lundi 14 avril 2014

Delhi, Inde 4e jour

( 13 avril 2014 )
Hier soir au couché, nous avons eu un concert de drum sous notre fenêtre, il s'y donnait à cœur joie, on y a eu droit jusque vers 23:00hre.
Ce matin nous avons prévu aller voir le Jama Masjid, la plus grande mosquée de l'Inde.
Nous descendons dans le portique pour notre café et toast du matin, comme à son habitude, notre ami qui se racle la gorge est là lui aussi. C'est trop pour Manon, elle vas revenir quand il aura fini.
Nous ne prenons pas un ricksaw tout de suite, nous allons nous imprégner de l'ambiance de la rue en marchand sur la Main Bazar.
Nous prenons un ricksaw seulement lorsque nous sommes près de la station de train New Delhi, ici c'est la foule et rien de mieux qu'un ricksaw pour si faufiler.
On a bien fait il est habile (comme tous les autres d'ailleurs) mais ce qu'il a de plus que les autres, il ne se gêne pas pour engueuler les gens qui sont dans son chemin.
Mais.....s'en est un autre qui veut nous proposer des tour guidés.
Pour nous rendre à la mosquée, je trouve qu'il fait pas mal de détour, c'est long, on passe dans plusieurs ruelles, on tricote dans la circulation, mais......ça nous fait rien, ça fait notre tour de ville, pis c'est amusant de l'entendre gueuler après les gens.
De toute façon on a négocié le prix de la course avant de partir.
Arrivé à la mosquée, il est imposant à voir de l'extérieur.
L'entré est gratuite, mais il faut payer pour pouvoir prendre des photos.
Nous avons une quarantaine de marche a monter pour arriver à une des quatre entrées de la mosquée.

Mais, avant d'entrer il nous faut se déchausser. Pas question de laisser nos sandales dans ce monceau de sandales.
Manon avait prévu le coup, un sac pour les sandales et des bas pour ces pieds.
Moi chu un tough, je reste pieds nu.
Mais ce que madame n'avait pas prévu, c'est cette grande jaquette multicolore qu'elle a été obligé de porter pour dissimuler ces épaules. 
Elle est très jolie avec ça.

La mosquée est en réalité une immense place ceinturé de murs ayant chacun une porte d'entrée, sauf le mur "ouest" où se trouve la bâtisse principal entre deux minarets. 








J'ai oublié, il y à le bassin d'eau dans le milieu de la place ou les gens peuvent se tremper le visage et les pieds.
Dans la grande bâtissent, contrairement aux temples ou il y a des autels des statues, ici il n'y a rien à l'intérieur, ce n'est qu'un endroit de prière.

Dans la place on se fait aborder par des gens qui mendie. 
Certain comme les enfants sont plus ratoureux, alors que je prend Manon en photo, une jeune enfant se dépêche à s'installer près de Manon, pour après demander des roupis.
Le site est majestueux, après 45 minutes nous en avons fais le tour. 
Lorsque nous ressortons notre ricksaw, est resté sur place à nous attendre.
Pour le même prix, il nous reconduit près de la gare New Delhi, nous voulons marcher la Main Bazar pour retourner à notre chambre.
Quand je lui fait la remarque que le retour à été beaucoup plus vite que l'allé, il souri.
C'est Manon qui a eu l'idée de marcher le Main Bazar, évidemment elle avait une idée derrière la tête. Elle a magasiné en s'en allant, elle s'est acheté une belle chemise indienne pour 150 roupis ($3.)

dimanche 13 avril 2014

Delhi, Inde 3e jour

( 12 avril 2014 )
Ce matin on est gonflé à bloc. On a bien dormis.
De plus ça fait trois semaines que je porte mon atèle, j'en ai pour trois autre semaines, j'ai bien hâte d'en avoir fini, c'est chaud sur le corps.
Bon sur l'horaire d'aujourd'hui, la visite du Fort Rouge.
Avant de partir, nous descendons dans le petit portique de notre Guesthouse pour notre café matinal. Comme à tous les matins, il y a un type qui utilise la salle de bain au côté de nous pour le grand lavage corporel et c'est le raclage de gorge, comme on dit par chez-nous, "yé t'après se gourmer", pis pas a peu près, y vas le chercher loin.
Pis ça c'est normal ici, on le vois et entend surtout, pis tout le monde crache, homme comme femme.

Nous partons tôt pour profiter de la fraîcheur du jour.
Nous allons prendre un rickshaw car ça semble un peu loin.
Je fais signe au premier qui passe. Je lui demande combien pour nous conduire.
Il demande 200 roupis, je lui offre 100 roupis, il commence à me raconter une histoire qu'il ne peut pas me conduire en dehors du Old Delhi, mais que.....
<< Aie c'est fini les histoires! >>
<< Tu peu pas, c'est pas grave >>
Il y en a un qui viens a moi il nous offre ces services, la deux autres types s'ingèrent dans la conversation???
<< Aie, c'est assez! je parle avec lui >>
Ils sont surpris et tout le monde se taie. Là je peu négocier calmement avec le chauffeur, les deux gars ne parlent plus.
Pour 100 roupis il acceptent de nous conduire.
Pour la première fois depuis notre arrivé nous sortons du quartier de Old Delhi.
Nous qui pensions qu'à l'extérieur du vieux quartier se serait un peu mieux, on a des surprises. Y a autant de monde, beaucoup de circulation et la misère y est plus visible.
Ça doit nous avoir pris un bon 20 minutes pour nous rendre, le chauffeur n'a pas essayé de nous vendre quoi que se soit, ne nous a pas raconté sa vie et n'a pas essayé de nous fourrer. 
Ça vaut bien un 40 roupis de pourboire, il était bien content.
Devant nous la silhouette imposant de Fort Rouge. C'est une forteresse en grés rouge, d'où son nom. 
Nous allons avoir chaud, c'est en plein soleil.
Je me rend chercher les billets pour entrer. Il y a deux guichets, un pour les Indiens prix d'entré 10 roupis et l'autre guichet pour les touristes 250 roupis.
Les touristes paient beaucoup plus cher et, je trouve ça ben correct, c'est quand même à eux ce fort, c'est leur histoire.

Les murs et la porte principal d'entré sont impressionnantes, on revie la grandeur de l'ancienne cité moghole construit entre 1638 et 1648.
Peut ont imaginer que ce fort fut construit, alors que l'Amérique venait d'être découverte!

En traversant cette immense porte (la Lahora ) j'imagine revoir le défilés d'éléphants diriger par leur cornac transportant l'empereur et ça cour, tous somptueusement décorés.
A l'intérieur des murs on se retrouve dans un immense parc nous permettant de fuir la cohue de la ville.
A l'abris des arbres avec un peu de la fraîcheur du matin, la visite des bâtiments se fait bien et deviens plus plaisant.

En nous baladant nous sommes émerveillé par les couleurs des saris des indiennes.
Je me risque et je demande a un groupe de femme si je peu les prendre en photos. 
A notre grande surprise elles acceptent avec empressement, elles sont emballés et demandent à Manon de venir dans la photo. Elles rient de bon cœurs, ça fait du bien à entendre et a voir.
Par après, quand nous recroisions ces dames, elles nous souriaient et envoyaient la main.
C'est étrange, mais pour nous ce fut un petit moment magique qui nous a fait chaud au cœur.
Il y a eu un groupe de jeunes qui voulait se faire prendre en photo avec nous....je devrais plus tôt dire avec Manon. 
Ça semblait plus macho qu'autre chose.
Accompagnant les jeunes, il y avait un vieux monsieur le teint cuivré, signe d'une vie rude et bien chargé, il à bien voulu prendre la pose avec Manon.
La visite terminé, nous décidons de nous noyer dans la cohue de la rue Chandni Chowk, qui fait face au Fort Rouge.
CIEL!  C'est incroyable, c'est FOU FOU FOU.

On pensait qu'il y avait du trafic près de notre Guesthouse! 
C'est même pas comparable avec ce qu'on vois ici! 
Dans le quartier du Old Dehi c'est le désordre, ici c'est le GRAND DÉSORDRE.
Les seul bon points ici, c'est qu'il y a des trottoirs ou on peut se permettre de jouer du coudes, et la rue est a deux voies, séparé par un terre plein. Là s'arrête les bons points.
On vois de tout, et on sent de tout. Il y a des couleurs et il y a des odeurs.
Sans parler que le concepts de la pollution par le bruit ne c'est pas rendu jusqu'ici.
Dans les rues c'est la loi du plus gros, du plus fort et du plus fou. 
C'est celui qui feras le plus de bruit.
Tout se qui a des roues y circule. Tout se qui se déplace à l'énergie mécanique, animal ou humaine si retrouve également.
Il y a les riches avec leur bagnole, les moins riches avec leur moto, les pauvres avec leur brouettes tiré à bout de bras.
Il y a les taxis, pour les gens et touristes en moyen, il y a les rickshaws pour les gens et touristes moins nantis, il y a les vélopousses pour les gens et touriste parcourant de courte distance et il les pauvres, n'ont que leur sandales (quand ils en ont).
Je passe sur beaucoup de chose que nous voyons et qui nous surprend.
Nous nous promenons pendant une heure, dans cette foule et ce cohue.
Pour dîner on a beau essayé de chercher quelque chose de typiquement indien, Oublier ça,  a moins de prendre se qui se cuit sur le bord de la rue, au risque d'avoir des petits problèmes gastrique, non merci.
On se rabat sur le McDonald, et oui, il y en a un ici, un McDo sans viande, seulement du poulet. 
Vas pour un chicken Maharadja, c'est ce qui remplace le BigMac.
Bien rassasié, nous quittons pour revenir à notre chambre. 
Nous trouvons un jeune chauffeur de rickshaw, je lui dit ou nous voulons aller, c'est près de la station de train Old Delhi.
Et c'est parti....mais tsé quand je vous dit qu'avec nous c'est jamais facile, notre chauffeur nous trimballe dans la ville dans un trafic fou et nous conduit à la gare Old Delhi. 
Malheureusement ce n'est pas la bonne gare. 
On viens a bout de se comprendre et aussi bizarre que ça puisse paraître, notre Guesthouse qui se trouve dans la Old Delhi est desservie par la station de train du NEW DELHI alors que le quartier New Delhi est desservi par la station de train OLD DELHI.
C'est à ce demander s'il le font exprès.......
Tout ça pour dire que notre jeune chauffeur nous a promené pendant une heure dans les rues du New et Old Delhi, un tour de ville quoi, et bizarrement.....on a aimé ça.


Mais BON DIEU! C'est le bordel partout.
Je ne peu imaginée, jour après jour, me lever et me coucher dans ce cohue.
Nous sommes des gens privilégiés de vivre au Québec. 























































Delhi, Inde 2e jour

( 11 avril 2014 )
Comme d'habitude le lendemain de notre arrivé à un endroit, nous partons à la découverte du quartier. 
Mais ce matin je vais me balader seul, Manon a une migraine (qui en aurait pas avec le concert de Klaxon qu'il y a ici). 
Je vais en profiter pour me rendre à la gare pour acheter le livre sur les horaires de train. 
Grâce au petit guide de mon ami Guy, ça devrait être facile. Mais comme vous savez avec nous, rien n'est facile.
En sortant de notre Guesthouse, je me retrouve en plein action, les Klaxons on déjà commencer, la vie s'anime tôt.
C'est assé facile et difficile à décrire l'animation de la rue.
Facile, parceque je pourrais seulement vous dire que c'est bordélique, c'est un désordre total.
Difficile, parceque si j'essai de vous expliquer ce que je vois, je n'en finirais pas.
Faisons l'exercice quand même. 
Imaginez Il fait beau soleil avec ciel sans nuages, le temps est chaud, mais sec, étrangement c'est tolérable.
Vous quitter votre Guesthouse et vous vous retrouvez dans une ruelle ou un type répare une moto, un autre passe ça journée à repasser des vêtements avec un fer de pierres chaudes,
 d'autre hommes sont assis ou accroupis sur le sol et jase entre eux, un autre est couché de tout son long et semble dormir.
Là vous arrivez à l'artère principale, la Rajguru road.



C'est une rue pas tellement plus large qu'une rue normal de chez-nous, à la différence qu'il n'y a pas de trottoirs, la rue en pavé plein de trous est écrasé par des bâtiments en hauteurs. Bâtisses pour la plus part non entretenues et même en ruine. La circulation est sans logique, aucun code ne s'applique. Camions, autos, motos, rickshaws, vélopousses, piétons, vaches, chiens, c'est au plus fort le passage. Dans ce petit jeux, le piétons est rarement gagnant.
Il y a des autos et motos stationner partout dans tous les directions, en double s'il le faut et perpendiculaire à la rue.
Quand tu marche dans les rues, (ne chercher pas les trottoirs il n'y en a pas, et s'il y en as c'est pour tout autre utilité que la marche) tu dois avoir les yeux partout (pour éviter de mettre les pieds dans quelque chose.....).
Ici le Klaxon est utiliser pour te dire je m'en viens, pour te dire attention, pour montrer leur impatience et je pense même pour le fun de klaxonner.
Sur beaucoup de camion, à l'arrière c'est écrit " horn please"???
Il y a des petits vendeurs ambulants un peu partout, des gens qui marches dans les rues, il y a ceux qui dorment sur le bord des bâtisses, il y à les mendiants, ceux qui marchent et ceux qui rampent. Il y a les vaches qui eux ont tous les droits et les chiens errants qui fouillent les déchets. 
Et parmis ce beaux mondes, se balade quelque touristes comme nous a la recherche de changement, d'exotisme. Ici on est loin des plages du sud!
Arrivé sur la Main Bazar Road, l'artère majeur du Old Delhi, la circulation y est encore plus désordonné, comme le nom le dit, c'est la rue des commerces, c'est LA place.
Si vous chercher un resto avec terrasse, regarder vers le haut, les terrasses sont sur les toits. Pas question de faire une terrasse au ras du sol, l'achalandage ne le permet pas, sans parler de la pollution, du bruit, des gens qui vous fixe, des vaches qui mangeraient dans votre assiette et des chiens qui vous pisserait dessu.

Et puis c'est vraiment plus relaxant de voir de haut ce foutu bordel.
Comme à mon habitude je suis parti dans la mauvaise direction, j'ai pris la rue Main Bazar dans le mauvais sens. Ne trouvant pas la gare, je me rabat sur un rickshaw qui mis conduit rapidement.
En me dirigeant à pieds vers la gare un type que je croyais travailler a la station de train, voyant que je cherchais quelque chose m'aborde et voulant m'aider me dirige dans une autre direction.
Je me suis retrouver dans une agence de voyage, quand j'ai vue ça j'ai demandé au type de l'agence, qu'il ne perde pas son temps que je veux juste le livre sur les horaires de trains. Je quitte les lieux sans le livre. 
Un autre type sort de la même agence et me dit que l'agence a essayé de le fourrer, il s'offre de venir me montrer ou se trouve le centre d'information touristique qui eux pourrons m'aider.
Je le suis et me retrouve dans une autre agence de voyage.
Merde! Tout le monde essaie de nous fourrer ici.
<< Je retourne à la gare, pis qui en a pas un maudit qui veuille me rendre service >>
<< Aidez moi pas personne, ça vas allé beaucoup mieux >>
A l'intérieur de la gare, ça m'a pris 10 minutes et j'avais le fameux livre désiré.
Pour retourner à l'hôtel, je n'ai qu'à prendre la rue devant la gare c'est la Main Bazar  Road, je vais devoir la marcher d'un bout à l'autre pas de problème et je vais m'amuser à dire NON à tous ceux qui m'adresse la parole, ce sera ma petite vengeance.
<< Non! je suis pas rancunier.....mais quand même >>
Mais pour me rendre sur la Main Bazar je dois traverser un carrefour très achalandé, 
il y a bien une police dans la rue, mais je pense que c'est juste un bibelot. 
Il me faut foncer et zigzaguer entre les véhicules, et aller à la limite du risque, sinon personne ne vous donne de chance.
Arrivé à la chambre, je dois me reposer, je suis fatigué, la chaleur, le bruit, être constamment sur ces gardes, je m'allonge sur le lit et tombe endormi.
Nous sortons vers l'heure du souper, mais nous aimerions avant consommer une bonne bière fraîche.
Quel misère, ici nous sommes dans un pays hindouisme et musulman, la bière leur ai interdit. Les gens ne doivent pas voir ceux qui consomme de la boisson.
Il y a bien quelque rare bar, mais l'intérieur de ces bars, sont sombre et pas très attirant.
Nous trouvons un bar qui a un peu plus d'allure avec une vitrine teinté (pour ne pas être vue entrain de consommer) notre jeune serveur, nous fait la morale, disant que la consommation de bière n'est pas bon.
<< Ben vois tu mon gars, si tu veux prêcher sur les méfaits de la boisson, c'est pas dans un bar que tu devrais travailler, mais dans une mosquée >> 
Et TOC ça m'a fait du bien....
Nous trouvons un resto "on the roof" on a une belle vue sur cette fourmilière humaine.
Quand nous quittons le resto, il y a beaucoup de gens dans les rues, la fraîcheur des soirées les faits sortir.
Nous retournons à notre chambre en nous disant que malgré tout, c'est pas si pire....





vendredi 11 avril 2014

Direction Delhi en Inde

( 10 avril 2014 )
C'est aujourd'hui que nous quittons Bangkok pour l'Inde. Depuis le temps qu'on attend, c'est comme si nous recommencions du début. 
Il y a notre compagnie d'assurance qui nous ont envoyer un message en disant
" Qu'elle beau voyage vous faites ". C'est le fun, sont pas rancunier d'avoir eu à payer.
Nous disons adieux aux personnels de l'hôtel Traha House, pour la plus part se sont des femmes, nous avons été bien traité, et c'est un endroit propre que nous recommandons facilement.
Bon à 09:00hre. Comme prévu, nous attendons notre ride pour l'aéroport, sont pas à l'heure c'est normal.
À 09:10hre. une petite van arrive (seulement 10 minutes de retard).
Nous sommes huit à l'intérieur, en cours de route, à une lumière de circulation, il parle avec une autre van arrêté au côté de lui.
Tous les deux s'arrêtent sur le côté de la rue, le chauffeur nous dit qu'il faut changer de bus et nous fait embarquer dans l'autre van ou nous nous retrouvons tassé comme des sardines. Notre van tourne de bord et s'en vas.
Quand je vous disais hier, qu'ils se foutent des gens, c'est l'exemple type.
Passons.....faut pas gâcher cette belle journée.
L'aéroport de Bangkok est immense et moderne, très facile de se retrouver.
Nous quittons avec Indigo air line, dans l'avion c'est notre premier contact avec des indiens, nous sommes en minorité, y a pas grand blanc ici. 
Je peu tu vous dire qu'ils sont bruyant et prennent de la place, pas habitué de vivre ça dans un avion.
Le vol se passe bien, nous arrivons à Delhi vers 15:45hre. nous reculons l'heure d'une heure. 
Ici aussi c'est une belle aéroport, tout se passe bien. 
Grace au petit livre que notre ami Guy Lassonde à publié sur l'Inde, il nous dit comment s'y prendre a notre arrivé.
Après avoir traversé les formalitées d'usage.
On se dirige vers le comptoir ou on paie le taxi tout de suite pour le trajet ou on veut se rendre, ils nous remettent un reçu que l'on doit remettre au chauffeur.
Pour faire une histoire courte, nous prenons un chauffeur qui a de la jasette, je lui montre l'adresse ou on veut se rendre et on part.
Il nous parle de tout et de rien, il est très amicale.
En cour de route on dévie vers une agence de voyage ou un type me dit que l'hôtel ou je veux aller est fermé.
Ils ont poigné un nœud, je les aient traités de menteur (je vous ferais grace de ce que j'ai rajouté) pis j'ai dit à notre chauffeur d'embarquer dans son &+#% de taxi, pis de nous amener à l'hôtel si y veut son reçu (dit sur un ton qui ne porte pas à répliquer).
Faut dire que notre ami Guy Lassonde nous avait mis en garde contre se stratagème.
Il nous a conduit, a contre cœur, à l'endroit désiré.
Nous nous trouvons sur la rue Rajguru dans le vieux Delhi. 
C'est du jamais vue pour nous.......faut pas arriver de nuit ici. 
C'est le capharnaüm, tous les termes que j'ai déjà employé, jungle, bordel, pagaille, s'applique en MAJUSCULE.  
C'est un désordre incommensurable.
C'est tout simplement indescriptible. 

Tout se qu'on peut avoir lue et vue sur les vieux quartiers de l'Inde, on le retrouve.
On a pas encore fait le tour du quartier qu'on a déjà une bonne idée de se qu'on y retrouveras. 
Nous trouvons  situé dans une ruelle, l'hôtel Chandler la propreté est à la limite de l'acceptable. 
Mais se qui compte pour nous c'est de nous éloigner du bruit des rues principales et l'air conditionné évidemment.
Quand nous sortons pour aller souper, l'air est plus fraîche, les gens sortent à l'extérieur, c'est la foule. Comme on dit "on est dans le bain".
Sérieusement, j'ai de la difficulté a décrire se qu'on vois et vie. 
Nous trouvons un restaurant terrasse sur le toit d'un édifice. Dans ce quartier, il n'y a pas de terrasse dans la rue, oubliez ça, les terrasse se trouvent en hauteur.
De notre table, nous avons une vue en plongé sur le désordre qui règne tout en bas. 
L'histoire des vaches dans les rues! c'est vrai, il y en a cinq qui se baladent librement en mangeant je ne sais quoi qui traine et que des gens leur donnent.
Quand nous revenons à notre guesthouse nous sommes fatigués et vidés, dépassé par se que nous voyons. On verras pour la suite demain.