11 février 2014
Aujourd'hui nous quittons Phitsanulok pour Sukhothai. Nous devons nous rendre à la station de bus pour essayé de prendre le bus de 09:20hre.
Nous sommes en avance il est 09:00hre. sauf qu'aujourd'hui (parce que l'on veut le prendre à cette heure là!) le prochain bus est à 11:30hre. Elle ne pouvait pas me dire ça hier quand je suis venu la voir?
Nous en avons pour plus de deux heures à attendre, sous un abri à pigeons.
Imaginez la place, il s'agit d'un abri de la dimension d'une grange, fait sur le long, le toit est haut et supporté par des piliers.
Et comme dans les granges les pigeons viennent se jucher sur les travers intérieurs.
Leur fun c'est de nous attaquer avec des projectiles, vous comprenez ce que je veu dire. Pour ce déplacer il nous faut éviter les endroits ou les projectiles sont tombés.
Pas au risque de marcher dedans, mais au risque d'une nouvelle attaque.
Les gens ont rie parce qu'un projectile ma éviter de peu.
Deux heures à surveiller les pigeons, ça fait passer le temps.
<< André! Regarde le gars en moto là-bas, y transporte deux pneus! >>
<< C'est astucieux. Aurais tu pensé toi à transporter des pneus de cette façon, en moto? >>
<< ???T'as bin raison, c'est astucieux, j'aurais certainement pas pensé à ça.....>>
<< Parce que moi mes pneus d'auto, je vais les chercher avec mon auto. >>
<< Aie! Fait pas le smat, tu sais ce que je veut dire! >>
<< Oui, je sais, je t'avoue que j'aurais pas fait ça comme ça >>
<< .........Parce que j'aurais quand même pris mon auto >>
Vers onze heure leur bus arrivé, c'est sur que c'est le plus vieux de leur flotte!
Ça fait local, nous qui voulons nous imprégner des couleurs local, on est gâté.
Faut pas trop ce plaindre ça aurait pu être pire (je pense!).
C'est un bus avec ventilateur au plafond (pis ça fait longtemps qu'ils n'ont pas été lavés).
Les bancs sont défraîchis et l'espace pour mes jambes est très limité, si la personne devant moi décidé de baisser sont banc, je reste coincé, c'est les pinces de désincarcération garanti.
Pour l'aération, là, pas de problème, en plus des ventilateurs, nous avons la porte arrière qui est attaché, condamné à rester toujours ouverte.
Une chance qu'on en a que pour une heure.
Le compartiment à bagages au dessus des bancs est très petit, si nous ne voulons pas porter nos sacs sur nos genoux, faut que ça rentre.
En retirant quelque morceaux après les sacs et un peu de jus de bras, ça vas rentrer.
Ça la rentré, mais ça vas tu sortir?
On verras ça à l'arrivé.
Le voyage ce passe bien, nous traversons une zone ou il y a beaucoup de rizières, tout est d'un beau vert.
Après un heure de route, nous arrivons à destination.
Avec un pied sur un banc, et encore du jus de bras, les sacs sortes de leur trou.
La station de bus est à quelques kilomètres de la ville.
Avec cinq autre "routards" (ça c'est le terme français pour backpackers) nous louons un gros TukTuk (pour partager les frais évidemment) qui nous conduit chacun à son Guesthouse.
Nous avons le TR Guesthouse, très sympathique, chambre avec grand lit, salle de bain, eau chaude, ventilateur pour $10.00.
Pour le reste de la journée, on se repose le dos.
Pis ça nous tente pas de faire autre chose, on vas relaxer.
Pour souper, une bonne petite gargote pas tellement loin, nous sert un bon riz au poulet.
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