vendredi 2 mai 2014

Direction Katmandou, Népal

( 1er mai 2014 )
Dernière journée en Inde. Nous y sommes resté que trois semaines. 
Nous espérions y passer minimum un mois, mais c'était avant que j'ai mon accident et que nous soyons obligé de rester à Bangkok près d'un mois.
Quand nous avons quitter pour l'Inde, nous savions que nous étions tard, et que nous risquions d'avoir a affronter les grandes chaleurs. 
C'est ce qui est arrivé, malgré le fait que nous sommes demeuré dans le nord du pays, la chaleur y est devenu intolérable et ça continue à monter pour atteindre bientôt 50 degré celcius.
Il vaut mieux nous enfuir, c'est pour ça que le Népal nous attire.....et évidemment pour ces paysages et ces montagnes.

Nous quittons Varanasi à 12:30 hre. avec Air India.
Le vol ne dure que 55 minutes.
Nous arrivons à Katmandou sous la pluie. Ça fait du bien, depuis le temps qu'on désire de la pluie pour rafraîchir le temps.
Là direction paperasse à compléter pour obtenir nos visa d'entré.
Pas très compliqué, il nous faut chacun une photo à remettre avec les documents et payer $40. US chacun et le tour est joué.
Deuxième étape, trouver un guichet automatique, comme à mon habitude je retire le maximum, ici c'est 35,000 roupis népalais. J'aurais du apporter un sac pour mettre l'argent, j'ai reçu 35 billets de 1,000 roupis, ça prend de la place dans les poches.
Troisième étape, un taxi. Pas ben difficile à trouver, on a juste à choisir. 
Nous allons au comptoir "prepaid taxi" c'est un comptoir ou on paie immédiatement notre course selon l'endroit ou on veux aller. Avec notre coupon le taxi nous conduit à l'endroit payé, on évite de cette façon des détours inutiles.

Il ne pleut plus, le temps est maussade. 
Nous remarquons qu'il y a beaucoup moins de circulation qu'en Inde. 
C'est étrange, mais je commence déjà à relaxer, je sens que je vais aimer ce petit pays.
L'hôtel ou l'on voulait réservé est complet, nous en trouvons un autre tout à côté.
Pas cher $12. Mais y a pas d'eau chaude!

En soirée je contacte Suman c'est un Népalais d'ici (l'ami d'un ami quoi!), nous contactions par courriel. 
Nous voulons voir avec lui ce qu'il y a à voir dans les environs? Comment ont peu visiter la vallée? Comment on peu se déplacer?
On se fixe rendez-vous pour le 3 mai.

En soirée, une petite marche dans le quartier Thamel, pour se mettre un peu dans l'ambiance.

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Avouons le honnêtement, nous sommes content de quitter l'Inde. 
Comme certaine personne nous ont dit: "l'Inde vous aimez ou vous n'aimez pas!"
Nous avouons....nous aimons l'Inde pour son histoire, ces mystères, ces palais, ces temples, ces forts, son architecture.
Nous aimons l'Inde pour les contrastes, la bouffe, les odeurs d'épice, les couleurs.

Nous n'aimons pas l'Inde, pour son désordre, pour ça pollution de l'air, pour ça pollution par le bruit, pour sa négligence envers l'environnement, pour son manque de respect envers autrui, pour son manque de respect POINT.

Nous n'aimons pas l'Inde pour tout le côté contacte humain, ou devrais je dire, le manque de contact humain.

L'indien et ça domination sur son prochain, on le vois dans les rues. 
J'ai la plus grosse bagnole, j'ai une moto, j'ai le Klaxon le plus bruyant, toi avec le vélo, toi à pied, toi le petit vendeur ambulant, enfants, vieux malade, je klaxonne pour te dire que j'arrive..... "tasse toi".
Devant un guichet, c'est le plus fort qui gagne, la plus grande gueule, le plus fonceur, la priorité n'existe pas, si je peu grimper sur tes épaules pour passer devant toi, je le ferais.
Ce qui compte, c'est mon MOI.
Si je suis dans ton chemin, ça ne me dérange pas....."fait le tour".

L'indien peut être d'une impolitesse, d'un manque de savoir vivre, il pète, rote, crache sans aucune retenu, sans même s'excuser. L'indien ne s'excuse pas, 

L'indien vendrait son âme pour quelque roupies. Il ment avec une facilité déconcertante, cherche toujours à profiter de l'étranger. 
Il t'en demande toujours plus.

Pour l'indien, tout est relier à l'argent.

L'indien est facile d'approche s'il a un intérêt, autrement il n'en vois pas la nécessité. 
Il te sourie à pleine dents quand il veut te vendre quelque chose.
Si tu n'achète pas, il te fait la gueule. 

L'indien fixe les gens, il te dévisage, il t'incommode par son regard pénétrant.

Je suis sévère envers l'indien, j'en suis conscient.
Je crois que ce qui m'a personnellement agressé le plus, c'est qu'on a touché à mes valeurs.
Tout ce que mes parents, nous ont appris sur l'amour de notre prochain, tout ce que notre éducations nous a enseigné sur le savoir vivre, sur le respect, la confiance, toutes ces belles valeurs que nous nous sommes efforcé à inculquer à nos enfants pendant toute une vie. 
Ici, tout ça est balayé du revers de la main dès la première journée en Inde.
Ma morale a pris le bord pendant les trois semaines en Inde.
 
Pour l'indien, son prochain passe après lui-même.

Ce fut continuellement un défi de tous les jours. Nous devions constamment être sur nos gardes, surtout lorsqu'il était question d'argent.

Nous nous sommes construit un mur, mais eux essayait de le gravir.

En trois semaine suis je en mesure de connaître l'indien?  
J'en doute, mais ce sont mes constatations de notre contacte avec l'indien.

Ça c'est l'Inde du nord. 
L'Inde du sud? J'aurais aimé connaître, on la dit très différente. 

Un jour peut être, mais avant.....je dois digérer le nord.

" L'Inde on aime ET on aime pas "









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