dimanche 30 mars 2014

Bangkok 12e jour.

( 29 mars 2014 )

Aujourd'hui nous allons visiter le Wat Arun Ratchawararam.      
Depuis le temps vous avez compris notre façon de procèder.
Le matin on visite, l'après-midi on récupère, sinon on ne feras pas tout l'année.
Pour se rendre au Wat Arun Ratchawararam il faut traverser de l'autre côté de la rivière Chao Phra Ya.
On se rend prendre le bateau taxi au quai le plus près.
Se qui devait nous prendre environs 15 minutes nous à pris une heure.
Comment ça? 
C'est simple, quand tu débarque pas au bon endroit, t'arriveras jamais à destination.
Deux fois nous sommes passé devant le Wat sans que le bateau s'arrête.
Il faut débarquer avec le bateau sur ce côté-ci de la rivière et prendre un traversier pour accéder à l'autre rive.
Enfin arrivé (en sueur) au Wat, je sais, je sais....JE SAIS.
Vous allez dire encore un temple. OUI, encore un temple, MAIS.....je vous ai dit aussi qu'il y a toujours un MAIS quand il est question des temples.
Tout simplement (je me répète) parceque chaque temple à quelque chose de particulier.
Ici c'est sont STUPA ou CHEDI (je me rappelle plus c'est quoi la différence). 
Il est immense plein de gravures et sculptures et on peut monter dessus.

Plus on monte en hauteur plus la pente est accentué, je défierais quiconque de monter les marches sans utiliser les mains.

Nous avons une très belle vue sur la ville de Bangkok et de la rivière.

Il y a ici un petit temple dont l'entré est protégé par deux grosses statues aux allures meneçantes.
Il n'y a pas foule, c'est parfait pour se balader.
Nous cassons la croûte sur place, avec un petit pic nique, à l'ombre et vue sur cette immense Stupa (ou chedi).
Dans l'après-midi, retour à la chambre, c'est la pause.
Au souper on retourne sur la rue Sambuttri pour un petit bain de foule, mais nous la quittons avant la cohue de 20:00hre.

samedi 29 mars 2014

Bangkok 11e jour

( 28 mars 2014 )

La nuit à été dur, à croire qu'hier quand j'ai rencontré mon docteur, qu'ils ont nettoyé la plaie et changer mes pansements, ça causé du stress à mes muscles de l'épaule, j'ai eu mal dans la nuit.
Quand même, on n'est pas pour resté encabané dans notre chambre.
Manon me suggère d'aller visiter le Chinatown! Pourquoi pas!
Aussitôt dit aussitôt fait....non c'est vrai, avant on a fini nos café et on à déjeuner dans la chambre.
Là c'est vrai, après le café, nous sommes partis direction la rivière pour prendre un bateau taxi.
C'est agréable de prendre ce bateau et c'est rapide.
Le bateau nous débarque tout près du quartier chinois.
En sortant du bateau, juste avant de prendre la ruelle, un type nous accoste et nous demande ou nous allons. Nous lui disons que nous allons dans le Chinatown, il désire savoir ou exactement, nous lui faisons part qu'on a pas d'endroit précis que nous marchons seulement. Il nous averti qu'il y a présentement une manifestation dans la partie nord-ouest du Chinatown et nous demande d'éviter ce secteur.
Je ne sais pas s'il a l'intention de nous faire peur, mais il imite par geste, qu'il peut y avoir des coups de feu.
On lui fait part qu'on vas éviter ce secteur.
Étrangement ce type n'a pas essayé de nous vendre quoi que ce soit, ou nous proposer de nous guider.
Je ne serais pas surpris que ce sois un policier en civil, il était proprement habillé de pantalon noir, chemise blanche à manches longues et cravate.
Quand nous sommes revenu pour prendre la bateau du retour, il était là et parlait avec un groupe de touristes blanc.

Vous allez dire un Chinatown c'est.....un Chinatown. Ils se ressemble tous.
C'est bien vrai, c'est comme un fried rice c'est......un fried rice, mais il peut être différent au goût.
Ou je veux en venir avec ça?........je sais pas.......Ha oui!
C'est que le Chinatown ici il est immense, c'est très facile de ce perdre et facile de ce retrouver.
Il y a quatre genre de rue.
Les grands boulevards, ou il vaut mieux traverser aux indications.
Les rues régulières, ou il est plus aisé de marcher dans la rue que sur les trottoirs.
Les rues piétonnières, ou seul les piétons peuvent emprunter.....avec les motos, les autos et les camions!!!!
Et les corridors, plus petits que des ruelles, ou là, pas question de camions et auto, mais les satanés motos ça oui.
C'est incroyable le nombres et la longueurs des corridors, et c'est le bordel la dedans. Elles sont tellement étroites, dissimulés entre les bâtisses, que le soleil a de la difficulté à pénétrer. 
C'est le fun......dix minutes. 
C'est tellement tassé, y vendent tous les même affaires, on est dans le royaume des gugusses.
Si on change de corridor et qu'on arrive dans un corridor de bouffe, là tenez-vous bien, ou plus tôt, tenez-vous le nez, les odeurs y en a, c'est pas le rayons des parfums. Surtout en passant près des bouchers et poissonniers.

Notre marche nous conduit jusqu'à un boulevard, y a du monde et de l'agitation. Nous arrivons dans la manifestation, disons que nous sommes vers la queu de la manifestation. On vois au loin la foule de manifestant, ceux qui traînent à l'arrière sont munis de veste anti-balles dans un gros camion avec haut-parleur et drapeaux thaïlandais battant au vent. 

Nous continuons notre marche à l'opposé de la manifestation.
Le Chinatown ici n'est pas pour le touriste, on vois très peu de touriste blanc d'ailleurs. 
C'est vraiment le quartier chinois ou nous côtoyons le quotidien des gens.
Pour les gens qui recherche le côté rustique et traditionnel des Chinatown, il n'y a rien pour vous ici. 
Pour les autres qui veulent voir le vrai, qui veulent plonger dans le quotidien de ces gens, c'est l'endroit idéal, garantie.
Comment aimeriez-vous habiter dans ce beau building? ici il y en a beaucoup et je suis pas persuadé qu'il y a un ascenseur!


Regardez les belles couettes de fils électrique. Pas certain que ce soit très sécuritaire. 
Nous prenons une petite pause dans un petit restaurant.
Café glacé et jus en profitant de l'air climatisé.
Le monsieur derrière nous se lève pour écraser des bibites sur le sol, ça l'agace.
Quand je vois ça, ça me rappele voilà 3 ou 4 jours, nous avions été souper dans un petit resto près de notre hôtel. 
Le genre de resto ou faut pas être dédaigneux, (mais la bouffe est bonne).
Sur le mur blanc (mais sale) au côté de Manon, il y avait une grosse coquerelle qui se baladait. Elle se baladait de haut en bas, en retrait du champ de vision à Manon. J'ai attendu que l'on sorte pour le lui dire.
Pourtant les gens du resto la voyait se promener (brun sur blanc c'est assé visible) et personne n'a réagi.
Dans l'après-midi nous sommes retourné à la chambre, faire sécher nos vêtements et prendre une pause.
Comme vous le lisez souvent, l'après-midi on ne fait rien, ou pratiquement rien, trop chaud, on vas prendre un jus ou un café.
Pour souper on a manger sur le pouce, en marchant, dans la jungle de Khao San Road.
Manon a manger un donair, pas méchant, mais on est pas au Liban, chez-nous ils sont meilleurs.
Moi j'ai mangé une cuisse de poulet cuit sur charbon de bois, une saucisse au drôle de goût?
et j'ai fini le donair à Manon. 
En marchant on a croisé un couple de québécois de la ville de Québec, nous avons passé une bonne soirée en leur compagnie à parler de voyage.




























jeudi 27 mars 2014

Bangkok 10e jour

27 mars 2014
 
Ce matin j'ai rendez-vous avec mon docteur à l'hôpital de Bangkok.
Le Dr. Yutthavat Tirakanoksathit (essayez de le dire une fois au complet sans vous trompez).
Mon rendez-vous est pour 09:45hre. mais pour être à temps je dois partir de l'hôtel à 08:00hre. J'ai quand même 10 kilomètres à faire!
Pendant ce temps Manon, vas rester à vagabonder dans le quartier, pas nécessaire pour elle de venir avec moi. Je vais faire ça çomme un grand.
N'ayant pas grand chose a vous racontez aujourd'hui, je vais vous expliquer le trajet que je dois faire pour rejoindre l'hôpital. 
Mon trajet est divisé en trois étapes.
La première c'est de l'hôtel à la station du sky Train la plus près.
La seconde c'est le trajet en SkyTrain.
La troisième c'est de la station du SkyTrain à l'hôpital.
En sortant de l'hôtel, je dois me choisir un tuk tuk parmis la panoplie qui s'offre à moi. 
Comment le choisir? J'ai arrêté de me fier à mon instinct pour ça, ÇA MARCHE PAS. 
J'ai eu beau prendre un chauffeur âgé ou jeune, un vieux bolide ou une cadillac, ils ont tous été à la même école de conduite, la "formule un".
Ce que je fais maintenant, en sortant de l'hôtel, je "fly" le premier qui passe et....
je m'en remet à lui, tout en espérant qu'il n'a pas rajouté des cours de cascades à son cours de conduite.
En partant, je sais assé vite à quoi m'en tenir sur mon chauffeur. 
Dois-je fermer les yeux, faire une prière, croiser les doigts ou encore sauté hors du tuk tuk à la première occasion. 
( Vous avez remarquer que RELAXER ne fait pas parti des choix à retenir ).
Selon la densité de circulation et l'expérience en cascade de mon pilote, nous en avons entre 20 à 30 minutes pour rejoindre la station National Stadium.
(C'est étrange habituellement en débarquant des tuk tuk j'ai toujours les jambes molles?)
Ici, c'est le trajet le plus facile, le SkyTrain. Le fonctionnement est le même que le métro de Montréal, à l'exception que les trains ici sont toujours à l'extérieur, sur des voies surélevés.

Ça me fait penser, Manon avait hâte de prendre le SkyTrain.
<< J'ai hâte je vais pouvoir voir la ville de haut >> qu'elle ma dit la première fois.
Arrivé à destination, je lui  avait demandé avec un petit sourire,
<< Pis Manon comment à été ta ride? As-tu vue la ville? >>
D'un air sérieux elle m'avait dit:
<< ... Y avait tellement de monde que la seul chose que j'ai vue c'est des "tsours" de bras....>>

De la station National Stadium je dois débarquer à Siam pour changer de vois et débarquer à Prhom Phong. Ce trajet ce fais en 15 à 20 minutes. Faut dire ici, que les trains sont très modernes, propres et climatisés.
D'ici j'ai 5 minutes de marches pour me rendre à la navette de l'hôpital qui part à tous les heures pour rejoindre l'hôpital.
Nous avons eu la chance de prendre cette navette la première fois que on a été en consultation à l'hôpital. On nous avait conseillé de la prendre de l'hôpital vers le SkyTrain. Si on n'avait pas fait ça, je n'aurais jamais trouvé ou la reprendre pour retourner à l'hôpital. 
La navette se stationne dans un fond de ruelle ou elle attend l'heure pour repartir vers l'hôpital.
Le trajet de la navette est d'une durée de 20 à 25 minutes. 
Aujourd'hui c'est la 6e fois que je prend cette navette, et je ne pourrais pas refaire seul le trajet. Pourtant je fais bien attention au trajet! C'est un vrai labyrinthe. Une chienne ne retrouverait pas son chiot. On circule dans des ruelles très étroites, souvent entre des murs de bétons aussi hauts que la vannette, avec des miroirs aux intersections pour voir venir dans tous les sens. Pas question de sortir le bras à l'extérieur, c'est l'hôpital garantie. De temps à autre nous croisons des ambulances qui emprunte le même itinéraire.
Ça ne doit pas être le seul trajet pour se rendre à l'hôpital? 
Je suis toujours surpris de nous voir arriver à l'hôpital en sortant d'une ruelle, mais c'est la seul que nous avons toujours utilisé.
Ma rencontre avec mon doc c'est très bien déroulé, il était accompagné d'un autre spécialiste et tous deux semblent satisfait du travail. Ils ont nettoyé ma plaie et changer mes pansements. Je vais être de retour le 4 avril pour mon dernier rendez-vous.
Dans la salle d'attente, j'ai socialisé avec un jeune suisse, il s'est blessé au genoux droit voilà quelque semaines, il est venu consulté et il doit se faire opérer, problème de ménisque. Il a tellement attendu et compensé avec son autre jambe, que maintenant il a des problèmes avec le genoux gauche. 
J'aime mieux avoir mon problème d'épaule, au moins je peu marcher.

Bon pour le retour à l'hôtel vous avez compris.....vous lisez en partant du bas et vous remontez vers le haut. Ça me tente pas de ma répéter.

Je veux juste rajouter, que nous passons souvent en tuk tuk devant les lieux des manifestations qu'on entend et voie dans les nouvelles. Le secteurs est cerné avec barricades, barbelés et policiers. Quand nous sommes passé près de ce secteur la première fois, il y avait encore plusieurs véhicules de polices renversés et endommagés. Ça fait penser à une zone de guerre.
Dans les prochains jours j'aimerais me rapprocher de ce secteur, par curiosité, mais de façon sécuritaire évidemment.
Pour souper on a manger deux gros épis de blé d'Inde cuit sur feu de bois avec beurre et sel. Et pour compléter le tout, un donair. On trouve de tout dans les gargotes mobiles.....même des bibittes!



mercredi 26 mars 2014

Bangkok 9e jour

( 26 mars 2014 )

Très mal dormi merci. Pas évident de dormir avec un bras en écharpe, et les médicaments que je prend me font dormir dans le jour, se qui fait que j'ai roulé toute la nuit.
J'ai comme défi de ne pas fermer l'œil aujourd'hui.
Ce matin avant les grosses chaleur on vas allé voir le Palais Royal, il semblerait que c'est quelque chose à voir.
Direction le quai, nous allons prendre le bateau taxi. On aime ça, ça nous donne un autre aperçu, c'est bien différent vue de la rivière. 
En dix minutes nous sommes arrivé.
Le terrain ou se trouve le palais royal est immense et ceinturé par un haut mur tout blanc. De la rue nous avons un apperçu de ce qui se trouve dans l'enceinte, ça promet.
Pour entrer, il nous faut être sobrement habillé. 
Mes pantalons trois quart et la camisole de Manon ne passent pas le test, pour ce qui est des pantalons à Manon, une militaire lui a fait baisser de la taille et ça été correct. 
( Je me demande si les jeunes "rappeurs" de chez nous avec pantalons en bas des fesses auraient passé eux? )
Il nous faut passer par le dressing room. Manon se vois remettre une belle chemise rose et moi je me retrouve avec un pantalon d'hôpital gris. 
On doit remettre un dépôt de 1000 baht (environs $30. ) qui seras remis quand on rapporteras les fringues.....Croyez moi, on a pas l'intention de partir avec!
Ça promet pour la visite, y vas faire chaud.
Le soleil est haut, un ciel sans nuage, après dix minutes de marche, nous sommes en sueurs.
Sur le terrain il y a des temples, des stupas, dont un très gros, et évidemment des palais, pas un, mais plusieurs.

La visite en vaut le déplacement.
Pour retourner, l'épaule ne me causant pas trop de mal, nous décidons de marcher, ne vous en faite pas, mon infirmières est d'accord. Mais au premier signe de douleur, c'est un retour en tuk tuk garantie.
Arrivé à notre hôtel, nous sommes mouillés comme si nous avions affronté une averse.
Un bon repos s'impose, mais pas question de dormir, mon infirmière y veille.....et me réveille.
Dans l'après-midi, période de relaxation au starbucks et un peu de magasinage pour Manon. Il me faut être en forme pour demain matin, je revois mon docteur.

mardi 25 mars 2014

Bangkok, 8e jour

( 25 mars 2014 )

Beaucoup mieux dormi et c'est étrange on a pas entendu l'appel à la prière de la mosquée........y en à un qui a oublié de mettre son cadran!
Tanné de resté confiné à ma chambre, on vas se permettre une balade dans les environs, j'ai la permission de mon infirmière.
Après déjeuner, direction....à gauche en sortant de l'hôtel. Il y a un petit canal enjambé par un pont, on vas allé voir ça.
En traversant le pont il y a un trottoir qui longe le canal en nous faisant passer près des maisons. C'est beaucoup plus tranquille, pas de véhicule qui circule.
On peu pas dire que le canal est propre, il y a plein de déchets et d'immondices qui flotte. Mais en faisant abstraction à ça, la balade le long du canal est relaxant.
Nous retraversons le canal par un autre pont et la ruelle nous conduit directement à un gros temple. Ce temple fait tout un quadrilatère délimité par un mur.
Sur la propriété de ce temple, il y a évidemment un temple, un gros stupas, de écoles pour moines, une clinique et des hébergements pour les moines.
En nous promenant dans l'enceinte du temple, un varan nous à fait sursauté, nous l'avons dérangé dans ça sieste.
Retour à la chambre, faut reposer cette épaules fragile.
L'après-midi, c'est tranquille, il fait trop chaud pour marcher en ville, mais un café glacé à l'air climatisé d'un petit resto, ça oui.
Manon part de son côté, un peu de magasinage et moi je vais me balader dans la jungle de Khao San Road.
Pour souper une petite marche jusqu'à la rue Rambruttri, Manon à trouvé une gargote pour manger des bons PatThai.
Retour à l'hôtel, l'épaule me rappel à l'ordre, et mon infirmière aussi. 



lundi 24 mars 2014

Bangkok, 7e jour

( 24 mars 2014 )

Une nuit difficile, faut dire que la chambre que l'on a donne sur la grand rue, on a des fenêtres et c'est comme si elles étaient ouvertes, en plus on est dimanche et il y en a sur le party.
Pas question de passer une autre nuit dans cette chambre, s'il ne peuvent nous la changer on trouveras un autre hôtel.
Mais pas de problème on à obtenu une autre chambre sur la même étage avec fenêtres sur le fond de cour, seul petit problème, je vais recommencer mes prières à 05:00hre le matin, il y a une mosquée tout près.
J'ai eu besoin des petites pilules pour le mal, je savais qu'elles serviraient.
Aujourd'hui je vais me ménager, j'ai pas le choix, c'est mon infirmière qui me la ordonné.
Faut dire que je suis rendu bionique, j'ai oublié de vous dire qu'ils m'ont mis une vis et une broche dans l'épaule, c'est certain que ça fait pas du bien quand ça désenfle.
Bon vue qu'on est poigné à Bangkok jusqu'au 4 avril, (dernier rendez-vous avec mon chirurgien) faut organiser nos affaires pour la suite du voyage.
On se rend à une agence qui vas voir à demander pour nous les visas pour l'Inde.
En faisant nos demandes aujourd'hui, nous obtiendrons nos visas le 8 avril. 
Ce qui veut dire, si tout vas bien et qu'on a le ok du docteur, nous devrions partir pour l'Inde le 9 avril.
A part ça c'est le repos, et des exercices à faire. Je vais me ménager jusqu'à jeudi le 27 mars, je revois mon chirurgien. 
Quand mon épaule m'envoie des petits signaux, mon infirmière me ramène à notre chambre pour un repos avec glace, et j'ai pas le droit de parole. 
(J'aimais mieux les petites infirmières thaïlandaise, elles étaient moins sévères).
On en a pour quelque jours à ne pas trop s'éloigner de notre chambre.
Pour souper, nous trouvons un petit resto Thaï sur la rue Thanon Rambruttri, bon choix, c'est une rue très achalandé, mais ce n'est pas la jungle comme ça voisine la Khao San Road. Leur spring roll, pat thaï et fried vegetable était excellent.
De retour tôt à la chambre, mon épaule me signal qu'elle a besoin de repos.

dimanche 23 mars 2014

Bangkok 6e jours

( 23 mars 2014 )

On à très bien dormi, j'ai eu quelque douleur pas plus. Je suis quand même surpris que je n'ai pas plus de mal. Je crois que ça vas venir, quand on a quitté l'hôpital on ma remis un petit sac plein de médicament, avec les possologies, à l'intérieur il y a plusieurs pilules pour le mal.
En plus ils m'ont remis un DVD de mon dossier dans lequel se retrouve mes radios.
Nous avons rencontrer le chirurgien, nous sommes dimanche et la salle d'attente de son bureau est plein de gens.
Il a pris le temps d'expliquer à Manon se qui à été fait et de nous montrer sur radio, la comparaison entre les radios avant et après.
Il désire me revoir dans quatre jours et le 4 avril.
Je quitte avec des exercices à faire, et le bras en écharpe pour six semaines.
Retour à notre hôtel dans le vieux quartier de Bangkok, près de la Khao San Road, retour dans la jungle.
Je ne ferais pas grand chose aujourd'hui, suite aux recommandations de mon infirmière privé. 
Elle me surveille de très près.