit corps là".
C'est un villageois qui à été embarquer en montagne, lui y'a hâte d'arriver.
Vers l'heure du midi nous prenons une route secondaire et poussiéreuse et faisons une halte pour dîner.
Le petit monsieur lui y a pas faim.
Quand nous repartons, nous reprenons la route de poussière et reprenons les montagnes. Mais là tenez vous bien, c'est une route de terre, c'est très étroit, beaucoup de bosse et trous, il y a toujours des courbes.
Le chauffeur doit être très alertes, certain endroit seul un véhicules peut passer et pourtant on croise des camions et des citernes.
Les gens dans le bus se cache le nez et la bouche avec un linge, c'est une route de brousse.
Là je dois avouer que mon épaule me fait mal, je ne peut surtout pas accoter mon bras. Ça commence à être moins le fun.
Nous en avons eu pour une heure de route comme ça, Manon avait la chance de pouvoir s'étendre sur les deux sièges, vue que personne ne veux s'assoir avec.
J'étais soulagé quand nous sommes arrivé sur la route asphalté.
Nous sommes enfin arrivé à la station de bus de Vientiane après huit heure de route.
Tuk tuk et direction le centre ville pour se trouver une chambre. 
Ça nous a pris 20 minutes avant de trouver un endroit à bon prix, 100,000 kip ($13.98) salle de bain privé, eau chaude et air climatisé.
Pas d'excitation ce soir, demain direction l'hôpital.