dimanche 23 mars 2014

Bangkok 6e jours

( 23 mars 2014 )

On à très bien dormi, j'ai eu quelque douleur pas plus. Je suis quand même surpris que je n'ai pas plus de mal. Je crois que ça vas venir, quand on a quitté l'hôpital on ma remis un petit sac plein de médicament, avec les possologies, à l'intérieur il y a plusieurs pilules pour le mal.
En plus ils m'ont remis un DVD de mon dossier dans lequel se retrouve mes radios.
Nous avons rencontrer le chirurgien, nous sommes dimanche et la salle d'attente de son bureau est plein de gens.
Il a pris le temps d'expliquer à Manon se qui à été fait et de nous montrer sur radio, la comparaison entre les radios avant et après.
Il désire me revoir dans quatre jours et le 4 avril.
Je quitte avec des exercices à faire, et le bras en écharpe pour six semaines.
Retour à notre hôtel dans le vieux quartier de Bangkok, près de la Khao San Road, retour dans la jungle.
Je ne ferais pas grand chose aujourd'hui, suite aux recommandations de mon infirmière privé. 
Elle me surveille de très près.

Bangkok 5e jours

( 22 mars 2014 )

C'est aujourd'hui que j'ai mon congé de l'hôpital. Mais seulement après mon antibiotique de 16:00hre.
Je vais passé la journée dans ma suite pour la dernière fois.
Manon est venu me rejoindre, ça vas être moins plate à deux.
A l'extérieur la température change, il fait sombre, on dirait bien qu'il vas y avoir de l'orage.
On entend gronder et la pluie se met a tomber. C'est la première fois qu'il pleut depuis notre passage en Malaisie voilà deux mois.
Nous en avons pour une heure de cette averse.
Je suis au 16e étage avec très belle vue sur l'héliport de l'hôpital, c'est la troisième fois que je vois l'hélicoptère atterrir pour transporter des malade en civières.
Au niveau transport, l'hôpital est très bien équipé, hélicoptère, ambulances, camions, autobus, vannettes, motos pour ne nommer que ceux là, on les voient passer identifiés au nom de l'hôpital.
Enfin je quitte l'hôpital mais seulement vers 18:30hre. ils m'ont proposé de rester une autre nuit, mais je n'ai pas voulu, j'étais bien, mais c'est quand même un hôpital.
On vas coucher dans une petite hôtel tout près de l'hôpital, demain matin je dois voir le chirurgien qui m'a opéré.

vendredi 21 mars 2014

Bangkok, 4ème jour

(21 mars 2014)

Je suis encore au Bangkok Médical Center dans ma luxueuse suite. 
Manon préfère allé à l'hôtel, je crois qu'elle en a assé vue des hôpitaux. 
L'hôtel se trouve a 2 minutes de l'hôpital, c'est la plus près et la moins chère.
Je n'ai aucune douleur, mais tout mon bras gauche jusqu'au coude est insensible, il est inerte, je ne peu pas le bouger.
A 07:00hre c'est le petit déjeuner, crêpes, yogourt, toast avec confiture, banane et jus. La journée précédente on vous demande de faire un choix parmi six mets différent pour chacun des repas et j'avoue que les portions sont généreuse.
Après déjeuner c'est la visite des médecins, l'anesthésiste, le médecin à l'interne, pour le chirurgien je vais le rencontrer à son bureau. Très sympathique, il m'explique comment c'est déroulé l'opération, me montre une radiographie prise après l'opération et nous la comparons avec l'autre avant. 
Il me garde une autre nuit, il veut faire certain que mon bras ne sois plus engourdie quand je partirais. J'ai pas a me plaindre.
Il me fait part que je peu continuer à voyager, mais je vais devoir porter un écharpe pendant six semaines.
On se revois demain et il vas me montrer des exercices à faire.
Pour se qui est de mes entraînements en musculation pas de problème, mais pas tout de suite.
Retour dans ma suite, pour le reste de la journée, c'est regarder la télé, le wi-fi, des marches dans les corridors avec Manon.
Les infirmières viennent régulièrement ma voir pour un suivie, pression, température, questions habituel, tout est toujours beau.
Du balcon de ma chambre je vois l'héliport, trois fois dans la journée je vois l'hélicoptère venir portes des patients, il y a tout un comité d'accueil pour les recevoir.
Ce n'est que vers 18:00hre que je commence à ressentir de la douleur, je peu bouger mon bras et ma mains, l'anesthésie s'estompe.
Je crois que la nuit seras plus longue.

jeudi 20 mars 2014

Bangkok, 3ème jour

( 19 mars 2014 )

Ce matin à 07:30hre. je suis déjà parti pour l'hôpital.
Pour me rendre à la première station du Sky Train, je prend un moto taxi, qui roule en fou en zigzaguant dans la circulation. (A bien y penser c'est pas très brillant de ma part! Mais avec les embouteillages ici, c'est très rapide).
Arrivé sein et sauf, je prend le Sky train qui me conduit à la station Phrom Ponn. 

De là, je dois prendre encore une moto taxi qui me débarque aux portes de l'hôpital.
(Même si je voulais le faire à pieds à partir d'ici, ces petites rues forme un vrai labyrinthe).
Je me présente à la réception de la médecine interne.
On me prend tout de suite en main, direction les tests d'usage, pression, température, prise de sang, test d'urine, éloctrocardiograme, et pour terminer encore une radiographie.
Quelque minutes d'attente, je rencontre le médecin, des questions, il m'ausculte, regarde les électros et la radiographie, tout est correct. 
Je suis arrivé à l'hôpital à 09:00hre. A 11:00hre. tout était terminé.
Mon opération est prévu pour demain 09:00hre.
Avant de partir je vais au bureau des concierges (comme dans les grands hôtels) pour obtenir l'adresse d'un hôtel tout près.
Je me rend à l'hôtel et réservé une chambre pour 3 jours.
Je part rejoindre Manon en refaisant le trajet inverse.
Manon m'attend au Guesthouse avec les sacs à dos prêt. 
Une petite pause et nous repartons direction.......l'hôpital, ce soir nous allons coucher tout près, dans les environs.






Bangkok, Thaïlande

18 mars 2014

Pas très bien dormi.
Je regarde sur mon i-pad, si j'ai des nouvelles de mes assurances. Aucune message. 
On est pas pour rester dans notre chambre à se morfondre, à regarder tous les quinze minutes si on a des messages.
On vas se promener pour se changer les idées.
Nous achetons une carte de la ville et partons à la découverte des environs. 
Notre promenade nous conduit près de la rivière Chao Praya qui sillonne la ville. Il y a beaucoup de bateau circulant dans toutes les directions et nous voyons au loin un majestueux pont.
Assis près de nous dans le parc ou on se trouve, un français qui connaît bien la ville 
nous indique des endroits intéressant à voir.
Parmis ces endroits il y a le Wat Pho, encore un temple, mais selon le monsieur français, il faut absolument le voir.
Pour si rendre nous allons emprunter la navigation sur l'eau, le taxi boat. 
On doit-être environs 300 personnes sur ce bateau dont la moitié sont debout. Si jamais ça coule ça vas être laid.
Nous débarquons près du Temple juste à temps pour casser la croûte du midi.
Nous dégustons un excellent riz aux poulets dans une petite gargote.
Le ventre plein on se dirige vers l'entré du temple. 
Il s'agit d'un monastères entouré de hauts murs qui délimite tout un quartier.
Sur le site il y a deux magnifiques temples dont un contient un immense bouddha couché.
En se promenant je ne peu faire autrement que d'imaginer ces lieux comme un "Bouddhaland" un parc d'attraction quoi, voyez ces immense stupas.
Plusieurs photos plus tard, on en à assez, il fait trop chaud on retourne à la chambre.
En arrivant je me précipite sur mon i-pad, pas de message. 
On en à assez d'attendre, nous prenons une importante décisions!
Nous achetons un téléphone cellulaire (notre premier cellulaire).
Après les explications sur le fonctionnement de l'appareil, j'appelle la compagnie d'assurance s'ils ont du nouveaux.
La réponse nous réjouis, le préposé nous annonce qu'ils autorisent a 100% l'opération d'urgence, et que voilà une heure ils ont avisé le Bangkok Hospital en leur faisant parvenir une garantie de paiement.
Je contacte l'hôpital et parle avec une des infirmières qui m'ont accueilli hier. 
J'ai un rendez-vous de prévu avec un médecin demain avant-midi en préparation 
à l'opération.
Nous sommes content de cette bonne nouvelle, on vas bien dormir ce soir.

mercredi 19 mars 2014

Bangkok Hospital Medical Center

17 mars 2014

Comme titre ça sonne bien!
Aujourd'hui la journée est prévue pour une consultation avec un spécialiste au Bangkok Hospital Medical Center, c'est un hôpital privé.
Nous allons nous présenter sur place sans rendez-vous.
Première chose à faire c'est de ce trouver un moyen de transport.
En sortant de notre Guesthouse, les tuk tuk, se précipite vers nous.
On en choisi un au hasard (pas le temps de lui faire passer un test QI) il est choisi pour sa vitesse à nous aborder.
Je lui montre l'adresse et lui dit que c'est le Bangkok Hospital.
Oui, oui, qu'il fait signe avec la tête et de grands geste de la main, grand sourire fendu jusqu'aux oreilles, trop content d'avoir un client.
Il demande 400 baht.
Nous partons en grande vitesse, et comme d'habitude c'est du tricotage dans la circulation, c'est de nous montrer qu'il est le meilleur chauffard en ville.
Je vais faire une histoire courte, il nous a conduit à la mauvaise hôpital, nous avons repris la route avec lui, il disait que là il savait ou c'est, demandait ça route aux gens et enfin arrivé nous demande 1,000 baht en disant que c'était loin et qu'il y avait de la circulation.
Petite argumentation sur le bord de la rue, j'ai consenti à lui donner 500 baht, point final, y ai pas content pis y a vue que moi non plus. 
Les chauffeurs de tuk tuk sont comme ça, pour ne pas perdre un client, ils disent tous qu'ils connaissent le chemin pour vous conduire, même s'il ne la connaisse pas. 
Enfin au Bangkok Médical Center, en entrant c'est comme le hall d'un grand hôtel chic. Je me présente au comptoir d'accueil, la jeune dame demande comment elle peut nous aider. 
Je parle au téléphone avec une personne qui parle français.
La jeune dame à la réception nous conduit à un autre comptoir d'accueil.
Immédiatement on me demande mon passeport, toutes mes coordonnés, on prend ma photo et on me remet une feuille avec ma photo on me dit qu'on me feras voir par un spécialiste pour les épaules?
 
On me remet un papier avec ma photo et tous mes coordonnés et me demande de me rendre au 5e étage, en médecine sportive voir le docteur Yutthavat Tirakanoksathit...... (évidemment avant d'être arrivé au 5e étage, j'avais oublié son nom).
Arrivé au département de médecine sportive, c'est comme si j'arrivais dans un autre hôtel, avec réception 4 à 5 infirmières qui nous accueillent. En présentant mon papier, ils m'attendaient me demande de nous asseoir et de bien vouloir patienter.
Avec les grosses chaises bien capitonnés et les télés à écran plat, je veux bien patienter le temps qu'il faut. 
Mais non, 5 minutes plus tard, on viens me chercher et me conduit dans une salle, un infirmier (pas chanceux) fait les premiers test d'usage, pression, température (bin non, y m'a pas chéqué la prostate). 
Retour en salle d'attente. Bon je vais pouvoir continuer à regarder la game de soccer. Bin non!
Une jolie infirmière viens me chercher (faut croire que la beauté est un critère d'embauche pour les infirmières ici....là je suis prêt pour un test de prostate!) malheureusement elle me conduit au docteur Yutthavat Tira......machin. 
Très bien acceuilli, il regarde le négatif pris à l'hôpital Vientiane du Laos, il m'ausculte, me questionne et demande qu'on me fasse des radiographies.
Retour en salle d'attente pour la suite du soccer........que je n'aurai pas la chance de voir la fin. Une autre infirmière (jolie elle aussi) me demande de la suivre pour des radiographies........(je vous suivrais n'importe ou mademoiselle).
Nous descendons au 1er étage, pour arriver à la section Rayon-X. Autre salle d'attente style, hôtel de luxe, grosses chaises capitonnés et télé, mais pas sur le canal de soccer. 
Ça me fait rien, je serais pas ici longtemps. 
Comme de raison, on viens me chercher pour me conduire en salle de radio.
Trois radio plus tard, on me dit de remonter au 5e étage revoir le docteur......machin.
Arrivé à la salle d'attente, juste à temps pour voir au soccer un but compté par......les chandails jaunes.
Retour dans le bureau du docteur, les radios se trouvent sur son écran d'ordinateur, c'est incroyablement moderne. 
C'est là qu'il m'explique que mes ligaments qui retiens la clavicule ont été étirés au maximum, ils ne sont pas déchirés, mais ne reprendront pas leur tension a moins d'une opération pour reconstituer les ligaments. Il nous dit qu'il y a 6 niveaux sur ce genre de blessure, la 1 étant la moins grave, je suis au niveau 5.
Il est prêt a faire l'opération qui doit durer 2 heures dès demain.
Je patiente environs quinze minutes et la une autre dame viens nous rencontrer avec un estimé des coûts de l'opération. WOW 
Un instant pas trop vite, je dois contacter mes assurances.
Lorsque je parle avec le préposé de l'assurance, il m'annonce qu'il à reçu l'estime de l'opération, vue l'importance du montant, de ne rien signer tout de suite, qu'il faut attendre qu'un comité évalue le dossier avant de donner le OK. 
Je dois attendre jusqu'à demain après-midi.
(Je ne vous raconterai pas tout se qui c'est fait auprès de notre assurance Croix Bleu, mais a défaut de faire leur publicité, je peu dire qu'on a eu de très bon service.)
Pas de problème, l'hôpital me demande de payer ma consultation aujourd'hui, et me remet un numéro de téléphone pour que je les contactes lorsque j'aurais des nouvelles de mes assurances.
De retour à notre Guesthouse, on se posent plusieurs questions.
Les assurances vont-ils accepter l'opération? vont-ils demander notre retour? est-ce la fin de notre voyage? etc, etc......
Nous n'avons pas le choix, il faut attendre.
Plus tôt que de broyer du noir, nous sortons pour un bon café.
Nous trouvons un petit café sympathique, juste le fait de parler avec les jeunes serveurs qui désirent pratiquer leur anglais, c'est étrange mais ça nous remontes le moral.
Pour souper nous décidons de nous rendre dans la jungle du Khao San Road.
Pour m'ouvrir l'appétit on se dirige vers un comptoir qui me m'appelle depuis quelque temps. 
Le comptoir à "bibittes frits". Ils ont l'air tellement appétissante.
Je me lance avec un belle et dodu sauterelle.
C'est surprenant! Elle est délicieuse, ça goute les cacahouètes.
Je me risque avec les criquets....pas méchant, mais je préfère les sauterelles.
Il y a bien des asticots, des blattes, des scorpions et des grenouilles sèchés, mais pas ce soir.....peut être un autre fois.....avec une bonne bières.
Nous allons essayé de bien dormir quand même ce soir. 
On verras demain se qui vas ce passer.
























mardi 18 mars 2014

Direction Bangkok, Thaïlande.

16 mars 2014

Ce matin nous quittons Siem Reap pour Bangkok en Thaïlande. 
Devant notre Guesthouse une accrochage entre un TukTuk et une cantine ambulante nous divertis, nous ne savons pas ce qui se dit, mais, on comprend facilement qu'ils ne sont pas content.
Ça vas finir avec des tapes sur la gueule ça! Mais nous n'avons pas le temps de voir ça.
Un TukTuk viens nous chercher à notre Guesthouse pour nous conduire à l'agence de bus. 
Après 20 minutes d'attente, une petite marche pour rejoindre notre bus stationné dans une rue voisine.
Nous voilà dans un bus ordinaire, tout ce qu'il y a de plus ordinaire, on repassera pour le VIP.
Donc nous quittons Siem Reap par l'autoroute, si on peu appeler ça un autoroute.
Des trous, des bosses, des bouts de route en terre, des travaux de construction on à tout eu.
Au moins le paysage était intéressant. Nous traversons des terres plats, de très grand champs dont rien ne semble pousser, seul des animaux en liberté, en grande liberté, il n'y a pas de clôture, on en voit souvent sur le bord et sur la route.
Ça ressemble beaucoup au Laos, avec ces maisons très rudimentaires tout au long de notre trajet.
Les gens ne semble pas avoir la vie facile ici.
Après une halte dans un patelin que je ne pourrais vous nommez! 
(Il faut bien s'hydrater et faire passer cette satané poussière qui qui à pénétré dans le bus). 
Nous repartons direction la frontière.
Une heure plus tard nous arrivons à la limite ou l'autobus ne peut allé plus loin, là le fun commence.
Le bus ne traverse pas de l'autre côté. On nous débarque du côté du Cambodge et un type nous colle une étiquette rouge sur le buste.
Il faut ramasser nos sacs à dos et direction à pied, sous le gros soleil, vers l'immigration Cambodgienne. 
Nous sommes une bonne centaine, sacs à dos à faire le piquet à l'abris sous un toit avec 3 gros ventilateurs qui font leur possible pour nous éventer. 
Tout ce beau monde ce dirige vers trois petits guichets oû se trouve des fonctionnaires bien installés à l'air climatisé. C'est la vérification de sortie du pays.
Il fait terriblement chaud, nous sommes trempés de sueurs.
45 minutes plus tard, ce premier contrôle est passé.
Nous repartons sacs au dos, directions la frontière. Personne pour nous dire ou aller, la meilleur façon c'est de suivre quelqu'un. 
Enfin! quelqu'un qui vas nous renseigner, c'est un militaire assis à une table, il nous remet une formule à remplir et nous indique l'escalier derrière lui, pas plus que ça, côté dialogue....on repasseras.
Rendu en haut des escaliers, nous poussons les portes et........merde! 
La centaine de personnes du premier guichet sont rendu ici, ça recommence.
Là c'est la douane de la Thaïlande, encore la file.......
Un autre 45 minutes à avancer à pas de tortue, il y à bien l'air climatisé dans cette grande pièce, mais il y a tellement de monde qu'elle ne suffit pas.
Bon! qu'elle sera la prochaine étapes?
C'est le contrôle des bagages. Comme dans les aéroports, il y a ce fameux tapis roulant sur lequel nos sacs à dos vont passer sous les rayons-X, mais ici il se trouve à l'extérieur et est deux fois plus gros.
Pas de file d'attente, c'est vite expédié.
Enfin, après deux heures nous sommes traversé en Thaïlande.
Adieux Cambodge.

Bonjour Thaïlande.

Là il nous faut retrouver notre bus. Nous marchons devant nous sans personne pour nous diriger, comme on dit! "nous allons au pif".
Nous retrouvons notre guide du bus qui en nous voyant nous fait signe de venir le rejoindre. A notre arrivé il inscrit au crayon feutre, un numéro sur l'étiquette qui avait été collé sur nous et nous demande d'attendre avec les autres sur le trottoir.
Après 20 minutes d'attente au gros soleil, un camion viens nous chercher par groupe de quinze personnes et nous conduit à se qui ressemble à la station de bus, je devrais plus tôt dire, la station de mini van. 
Notre bus VIP est devenu une van. 
Après 30 minutes d'attente, notre groupe de 15 personnes s'entassent avec bagages dans ce bus miniature. 
Notre chauffeur nous avise que nous avons quatre heures de route pour nous rendre à Bangkok, il est alors 14:00hre.
Tout se passe bien la route est droite et belle.
40 kilomètres avant d'arriver à Bangkok, c'est l'embouteillage, on se croirait entrer à Montréal par le métropolitain aux heures de pointe, mais ici c'est une route à 5 vois.
Quand nous arrivons a destination il est 19:30hre. Le bus nous débarque tous dans le vieux quartier, oû se trouve la populaire Khao San Road.
Ici, c'est la rue des bars, la rue des party, la Sodome, la jungle quoi!
On croyait avoir tout vue à Siem Reap..........
Après 20 minutes de marches, nous avons enfin trouvé une chambre convenable,
pas donné $21.75 la nuit.