dimanche 4 mai 2014

Bhaktapur, Népal

( 4 mai 2014 )
Suman est bien à l'heure, il viens nous chercher avec un taxi et son sourire.
Nous quittons Katmandou, la polluée. On se dirige vers Bhaktapur une ville à une vingtaine de kilomètre de Katmandou. 
On ne sais vraiment pas à quoi s'attendre. 
Bhaktapur est considéré comme une ville médiévale, site reconnu comme patrimoine de l'UNESCO.
En entrant dans la ville il y a beaucoup de gens, nous sommes un dimanche.
Suman nous dit que c'est fête, les gens font des offrandes à leur Dieux, en tuant des chèvres. 
C'est vrai qu'il y a beaucoup de chèvres, attachés en laisse ou mort sur le sol après se faire dépecer.
Des fois un croise des hommes portant un plateau d'offrande, contenant la tête d'une chèvre.
Notre taxi s'arrête avant d'être arrivé à notre guest house. Nous devons continuer à pied.
Nous marchons pendant une quinzaine de minutes dans des ruelles pavés de briques arrondis par l'usure du temps, en longeant de vieilles bâtisses faites de briques et de bois. 
Nous adorons, c'est sublime.
Les ruelles nous conduisent dans un "square" la place principale ou une immense Pagode domine les lieux.
Notre guest house qui s'appelle "Pagoda GH" se trouve tout à côté, nous avons une vue magnifique sur le Square et la Pagode.
Nous négocions une chambre pour 1,500 roupis.
Pendant que Manon se repose, je me rend avec Suman acheter des billets pour visiter la ville. Et oui, on doit acheter des billets pour se promener, mais ça vaut vraiment le déplacement.
Le coût du billet est de 1,500 roupis par personne, et il vaut mieux ne pas se faire attraper sans billets, l'amende est salé.
Suman nous quitte, il reviendras nous chercher après demain.
Je rejoindre Manon et partons nous balader à la découverte des lieux.
C'est de toute beauté, c'est grand, ça nous fait penser au vieux Québec.
Nous avons le temps de visiter qu'une faible partie du quartier, avant qu'il se met à pleuvoir. 
De retour à notre chambre, sous la pluie et l'orage.
Pour faire changement, il n'y a pas d'électricité. Mais ici au moins on a une liste nous annonçant tous les jours, l'heure de la coupure de courant.
Il a plu tout le reste de la journée. Nous sommes au début de la saison des pluie.
Il fait frais, pantalon long, chandail à manche longue, manteau, chausson dans les pieds avec nos bottes de marche. 
Seigneur qu'on est bien loin des 44 degré celcius de l'Inde, mais on est bien.




samedi 3 mai 2014

Katmandou, Népal, 3e jour.

( 3 mars 2014 )
Aujourd'hui on rencontre Suman, c'est un sherpa népalais, demeurant à Bhaktapur, village voisin de Katmandou.
C'est un jeune homme de 33 ans, souriant.
Nous lui expliquons se que nous désirons, soit sortir de la ville, visiter la campagne et les villages de la vallée du Katmandou.
C'est un peu particulier pour lui, car habituellement il organise des trecks dans les montagnes. 
Faut dire qu'ici au Népal les gens y viennent surtout pour du treck.
On viens a bout de s'entendre, demain matin nous partons pour le village de Bhaktapur, nous allons y passer deux jours et après on change de village, on se rend a Patan pour y passer un autre deux jours. Après bien on verras!
Il est 14:00hre. nous invitons notre amis à dîner,
Yé petit, mais y mange c't'enfant là!
Il dit qu'au Népal, les gens en se levant le matin, vont se rendre au temple avant de manger. Entre 14:00 et 15:00hre. les gens vont prendre un snack, et il vont dîner entre 19:00 et 20:00hre. Il trouve nos coutumes étrange de manger en se levant, de dîner entre 12:00 et 13:00hre et de souper entre 17:00 et 18:00hre. de manger à des heures fixes.
Nous parlons de religions, ici c'est l'Hindou, ils ont les même dieux qu'en Inde, mais il y a des variances sur les pratiques. 
Ici aussi ils ont des "sacré vaches" mais on en a vue aucune a date.
Nous quittons notre amis en se disant à demain.
Il fait beau, nous en profitons pour nous balader dans les rues.
De retour à l'hôtel, on nous avise qu'on devrait avoir de l'eau chaude. Il a fait beau soleil, le réservoir est plein, si nous laissons couler l'eau elle viendras chaude.

<< Coudons! Faut la laisser couler comment longtemps avant qu'elle vienne chaude? >>
En riant Manon me dit : << Comment tu vois pas la différence? >>
<< Si je vois la différence!...C'est vrai, avant elle était très froide, pis là est juste frette >>
<< Pis dire qu'à la réception ils étaient content de me dire qu'ils avaient de l'eau chaude! >>

vendredi 2 mai 2014

Katmandou, Népal, 2e jour

( 2 mai 2014 )
Il a plu toute la nuit, avec de belles grosses éclairs et du tonnerre. 
Nous avons très bien dormi, pas d'air climatisé, ni même de ventilateur.
Ça fait changement, une bonne nuit fraîche.
Nous sommes frais et dispos, à l'exception d'une petite toux pour Manon.
Seigneur! qu'elle est fragile, je vais encore être obligé d'en prendre soin.
Au moins elle ne fait pas de température.
Ce matin on se paie un bon déjeuner, 2 œufs, patates, saucisses, toast, gruau et café pour $4. Ça fait longtemps qu'on a pas pris un déjeuné comme ça.
Après s'être rempli la panse, nous partons à la découverte des rues du quartier Thamel de la ville. Des magasins pour les fous et les fins. 
Beaucoup de magasins de vêtements et équipement pour du treck. Beaucoup de magasins d'artisanats, d'agence de voyage, de bijouteries, restaurants, vendeurs de souvenirs, de DVD de musique du Népal, de livres usagés, et les autres vendeurs de gugusses, le vrai quartier touristique quoi!
Les rues ne sont pas tellements larges, en plus d'être très maganés, et pour comblé le tout, il pleut. 

Faut juste surveiller pour ne pas se faire arroser, il y a tellement de trous d'eau.
Ça nous fait rien, il ne fait pas 44 celcius, il n'y a pas de tas de déchets dans les rues, les gens sont souriants, personne ne mendié, les chiens se font rare et aucune vache à l'horizon.
Les rues sont de vraie labyrinthe (je sais j'ai déjà dit ça en d´autre temps) et qu'il est facile de si perdre (ça aussi c'est du déjà dit) (mais que voulez-vous mon vocabulaire se rarifie!)

Le quartier est bien beau et vieux, mais j'aimerais bien voir comment c'est ailleurs dans la ville. 
Katmandou n'a pas de système d'aqueduc, les égouts sont à ciel ouvert, et plus de la moitié des gens n'ont pas d'eau courante.

Un chose est certain, des temples on en a assez vue, à moins qu'il ne soit dans les montagnes.
Nous voulons sortir de la ville et visiter les villages environnants.
Demain nous rencontrons Suman, nous allons voir se qu'il peut nous suggérer.

Direction Katmandou, Népal

( 1er mai 2014 )
Dernière journée en Inde. Nous y sommes resté que trois semaines. 
Nous espérions y passer minimum un mois, mais c'était avant que j'ai mon accident et que nous soyons obligé de rester à Bangkok près d'un mois.
Quand nous avons quitter pour l'Inde, nous savions que nous étions tard, et que nous risquions d'avoir a affronter les grandes chaleurs. 
C'est ce qui est arrivé, malgré le fait que nous sommes demeuré dans le nord du pays, la chaleur y est devenu intolérable et ça continue à monter pour atteindre bientôt 50 degré celcius.
Il vaut mieux nous enfuir, c'est pour ça que le Népal nous attire.....et évidemment pour ces paysages et ces montagnes.

Nous quittons Varanasi à 12:30 hre. avec Air India.
Le vol ne dure que 55 minutes.
Nous arrivons à Katmandou sous la pluie. Ça fait du bien, depuis le temps qu'on désire de la pluie pour rafraîchir le temps.
Là direction paperasse à compléter pour obtenir nos visa d'entré.
Pas très compliqué, il nous faut chacun une photo à remettre avec les documents et payer $40. US chacun et le tour est joué.
Deuxième étape, trouver un guichet automatique, comme à mon habitude je retire le maximum, ici c'est 35,000 roupis népalais. J'aurais du apporter un sac pour mettre l'argent, j'ai reçu 35 billets de 1,000 roupis, ça prend de la place dans les poches.
Troisième étape, un taxi. Pas ben difficile à trouver, on a juste à choisir. 
Nous allons au comptoir "prepaid taxi" c'est un comptoir ou on paie immédiatement notre course selon l'endroit ou on veux aller. Avec notre coupon le taxi nous conduit à l'endroit payé, on évite de cette façon des détours inutiles.

Il ne pleut plus, le temps est maussade. 
Nous remarquons qu'il y a beaucoup moins de circulation qu'en Inde. 
C'est étrange, mais je commence déjà à relaxer, je sens que je vais aimer ce petit pays.
L'hôtel ou l'on voulait réservé est complet, nous en trouvons un autre tout à côté.
Pas cher $12. Mais y a pas d'eau chaude!

En soirée je contacte Suman c'est un Népalais d'ici (l'ami d'un ami quoi!), nous contactions par courriel. 
Nous voulons voir avec lui ce qu'il y a à voir dans les environs? Comment ont peu visiter la vallée? Comment on peu se déplacer?
On se fixe rendez-vous pour le 3 mai.

En soirée, une petite marche dans le quartier Thamel, pour se mettre un peu dans l'ambiance.

                      <<  Ma chronique MONTÉ  DE  LAIT. >>
Avouons le honnêtement, nous sommes content de quitter l'Inde. 
Comme certaine personne nous ont dit: "l'Inde vous aimez ou vous n'aimez pas!"
Nous avouons....nous aimons l'Inde pour son histoire, ces mystères, ces palais, ces temples, ces forts, son architecture.
Nous aimons l'Inde pour les contrastes, la bouffe, les odeurs d'épice, les couleurs.

Nous n'aimons pas l'Inde, pour son désordre, pour ça pollution de l'air, pour ça pollution par le bruit, pour sa négligence envers l'environnement, pour son manque de respect envers autrui, pour son manque de respect POINT.

Nous n'aimons pas l'Inde pour tout le côté contacte humain, ou devrais je dire, le manque de contact humain.

L'indien et ça domination sur son prochain, on le vois dans les rues. 
J'ai la plus grosse bagnole, j'ai une moto, j'ai le Klaxon le plus bruyant, toi avec le vélo, toi à pied, toi le petit vendeur ambulant, enfants, vieux malade, je klaxonne pour te dire que j'arrive..... "tasse toi".
Devant un guichet, c'est le plus fort qui gagne, la plus grande gueule, le plus fonceur, la priorité n'existe pas, si je peu grimper sur tes épaules pour passer devant toi, je le ferais.
Ce qui compte, c'est mon MOI.
Si je suis dans ton chemin, ça ne me dérange pas....."fait le tour".

L'indien peut être d'une impolitesse, d'un manque de savoir vivre, il pète, rote, crache sans aucune retenu, sans même s'excuser. L'indien ne s'excuse pas, 

L'indien vendrait son âme pour quelque roupies. Il ment avec une facilité déconcertante, cherche toujours à profiter de l'étranger. 
Il t'en demande toujours plus.

Pour l'indien, tout est relier à l'argent.

L'indien est facile d'approche s'il a un intérêt, autrement il n'en vois pas la nécessité. 
Il te sourie à pleine dents quand il veut te vendre quelque chose.
Si tu n'achète pas, il te fait la gueule. 

L'indien fixe les gens, il te dévisage, il t'incommode par son regard pénétrant.

Je suis sévère envers l'indien, j'en suis conscient.
Je crois que ce qui m'a personnellement agressé le plus, c'est qu'on a touché à mes valeurs.
Tout ce que mes parents, nous ont appris sur l'amour de notre prochain, tout ce que notre éducations nous a enseigné sur le savoir vivre, sur le respect, la confiance, toutes ces belles valeurs que nous nous sommes efforcé à inculquer à nos enfants pendant toute une vie. 
Ici, tout ça est balayé du revers de la main dès la première journée en Inde.
Ma morale a pris le bord pendant les trois semaines en Inde.
 
Pour l'indien, son prochain passe après lui-même.

Ce fut continuellement un défi de tous les jours. Nous devions constamment être sur nos gardes, surtout lorsqu'il était question d'argent.

Nous nous sommes construit un mur, mais eux essayait de le gravir.

En trois semaine suis je en mesure de connaître l'indien?  
J'en doute, mais ce sont mes constatations de notre contacte avec l'indien.

Ça c'est l'Inde du nord. 
L'Inde du sud? J'aurais aimé connaître, on la dit très différente. 

Un jour peut être, mais avant.....je dois digérer le nord.

" L'Inde on aime ET on aime pas "









mercredi 30 avril 2014

Varanasi, Uttar Pradesh, Inde, 6e jour.

( 30 avril 2014 )
05:30 hre. du matin je suis debout, je veux aller sur le Gange voir le soleil illuminer les ghats.
Manon avec son vilain rhume d'homme, préfère rester coucher.
Je me rend jusqu'au Gange, j'ai rendez-vous avec un batelier à 06:00 hre.
Son bateau à rame est très rudimentaire, fait tout en bois, un peu comme nos ancienne chaloupe, avec des planche de bois, cloués sur des bâtons de bambous servants d'avirons.
Que m'importe en autant qu'il flotte l'allé retour.
A l'instant ou nous quittons la rive, mon regard ne fixe que les ghats. 
Émerveillé par la splendeur du site. 
Le soleil s'imprimant sur ces pierres historiques, ne fait qu'emplifier le cachait mystique de ces lieux.
Il y a déjà de l'activité sur les ghats, des gens se lavent et purifie leur corps par un petit rituel dans les eaux du Gange. 
Nous passons devant le Main Ghat, ou tous les matins débutants à 05:30hre il y a attroupement pour une cérémonie, et ça ce répète également le soir.
Par la suite, on se laisse glisser jusqu'au cite de crémation principale, le ghats Manikarnika, ou il y a encore des bûchés en activités.
Je vous laisse admirer les photos.












Varanasi, Uttar Pradesh, Inde, 5e jour

( 29 avril 2014 )
Moi ça vas très bien ce matin, j'ai passé mon rhume à Manon.
Elle vas savoir c'est quoi un rhume d'homme!!!
Pour la première fois de notre voyage, nous sortons de la chambre à 10:00hre.
c'est la grâce matinée 
Nous allons dans les ruelles retrouver notre petit café.
Rien n'a changé, on se fait accoster par des jeunes nous demandant des roupis, il y a les démunis qui quêtent toujours aux mêmes endroits, la dame avec son bébé se trouve toujours près d'un petit resto, les holy mans qui s'offrent pour une pose en échange de roupis (évidemment) et certaines vaches sont toujours à la même place à la même heure.
Pour ce qui est des  "bouze" de vache, il y en a des fraîches du matins.
J'ai oublié de vous dire, on en retrouvent même sur les murs. 
Non, ce n'est pas les vaches qui lèvent la patte (ce serais dangereux de ce promener!) ici rien ne se perd. Les gens ramassent le fumier de vache qu'ils aplatissent sur les murs en galettes de la grosseur d'une soucoupe. 
Les galettes sèches au soleil et servent de combustion, c'est de là que viens le petit goût épicé dans la nourriture.
Au restaurant, nous avons juste le temps de dîner avant la panne d'électricité.
Nous écoulons le temps, pas question de retourner à l'hôtel, ou de se promener sur les ghats par cette chaleur.
En début d'après-midi l'électricité est de retour. 
Nous retournons à l'hôtel, y a pas grand chose à faire à part ça.
Pas chanceux, vers 13:30hre. nouvelle panne, plus d'air climatisé.
Vers 16:00hre. je part seul pour me balader au bord du Gange.
A cette heure le soleil à commencé son déclin, je peu marcher à l'ombre des Ghats.
Je me rend jusqu'au Ghat Manikarnika, ou les bûchers ne cessent de crépiter.

Je reviens en marchant dans les corridors et ruelles du vieux quartier en espérant que l'air conditionné fonctionne dans la chambre.
Aujourd'hui ça fait quatre mois que nous sommes parti, l'aventure ce poursuit, demain le Népal.





Varanasi, Uttar Pradesh, Inde 4e jour

( 28 avril 2014 )
Nous attendons aujourd'hui confirmation pour nos réservations de billets d'avions pour le Népal.
Je suis encore enrhumé, ça pas de maudit bon sens, je vais devoir me reposer aujourd'hui si je veux être en forme plus tard.
Mais se reposer quand on n'a pas d'air climatisé ou de ventilateur, c'est pas évidant.
Ici il y a panne d'électricité 4 à 5 fois par jours. Ça peu duré quelques minutes mais plus souvent quelques heures.
Selon un commerçant d'où nous allons prendre notre café, c'est fréquent vers 14:00 hre. le courant dans ce secteur ci, sera couper, par la suite c'est autour d'un autre secteur et ainsi de suite.
La panne dure alors jusqu'à 17:00 hre. C'est comme ça tous les jours dans les grandes chaleur.
Il n'y a qu'à Varanasi que c'est comme ça, il semble qu'à Bombay et Delhi, ils n'ont pas ce problème, ça reste a voir!
Toutes les nuits, il y a une panne.
Quand nous n'avons plus d'électricité, on se dirige à la fraîcheur des ruelles, d'où le soleil ne pénètre pas et on entre dans le premier petit café convenable pour boire un  délicieux lassi et regarder les gens.
Quand nous sommes tanné de ces lieux, et bien on change de place.
Nous revenons à notre chambre vers 13:30hre. pas d'électricité et il fait terriblement chaud.
On essai quand même de ce rafraîchir en prenant une bonne douche froide, et en ne bougeant pas, couché sur le lit.
Ne tenant plus nous repartons nous rafraîchir dans un restaurant pas tellement loin, ou l'on sait que même s'ils n'ont pas d'électricité, leurs ventilateurs murales eux fonctionnent.

Vers 17:30hre. on se dirige vers le Gange pour une balade en bateau.
Vue de l'eau les Ghats sont très différente. 
Notre batelier nous conduit jusqu'à la Ghat Manikarnika, lieux principale de crémation. Nous y voyons facilement une douzaines de bûchés.
Ici les feux sont constant, il y a des corps qui brûles, 24 heures sur 24. 
Les lieux sont sinistre. Ils nous aient interdit de photographier de trop près.
Des gens descendent un corps sur un brancard jusqu'au bord du Gange, nous ne voyons pas s'il s'agit d'un homme ou d'une femme. 
Ils le déposent à moitié sur la rive et moitié dans l'eau. Là les gens arrosent le corps avec les eaux du Gange et quitte en le laissant sur place.
Le corps sera plus tard, soit transporté sur un bûché pour y être incinéré, ou lesté d'un poids et immergé dans le Gange.
Les lépreux, les femmes enceintes, les enfants et les holy mans, ne sont pas incinérés. Leurs corps sont lestée´une grosse pierre et immergé au fond du Gange.
C'est pour cette raison que de temps à autre un corps gonflé pas les gaz émanant de la putréfaction, remonte à la surface.
Lorsque nous retournons à notre hôtel il fait noir.

Arrivé à notre chambre, pas d'électricité. Là je commence à avoir mon voyage.
Je rencontre un des employés qui semble être un boss, et lui fait comprendre mon désappointement. Si on avait su on aurait pris une chambre avec ventilateur seulement, la moitié du temps on a pas d'air climatisé. 
Sa réaction?.......Il s'en fout royalement.
Je lui demande s'il vas nous donner un crédit? 
Pourquoi c'est pas de ça faute, qu'il dit.

De toute façon il est immunisé contre nos plaintes, nous ne sommes pas les premiers à se plaindres. 

On a eu notre confirmation, nos billets d'avions sont réservés pour Katmandou au Népal. 
Nous quittons le 1er mai.

Je commence à avoir hâte de partir d'ici moi.....