lundi 31 mars 2014

Bangkok 13e jour

( 30 mars 2014 )

Dimanche, il y a élection aujourd'hui à Bangkok. Comment je sais ça?
On a pas voulue me vendre de bières hier soir après 18:00hre. a cause des élections d'aujourd'hui. 
J'ai pas trouvé ça correct pour nous les étrangers. On devrait être averti d'avance pour qu'on puisse faire des réserves. 
Mais c'est pas grave, le couvre feu sur l'alcool se termine ce soir à 18:00hre. 
Alors que nous prenons notre petit café matinal en se demandant se qu'on vas faire aujourd'hui. Une idée nous est venues. 
Ça fait huit jours qu'on est à la même hôtel, nous en sommes très satisfait, mais, me semble! qu'un changement nous ferait du bien.
C'est parti, on recherche une autre chambre.
Après en avoir fait quelques une, nous trouvons notre perle rare. 
Le Thara hôtel. Il y a un entrée comme on aime avec air climatisé, c'est propre, même grandeur de chambre que la précédente, salle de bain privé, télé, grande fenêtre, wi-fi, mais pas de réfrigérateur, par contre lits jumeaux (ça m'inquiète Manon commence à aimer ça!). 
On se retrouve dans une autre rue, mais toujours dans le quartier du Khao San Road.
Je sais pas ce que ça donne concernant les élections.
Le mots de passe se l'opposition c'était le boycott des élections.
Dans un parc près de notre hôtel, il y avait un abris avec du personnels, civils et policiers, des tables, deux boîtes de dépôts de billets de vote.
Nous sommes passé 4 fois devant ce bureau de votes et je n'ai jamais vue de personne voter???

dimanche 30 mars 2014

Bangkok 12e jour.

( 29 mars 2014 )

Aujourd'hui nous allons visiter le Wat Arun Ratchawararam.      
Depuis le temps vous avez compris notre façon de procèder.
Le matin on visite, l'après-midi on récupère, sinon on ne feras pas tout l'année.
Pour se rendre au Wat Arun Ratchawararam il faut traverser de l'autre côté de la rivière Chao Phra Ya.
On se rend prendre le bateau taxi au quai le plus près.
Se qui devait nous prendre environs 15 minutes nous à pris une heure.
Comment ça? 
C'est simple, quand tu débarque pas au bon endroit, t'arriveras jamais à destination.
Deux fois nous sommes passé devant le Wat sans que le bateau s'arrête.
Il faut débarquer avec le bateau sur ce côté-ci de la rivière et prendre un traversier pour accéder à l'autre rive.
Enfin arrivé (en sueur) au Wat, je sais, je sais....JE SAIS.
Vous allez dire encore un temple. OUI, encore un temple, MAIS.....je vous ai dit aussi qu'il y a toujours un MAIS quand il est question des temples.
Tout simplement (je me répète) parceque chaque temple à quelque chose de particulier.
Ici c'est sont STUPA ou CHEDI (je me rappelle plus c'est quoi la différence). 
Il est immense plein de gravures et sculptures et on peut monter dessus.

Plus on monte en hauteur plus la pente est accentué, je défierais quiconque de monter les marches sans utiliser les mains.

Nous avons une très belle vue sur la ville de Bangkok et de la rivière.

Il y a ici un petit temple dont l'entré est protégé par deux grosses statues aux allures meneçantes.
Il n'y a pas foule, c'est parfait pour se balader.
Nous cassons la croûte sur place, avec un petit pic nique, à l'ombre et vue sur cette immense Stupa (ou chedi).
Dans l'après-midi, retour à la chambre, c'est la pause.
Au souper on retourne sur la rue Sambuttri pour un petit bain de foule, mais nous la quittons avant la cohue de 20:00hre.

samedi 29 mars 2014

Bangkok 11e jour

( 28 mars 2014 )

La nuit à été dur, à croire qu'hier quand j'ai rencontré mon docteur, qu'ils ont nettoyé la plaie et changer mes pansements, ça causé du stress à mes muscles de l'épaule, j'ai eu mal dans la nuit.
Quand même, on n'est pas pour resté encabané dans notre chambre.
Manon me suggère d'aller visiter le Chinatown! Pourquoi pas!
Aussitôt dit aussitôt fait....non c'est vrai, avant on a fini nos café et on à déjeuner dans la chambre.
Là c'est vrai, après le café, nous sommes partis direction la rivière pour prendre un bateau taxi.
C'est agréable de prendre ce bateau et c'est rapide.
Le bateau nous débarque tout près du quartier chinois.
En sortant du bateau, juste avant de prendre la ruelle, un type nous accoste et nous demande ou nous allons. Nous lui disons que nous allons dans le Chinatown, il désire savoir ou exactement, nous lui faisons part qu'on a pas d'endroit précis que nous marchons seulement. Il nous averti qu'il y a présentement une manifestation dans la partie nord-ouest du Chinatown et nous demande d'éviter ce secteur.
Je ne sais pas s'il a l'intention de nous faire peur, mais il imite par geste, qu'il peut y avoir des coups de feu.
On lui fait part qu'on vas éviter ce secteur.
Étrangement ce type n'a pas essayé de nous vendre quoi que ce soit, ou nous proposer de nous guider.
Je ne serais pas surpris que ce sois un policier en civil, il était proprement habillé de pantalon noir, chemise blanche à manches longues et cravate.
Quand nous sommes revenu pour prendre la bateau du retour, il était là et parlait avec un groupe de touristes blanc.

Vous allez dire un Chinatown c'est.....un Chinatown. Ils se ressemble tous.
C'est bien vrai, c'est comme un fried rice c'est......un fried rice, mais il peut être différent au goût.
Ou je veux en venir avec ça?........je sais pas.......Ha oui!
C'est que le Chinatown ici il est immense, c'est très facile de ce perdre et facile de ce retrouver.
Il y a quatre genre de rue.
Les grands boulevards, ou il vaut mieux traverser aux indications.
Les rues régulières, ou il est plus aisé de marcher dans la rue que sur les trottoirs.
Les rues piétonnières, ou seul les piétons peuvent emprunter.....avec les motos, les autos et les camions!!!!
Et les corridors, plus petits que des ruelles, ou là, pas question de camions et auto, mais les satanés motos ça oui.
C'est incroyable le nombres et la longueurs des corridors, et c'est le bordel la dedans. Elles sont tellement étroites, dissimulés entre les bâtisses, que le soleil a de la difficulté à pénétrer. 
C'est le fun......dix minutes. 
C'est tellement tassé, y vendent tous les même affaires, on est dans le royaume des gugusses.
Si on change de corridor et qu'on arrive dans un corridor de bouffe, là tenez-vous bien, ou plus tôt, tenez-vous le nez, les odeurs y en a, c'est pas le rayons des parfums. Surtout en passant près des bouchers et poissonniers.

Notre marche nous conduit jusqu'à un boulevard, y a du monde et de l'agitation. Nous arrivons dans la manifestation, disons que nous sommes vers la queu de la manifestation. On vois au loin la foule de manifestant, ceux qui traînent à l'arrière sont munis de veste anti-balles dans un gros camion avec haut-parleur et drapeaux thaïlandais battant au vent. 

Nous continuons notre marche à l'opposé de la manifestation.
Le Chinatown ici n'est pas pour le touriste, on vois très peu de touriste blanc d'ailleurs. 
C'est vraiment le quartier chinois ou nous côtoyons le quotidien des gens.
Pour les gens qui recherche le côté rustique et traditionnel des Chinatown, il n'y a rien pour vous ici. 
Pour les autres qui veulent voir le vrai, qui veulent plonger dans le quotidien de ces gens, c'est l'endroit idéal, garantie.
Comment aimeriez-vous habiter dans ce beau building? ici il y en a beaucoup et je suis pas persuadé qu'il y a un ascenseur!


Regardez les belles couettes de fils électrique. Pas certain que ce soit très sécuritaire. 
Nous prenons une petite pause dans un petit restaurant.
Café glacé et jus en profitant de l'air climatisé.
Le monsieur derrière nous se lève pour écraser des bibites sur le sol, ça l'agace.
Quand je vois ça, ça me rappele voilà 3 ou 4 jours, nous avions été souper dans un petit resto près de notre hôtel. 
Le genre de resto ou faut pas être dédaigneux, (mais la bouffe est bonne).
Sur le mur blanc (mais sale) au côté de Manon, il y avait une grosse coquerelle qui se baladait. Elle se baladait de haut en bas, en retrait du champ de vision à Manon. J'ai attendu que l'on sorte pour le lui dire.
Pourtant les gens du resto la voyait se promener (brun sur blanc c'est assé visible) et personne n'a réagi.
Dans l'après-midi nous sommes retourné à la chambre, faire sécher nos vêtements et prendre une pause.
Comme vous le lisez souvent, l'après-midi on ne fait rien, ou pratiquement rien, trop chaud, on vas prendre un jus ou un café.
Pour souper on a manger sur le pouce, en marchant, dans la jungle de Khao San Road.
Manon a manger un donair, pas méchant, mais on est pas au Liban, chez-nous ils sont meilleurs.
Moi j'ai mangé une cuisse de poulet cuit sur charbon de bois, une saucisse au drôle de goût?
et j'ai fini le donair à Manon. 
En marchant on a croisé un couple de québécois de la ville de Québec, nous avons passé une bonne soirée en leur compagnie à parler de voyage.




























jeudi 27 mars 2014

Bangkok 10e jour

27 mars 2014
 
Ce matin j'ai rendez-vous avec mon docteur à l'hôpital de Bangkok.
Le Dr. Yutthavat Tirakanoksathit (essayez de le dire une fois au complet sans vous trompez).
Mon rendez-vous est pour 09:45hre. mais pour être à temps je dois partir de l'hôtel à 08:00hre. J'ai quand même 10 kilomètres à faire!
Pendant ce temps Manon, vas rester à vagabonder dans le quartier, pas nécessaire pour elle de venir avec moi. Je vais faire ça çomme un grand.
N'ayant pas grand chose a vous racontez aujourd'hui, je vais vous expliquer le trajet que je dois faire pour rejoindre l'hôpital. 
Mon trajet est divisé en trois étapes.
La première c'est de l'hôtel à la station du sky Train la plus près.
La seconde c'est le trajet en SkyTrain.
La troisième c'est de la station du SkyTrain à l'hôpital.
En sortant de l'hôtel, je dois me choisir un tuk tuk parmis la panoplie qui s'offre à moi. 
Comment le choisir? J'ai arrêté de me fier à mon instinct pour ça, ÇA MARCHE PAS. 
J'ai eu beau prendre un chauffeur âgé ou jeune, un vieux bolide ou une cadillac, ils ont tous été à la même école de conduite, la "formule un".
Ce que je fais maintenant, en sortant de l'hôtel, je "fly" le premier qui passe et....
je m'en remet à lui, tout en espérant qu'il n'a pas rajouté des cours de cascades à son cours de conduite.
En partant, je sais assé vite à quoi m'en tenir sur mon chauffeur. 
Dois-je fermer les yeux, faire une prière, croiser les doigts ou encore sauté hors du tuk tuk à la première occasion. 
( Vous avez remarquer que RELAXER ne fait pas parti des choix à retenir ).
Selon la densité de circulation et l'expérience en cascade de mon pilote, nous en avons entre 20 à 30 minutes pour rejoindre la station National Stadium.
(C'est étrange habituellement en débarquant des tuk tuk j'ai toujours les jambes molles?)
Ici, c'est le trajet le plus facile, le SkyTrain. Le fonctionnement est le même que le métro de Montréal, à l'exception que les trains ici sont toujours à l'extérieur, sur des voies surélevés.

Ça me fait penser, Manon avait hâte de prendre le SkyTrain.
<< J'ai hâte je vais pouvoir voir la ville de haut >> qu'elle ma dit la première fois.
Arrivé à destination, je lui  avait demandé avec un petit sourire,
<< Pis Manon comment à été ta ride? As-tu vue la ville? >>
D'un air sérieux elle m'avait dit:
<< ... Y avait tellement de monde que la seul chose que j'ai vue c'est des "tsours" de bras....>>

De la station National Stadium je dois débarquer à Siam pour changer de vois et débarquer à Prhom Phong. Ce trajet ce fais en 15 à 20 minutes. Faut dire ici, que les trains sont très modernes, propres et climatisés.
D'ici j'ai 5 minutes de marches pour me rendre à la navette de l'hôpital qui part à tous les heures pour rejoindre l'hôpital.
Nous avons eu la chance de prendre cette navette la première fois que on a été en consultation à l'hôpital. On nous avait conseillé de la prendre de l'hôpital vers le SkyTrain. Si on n'avait pas fait ça, je n'aurais jamais trouvé ou la reprendre pour retourner à l'hôpital. 
La navette se stationne dans un fond de ruelle ou elle attend l'heure pour repartir vers l'hôpital.
Le trajet de la navette est d'une durée de 20 à 25 minutes. 
Aujourd'hui c'est la 6e fois que je prend cette navette, et je ne pourrais pas refaire seul le trajet. Pourtant je fais bien attention au trajet! C'est un vrai labyrinthe. Une chienne ne retrouverait pas son chiot. On circule dans des ruelles très étroites, souvent entre des murs de bétons aussi hauts que la vannette, avec des miroirs aux intersections pour voir venir dans tous les sens. Pas question de sortir le bras à l'extérieur, c'est l'hôpital garantie. De temps à autre nous croisons des ambulances qui emprunte le même itinéraire.
Ça ne doit pas être le seul trajet pour se rendre à l'hôpital? 
Je suis toujours surpris de nous voir arriver à l'hôpital en sortant d'une ruelle, mais c'est la seul que nous avons toujours utilisé.
Ma rencontre avec mon doc c'est très bien déroulé, il était accompagné d'un autre spécialiste et tous deux semblent satisfait du travail. Ils ont nettoyé ma plaie et changer mes pansements. Je vais être de retour le 4 avril pour mon dernier rendez-vous.
Dans la salle d'attente, j'ai socialisé avec un jeune suisse, il s'est blessé au genoux droit voilà quelque semaines, il est venu consulté et il doit se faire opérer, problème de ménisque. Il a tellement attendu et compensé avec son autre jambe, que maintenant il a des problèmes avec le genoux gauche. 
J'aime mieux avoir mon problème d'épaule, au moins je peu marcher.

Bon pour le retour à l'hôtel vous avez compris.....vous lisez en partant du bas et vous remontez vers le haut. Ça me tente pas de ma répéter.

Je veux juste rajouter, que nous passons souvent en tuk tuk devant les lieux des manifestations qu'on entend et voie dans les nouvelles. Le secteurs est cerné avec barricades, barbelés et policiers. Quand nous sommes passé près de ce secteur la première fois, il y avait encore plusieurs véhicules de polices renversés et endommagés. Ça fait penser à une zone de guerre.
Dans les prochains jours j'aimerais me rapprocher de ce secteur, par curiosité, mais de façon sécuritaire évidemment.
Pour souper on a manger deux gros épis de blé d'Inde cuit sur feu de bois avec beurre et sel. Et pour compléter le tout, un donair. On trouve de tout dans les gargotes mobiles.....même des bibittes!



mercredi 26 mars 2014

Bangkok 9e jour

( 26 mars 2014 )

Très mal dormi merci. Pas évident de dormir avec un bras en écharpe, et les médicaments que je prend me font dormir dans le jour, se qui fait que j'ai roulé toute la nuit.
J'ai comme défi de ne pas fermer l'œil aujourd'hui.
Ce matin avant les grosses chaleur on vas allé voir le Palais Royal, il semblerait que c'est quelque chose à voir.
Direction le quai, nous allons prendre le bateau taxi. On aime ça, ça nous donne un autre aperçu, c'est bien différent vue de la rivière. 
En dix minutes nous sommes arrivé.
Le terrain ou se trouve le palais royal est immense et ceinturé par un haut mur tout blanc. De la rue nous avons un apperçu de ce qui se trouve dans l'enceinte, ça promet.
Pour entrer, il nous faut être sobrement habillé. 
Mes pantalons trois quart et la camisole de Manon ne passent pas le test, pour ce qui est des pantalons à Manon, une militaire lui a fait baisser de la taille et ça été correct. 
( Je me demande si les jeunes "rappeurs" de chez nous avec pantalons en bas des fesses auraient passé eux? )
Il nous faut passer par le dressing room. Manon se vois remettre une belle chemise rose et moi je me retrouve avec un pantalon d'hôpital gris. 
On doit remettre un dépôt de 1000 baht (environs $30. ) qui seras remis quand on rapporteras les fringues.....Croyez moi, on a pas l'intention de partir avec!
Ça promet pour la visite, y vas faire chaud.
Le soleil est haut, un ciel sans nuage, après dix minutes de marche, nous sommes en sueurs.
Sur le terrain il y a des temples, des stupas, dont un très gros, et évidemment des palais, pas un, mais plusieurs.

La visite en vaut le déplacement.
Pour retourner, l'épaule ne me causant pas trop de mal, nous décidons de marcher, ne vous en faite pas, mon infirmières est d'accord. Mais au premier signe de douleur, c'est un retour en tuk tuk garantie.
Arrivé à notre hôtel, nous sommes mouillés comme si nous avions affronté une averse.
Un bon repos s'impose, mais pas question de dormir, mon infirmière y veille.....et me réveille.
Dans l'après-midi, période de relaxation au starbucks et un peu de magasinage pour Manon. Il me faut être en forme pour demain matin, je revois mon docteur.

mardi 25 mars 2014

Bangkok, 8e jour

( 25 mars 2014 )

Beaucoup mieux dormi et c'est étrange on a pas entendu l'appel à la prière de la mosquée........y en à un qui a oublié de mettre son cadran!
Tanné de resté confiné à ma chambre, on vas se permettre une balade dans les environs, j'ai la permission de mon infirmière.
Après déjeuner, direction....à gauche en sortant de l'hôtel. Il y a un petit canal enjambé par un pont, on vas allé voir ça.
En traversant le pont il y a un trottoir qui longe le canal en nous faisant passer près des maisons. C'est beaucoup plus tranquille, pas de véhicule qui circule.
On peu pas dire que le canal est propre, il y a plein de déchets et d'immondices qui flotte. Mais en faisant abstraction à ça, la balade le long du canal est relaxant.
Nous retraversons le canal par un autre pont et la ruelle nous conduit directement à un gros temple. Ce temple fait tout un quadrilatère délimité par un mur.
Sur la propriété de ce temple, il y a évidemment un temple, un gros stupas, de écoles pour moines, une clinique et des hébergements pour les moines.
En nous promenant dans l'enceinte du temple, un varan nous à fait sursauté, nous l'avons dérangé dans ça sieste.
Retour à la chambre, faut reposer cette épaules fragile.
L'après-midi, c'est tranquille, il fait trop chaud pour marcher en ville, mais un café glacé à l'air climatisé d'un petit resto, ça oui.
Manon part de son côté, un peu de magasinage et moi je vais me balader dans la jungle de Khao San Road.
Pour souper une petite marche jusqu'à la rue Rambruttri, Manon à trouvé une gargote pour manger des bons PatThai.
Retour à l'hôtel, l'épaule me rappel à l'ordre, et mon infirmière aussi. 



lundi 24 mars 2014

Bangkok, 7e jour

( 24 mars 2014 )

Une nuit difficile, faut dire que la chambre que l'on a donne sur la grand rue, on a des fenêtres et c'est comme si elles étaient ouvertes, en plus on est dimanche et il y en a sur le party.
Pas question de passer une autre nuit dans cette chambre, s'il ne peuvent nous la changer on trouveras un autre hôtel.
Mais pas de problème on à obtenu une autre chambre sur la même étage avec fenêtres sur le fond de cour, seul petit problème, je vais recommencer mes prières à 05:00hre le matin, il y a une mosquée tout près.
J'ai eu besoin des petites pilules pour le mal, je savais qu'elles serviraient.
Aujourd'hui je vais me ménager, j'ai pas le choix, c'est mon infirmière qui me la ordonné.
Faut dire que je suis rendu bionique, j'ai oublié de vous dire qu'ils m'ont mis une vis et une broche dans l'épaule, c'est certain que ça fait pas du bien quand ça désenfle.
Bon vue qu'on est poigné à Bangkok jusqu'au 4 avril, (dernier rendez-vous avec mon chirurgien) faut organiser nos affaires pour la suite du voyage.
On se rend à une agence qui vas voir à demander pour nous les visas pour l'Inde.
En faisant nos demandes aujourd'hui, nous obtiendrons nos visas le 8 avril. 
Ce qui veut dire, si tout vas bien et qu'on a le ok du docteur, nous devrions partir pour l'Inde le 9 avril.
A part ça c'est le repos, et des exercices à faire. Je vais me ménager jusqu'à jeudi le 27 mars, je revois mon chirurgien. 
Quand mon épaule m'envoie des petits signaux, mon infirmière me ramène à notre chambre pour un repos avec glace, et j'ai pas le droit de parole. 
(J'aimais mieux les petites infirmières thaïlandaise, elles étaient moins sévères).
On en a pour quelque jours à ne pas trop s'éloigner de notre chambre.
Pour souper, nous trouvons un petit resto Thaï sur la rue Thanon Rambruttri, bon choix, c'est une rue très achalandé, mais ce n'est pas la jungle comme ça voisine la Khao San Road. Leur spring roll, pat thaï et fried vegetable était excellent.
De retour tôt à la chambre, mon épaule me signal qu'elle a besoin de repos.

dimanche 23 mars 2014

Bangkok 6e jours

( 23 mars 2014 )

On à très bien dormi, j'ai eu quelque douleur pas plus. Je suis quand même surpris que je n'ai pas plus de mal. Je crois que ça vas venir, quand on a quitté l'hôpital on ma remis un petit sac plein de médicament, avec les possologies, à l'intérieur il y a plusieurs pilules pour le mal.
En plus ils m'ont remis un DVD de mon dossier dans lequel se retrouve mes radios.
Nous avons rencontrer le chirurgien, nous sommes dimanche et la salle d'attente de son bureau est plein de gens.
Il a pris le temps d'expliquer à Manon se qui à été fait et de nous montrer sur radio, la comparaison entre les radios avant et après.
Il désire me revoir dans quatre jours et le 4 avril.
Je quitte avec des exercices à faire, et le bras en écharpe pour six semaines.
Retour à notre hôtel dans le vieux quartier de Bangkok, près de la Khao San Road, retour dans la jungle.
Je ne ferais pas grand chose aujourd'hui, suite aux recommandations de mon infirmière privé. 
Elle me surveille de très près.

Bangkok 5e jours

( 22 mars 2014 )

C'est aujourd'hui que j'ai mon congé de l'hôpital. Mais seulement après mon antibiotique de 16:00hre.
Je vais passé la journée dans ma suite pour la dernière fois.
Manon est venu me rejoindre, ça vas être moins plate à deux.
A l'extérieur la température change, il fait sombre, on dirait bien qu'il vas y avoir de l'orage.
On entend gronder et la pluie se met a tomber. C'est la première fois qu'il pleut depuis notre passage en Malaisie voilà deux mois.
Nous en avons pour une heure de cette averse.
Je suis au 16e étage avec très belle vue sur l'héliport de l'hôpital, c'est la troisième fois que je vois l'hélicoptère atterrir pour transporter des malade en civières.
Au niveau transport, l'hôpital est très bien équipé, hélicoptère, ambulances, camions, autobus, vannettes, motos pour ne nommer que ceux là, on les voient passer identifiés au nom de l'hôpital.
Enfin je quitte l'hôpital mais seulement vers 18:30hre. ils m'ont proposé de rester une autre nuit, mais je n'ai pas voulu, j'étais bien, mais c'est quand même un hôpital.
On vas coucher dans une petite hôtel tout près de l'hôpital, demain matin je dois voir le chirurgien qui m'a opéré.

vendredi 21 mars 2014

Bangkok, 4ème jour

(21 mars 2014)

Je suis encore au Bangkok Médical Center dans ma luxueuse suite. 
Manon préfère allé à l'hôtel, je crois qu'elle en a assé vue des hôpitaux. 
L'hôtel se trouve a 2 minutes de l'hôpital, c'est la plus près et la moins chère.
Je n'ai aucune douleur, mais tout mon bras gauche jusqu'au coude est insensible, il est inerte, je ne peu pas le bouger.
A 07:00hre c'est le petit déjeuner, crêpes, yogourt, toast avec confiture, banane et jus. La journée précédente on vous demande de faire un choix parmi six mets différent pour chacun des repas et j'avoue que les portions sont généreuse.
Après déjeuner c'est la visite des médecins, l'anesthésiste, le médecin à l'interne, pour le chirurgien je vais le rencontrer à son bureau. Très sympathique, il m'explique comment c'est déroulé l'opération, me montre une radiographie prise après l'opération et nous la comparons avec l'autre avant. 
Il me garde une autre nuit, il veut faire certain que mon bras ne sois plus engourdie quand je partirais. J'ai pas a me plaindre.
Il me fait part que je peu continuer à voyager, mais je vais devoir porter un écharpe pendant six semaines.
On se revois demain et il vas me montrer des exercices à faire.
Pour se qui est de mes entraînements en musculation pas de problème, mais pas tout de suite.
Retour dans ma suite, pour le reste de la journée, c'est regarder la télé, le wi-fi, des marches dans les corridors avec Manon.
Les infirmières viennent régulièrement ma voir pour un suivie, pression, température, questions habituel, tout est toujours beau.
Du balcon de ma chambre je vois l'héliport, trois fois dans la journée je vois l'hélicoptère venir portes des patients, il y a tout un comité d'accueil pour les recevoir.
Ce n'est que vers 18:00hre que je commence à ressentir de la douleur, je peu bouger mon bras et ma mains, l'anesthésie s'estompe.
Je crois que la nuit seras plus longue.

jeudi 20 mars 2014

Bangkok, 3ème jour

( 19 mars 2014 )

Ce matin à 07:30hre. je suis déjà parti pour l'hôpital.
Pour me rendre à la première station du Sky Train, je prend un moto taxi, qui roule en fou en zigzaguant dans la circulation. (A bien y penser c'est pas très brillant de ma part! Mais avec les embouteillages ici, c'est très rapide).
Arrivé sein et sauf, je prend le Sky train qui me conduit à la station Phrom Ponn. 

De là, je dois prendre encore une moto taxi qui me débarque aux portes de l'hôpital.
(Même si je voulais le faire à pieds à partir d'ici, ces petites rues forme un vrai labyrinthe).
Je me présente à la réception de la médecine interne.
On me prend tout de suite en main, direction les tests d'usage, pression, température, prise de sang, test d'urine, éloctrocardiograme, et pour terminer encore une radiographie.
Quelque minutes d'attente, je rencontre le médecin, des questions, il m'ausculte, regarde les électros et la radiographie, tout est correct. 
Je suis arrivé à l'hôpital à 09:00hre. A 11:00hre. tout était terminé.
Mon opération est prévu pour demain 09:00hre.
Avant de partir je vais au bureau des concierges (comme dans les grands hôtels) pour obtenir l'adresse d'un hôtel tout près.
Je me rend à l'hôtel et réservé une chambre pour 3 jours.
Je part rejoindre Manon en refaisant le trajet inverse.
Manon m'attend au Guesthouse avec les sacs à dos prêt. 
Une petite pause et nous repartons direction.......l'hôpital, ce soir nous allons coucher tout près, dans les environs.






Bangkok, Thaïlande

18 mars 2014

Pas très bien dormi.
Je regarde sur mon i-pad, si j'ai des nouvelles de mes assurances. Aucune message. 
On est pas pour rester dans notre chambre à se morfondre, à regarder tous les quinze minutes si on a des messages.
On vas se promener pour se changer les idées.
Nous achetons une carte de la ville et partons à la découverte des environs. 
Notre promenade nous conduit près de la rivière Chao Praya qui sillonne la ville. Il y a beaucoup de bateau circulant dans toutes les directions et nous voyons au loin un majestueux pont.
Assis près de nous dans le parc ou on se trouve, un français qui connaît bien la ville 
nous indique des endroits intéressant à voir.
Parmis ces endroits il y a le Wat Pho, encore un temple, mais selon le monsieur français, il faut absolument le voir.
Pour si rendre nous allons emprunter la navigation sur l'eau, le taxi boat. 
On doit-être environs 300 personnes sur ce bateau dont la moitié sont debout. Si jamais ça coule ça vas être laid.
Nous débarquons près du Temple juste à temps pour casser la croûte du midi.
Nous dégustons un excellent riz aux poulets dans une petite gargote.
Le ventre plein on se dirige vers l'entré du temple. 
Il s'agit d'un monastères entouré de hauts murs qui délimite tout un quartier.
Sur le site il y a deux magnifiques temples dont un contient un immense bouddha couché.
En se promenant je ne peu faire autrement que d'imaginer ces lieux comme un "Bouddhaland" un parc d'attraction quoi, voyez ces immense stupas.
Plusieurs photos plus tard, on en à assez, il fait trop chaud on retourne à la chambre.
En arrivant je me précipite sur mon i-pad, pas de message. 
On en à assez d'attendre, nous prenons une importante décisions!
Nous achetons un téléphone cellulaire (notre premier cellulaire).
Après les explications sur le fonctionnement de l'appareil, j'appelle la compagnie d'assurance s'ils ont du nouveaux.
La réponse nous réjouis, le préposé nous annonce qu'ils autorisent a 100% l'opération d'urgence, et que voilà une heure ils ont avisé le Bangkok Hospital en leur faisant parvenir une garantie de paiement.
Je contacte l'hôpital et parle avec une des infirmières qui m'ont accueilli hier. 
J'ai un rendez-vous de prévu avec un médecin demain avant-midi en préparation 
à l'opération.
Nous sommes content de cette bonne nouvelle, on vas bien dormir ce soir.

mercredi 19 mars 2014

Bangkok Hospital Medical Center

17 mars 2014

Comme titre ça sonne bien!
Aujourd'hui la journée est prévue pour une consultation avec un spécialiste au Bangkok Hospital Medical Center, c'est un hôpital privé.
Nous allons nous présenter sur place sans rendez-vous.
Première chose à faire c'est de ce trouver un moyen de transport.
En sortant de notre Guesthouse, les tuk tuk, se précipite vers nous.
On en choisi un au hasard (pas le temps de lui faire passer un test QI) il est choisi pour sa vitesse à nous aborder.
Je lui montre l'adresse et lui dit que c'est le Bangkok Hospital.
Oui, oui, qu'il fait signe avec la tête et de grands geste de la main, grand sourire fendu jusqu'aux oreilles, trop content d'avoir un client.
Il demande 400 baht.
Nous partons en grande vitesse, et comme d'habitude c'est du tricotage dans la circulation, c'est de nous montrer qu'il est le meilleur chauffard en ville.
Je vais faire une histoire courte, il nous a conduit à la mauvaise hôpital, nous avons repris la route avec lui, il disait que là il savait ou c'est, demandait ça route aux gens et enfin arrivé nous demande 1,000 baht en disant que c'était loin et qu'il y avait de la circulation.
Petite argumentation sur le bord de la rue, j'ai consenti à lui donner 500 baht, point final, y ai pas content pis y a vue que moi non plus. 
Les chauffeurs de tuk tuk sont comme ça, pour ne pas perdre un client, ils disent tous qu'ils connaissent le chemin pour vous conduire, même s'il ne la connaisse pas. 
Enfin au Bangkok Médical Center, en entrant c'est comme le hall d'un grand hôtel chic. Je me présente au comptoir d'accueil, la jeune dame demande comment elle peut nous aider. 
Je parle au téléphone avec une personne qui parle français.
La jeune dame à la réception nous conduit à un autre comptoir d'accueil.
Immédiatement on me demande mon passeport, toutes mes coordonnés, on prend ma photo et on me remet une feuille avec ma photo on me dit qu'on me feras voir par un spécialiste pour les épaules?
 
On me remet un papier avec ma photo et tous mes coordonnés et me demande de me rendre au 5e étage, en médecine sportive voir le docteur Yutthavat Tirakanoksathit...... (évidemment avant d'être arrivé au 5e étage, j'avais oublié son nom).
Arrivé au département de médecine sportive, c'est comme si j'arrivais dans un autre hôtel, avec réception 4 à 5 infirmières qui nous accueillent. En présentant mon papier, ils m'attendaient me demande de nous asseoir et de bien vouloir patienter.
Avec les grosses chaises bien capitonnés et les télés à écran plat, je veux bien patienter le temps qu'il faut. 
Mais non, 5 minutes plus tard, on viens me chercher et me conduit dans une salle, un infirmier (pas chanceux) fait les premiers test d'usage, pression, température (bin non, y m'a pas chéqué la prostate). 
Retour en salle d'attente. Bon je vais pouvoir continuer à regarder la game de soccer. Bin non!
Une jolie infirmière viens me chercher (faut croire que la beauté est un critère d'embauche pour les infirmières ici....là je suis prêt pour un test de prostate!) malheureusement elle me conduit au docteur Yutthavat Tira......machin. 
Très bien acceuilli, il regarde le négatif pris à l'hôpital Vientiane du Laos, il m'ausculte, me questionne et demande qu'on me fasse des radiographies.
Retour en salle d'attente pour la suite du soccer........que je n'aurai pas la chance de voir la fin. Une autre infirmière (jolie elle aussi) me demande de la suivre pour des radiographies........(je vous suivrais n'importe ou mademoiselle).
Nous descendons au 1er étage, pour arriver à la section Rayon-X. Autre salle d'attente style, hôtel de luxe, grosses chaises capitonnés et télé, mais pas sur le canal de soccer. 
Ça me fait rien, je serais pas ici longtemps. 
Comme de raison, on viens me chercher pour me conduire en salle de radio.
Trois radio plus tard, on me dit de remonter au 5e étage revoir le docteur......machin.
Arrivé à la salle d'attente, juste à temps pour voir au soccer un but compté par......les chandails jaunes.
Retour dans le bureau du docteur, les radios se trouvent sur son écran d'ordinateur, c'est incroyablement moderne. 
C'est là qu'il m'explique que mes ligaments qui retiens la clavicule ont été étirés au maximum, ils ne sont pas déchirés, mais ne reprendront pas leur tension a moins d'une opération pour reconstituer les ligaments. Il nous dit qu'il y a 6 niveaux sur ce genre de blessure, la 1 étant la moins grave, je suis au niveau 5.
Il est prêt a faire l'opération qui doit durer 2 heures dès demain.
Je patiente environs quinze minutes et la une autre dame viens nous rencontrer avec un estimé des coûts de l'opération. WOW 
Un instant pas trop vite, je dois contacter mes assurances.
Lorsque je parle avec le préposé de l'assurance, il m'annonce qu'il à reçu l'estime de l'opération, vue l'importance du montant, de ne rien signer tout de suite, qu'il faut attendre qu'un comité évalue le dossier avant de donner le OK. 
Je dois attendre jusqu'à demain après-midi.
(Je ne vous raconterai pas tout se qui c'est fait auprès de notre assurance Croix Bleu, mais a défaut de faire leur publicité, je peu dire qu'on a eu de très bon service.)
Pas de problème, l'hôpital me demande de payer ma consultation aujourd'hui, et me remet un numéro de téléphone pour que je les contactes lorsque j'aurais des nouvelles de mes assurances.
De retour à notre Guesthouse, on se posent plusieurs questions.
Les assurances vont-ils accepter l'opération? vont-ils demander notre retour? est-ce la fin de notre voyage? etc, etc......
Nous n'avons pas le choix, il faut attendre.
Plus tôt que de broyer du noir, nous sortons pour un bon café.
Nous trouvons un petit café sympathique, juste le fait de parler avec les jeunes serveurs qui désirent pratiquer leur anglais, c'est étrange mais ça nous remontes le moral.
Pour souper nous décidons de nous rendre dans la jungle du Khao San Road.
Pour m'ouvrir l'appétit on se dirige vers un comptoir qui me m'appelle depuis quelque temps. 
Le comptoir à "bibittes frits". Ils ont l'air tellement appétissante.
Je me lance avec un belle et dodu sauterelle.
C'est surprenant! Elle est délicieuse, ça goute les cacahouètes.
Je me risque avec les criquets....pas méchant, mais je préfère les sauterelles.
Il y a bien des asticots, des blattes, des scorpions et des grenouilles sèchés, mais pas ce soir.....peut être un autre fois.....avec une bonne bières.
Nous allons essayé de bien dormir quand même ce soir. 
On verras demain se qui vas ce passer.