Adieu Malaisie. Bonjour Thaïlande ( ไทย )

15 janvier 2014

Dernière journée en Malaisie. Nous quittons cette après-midi pour la Thaïlande.

Nous garderons de bons souvenir de la Malaisie. Un pays aux gens accueillants, facile d'approche, souriant, aidant qui ne demande qu'à échanger avec nous. 

Un pays vert, une végétations luxuriante et présente partout même dans les villes.

Un pays aux multiples cultures, aux multiples coutumes, aux multiples religions.

Un pays qui, dont les ethnies sembles se côtoyer en harmonie.

Par contre un pays dont le Malaisien, lui, semble disparaître dans la masse d'immigrant.

Nous regrettons de ne pas nous être dirigé vers Malaca en quittant Kuala Lumpur, nous aurions dû également passer plus de jours dans les montagnes de Cameron Highlands. 

Nous avons monté trop rapidement vers le nord-ouest du pays, voulant éviter les pluies abondantes de la côté est (selon les gens). De cette façon nous nous sommes rapprocher plus vite que l'on pensait de la Thaïlande. 

Heureusement l'île de Penang et Georgetown nous on ralenti et permis de nous rajuster.

La Malaisie c'est la bouffe, chinois, indien, thaï, western (américain) et évidemment malaisien (difficile a trouver). 

C'est également l'odeur des épices qui nous viennent souvent dont ne sais oû, mais aussi les odeurs nauséabondes des égouts et vidanges.

Beau pays, malheureusement non respecté par les gens qui ne se prive pas de jeter leurs papiers partout.

Pour les voyageurs, la Malaisie est très facile, l'anglais est parlé partout.

Le système de transport a défaut de me répéter, est très efficace. Les autobus sont confortables, propre, et très accessible. 

En résumé, nous avons aimé la Malaisie.

A bord du ferry traversant le détroit de Malaca, nous jetons un dernier regard sur Georgetown et l'île de Penang.

De la ferry nous débarquons a Butterworth pour nous diriger vers le terminal de bus. 

" Deux billets s.v.p. pour Hat Yai en Thaïlande "

Nous attendons un heure et demi, le bus arrive enfin.

Nous sommes les seul a embarquer de ce terminus, il y a déjà six personnes a bord. Nous allons faire le trajet a huit, dans ce gros et confortable bus, on s'en plaindras pas.

Un heure trente plus tard, c'est la sarabande des passeports. 

Première arrêt, tout le monde débarque et donne son passeport au chauffeur, désolé je garde nos passeports et nous allons nous même voir les préposés au contrôle des douanes. A cet endroit ils vérifies nos passeport et nous remettes une carte d'accès pour la Thaïlande, coût 1ringit chacun.

On rembarque dans le bus pour faire au plus 5 minutes de route.

Tout le monde descend avec passeport, contrôle de douane pour quitter la Malaisie. 

On rembarque dans le bus pour faire au plus un autre 5 minutes de route. 

Tout le monde descend une troisième fois, mais la avec passeport et bagages. Là on voit que c'est du sérieux.

Il y a des clôtures barbelés tout le long de la frontière et des miradors.

C'est interdit de prendre des photos ici.....petite photo en hypocrite.

Tout c'est très bien déroulé. Nous sommes en THAÏLANDE.

Nous entrons en Thaïlande sous un beau soleil. 

En traversant la frontière nous constatons que les gens semble moins aisés. Sur le long de la route beaucoup de maisons (cabanes) en délabres.

Enfin nous sommes arrivé a la gare du bus, tout le monde descend.

On ne vois pas grand bus ici?

On vas essayé de ce diriger, notre hôtel est suppose ce trouver a .6 km de la gare de bus.

Tout est écrit en Thaïlandais, pouvez-vous nous dire ou se trouve l'hôtel Chudchada ? 

( สามารถคุณบอกทิศทางให้ชัชโรงแรม ) vous voyez ce que je veu dire!!!!!

L'anglais ne semble pas être très populaire, je sens qu'on vas avoir du fun.

Impossible de s'orienter, on serait en plein désert que ce serait pareil. 

Mais dans les désert y a pas de café wi-fi, ici y en a un de l'autre côté de la rue.

On s'assoit et prenons un bon café glacé (1$.). Nous demandons au serveur, un jeune homme très sympathique s'il peut nous aider. Il se lance ventre a terre pour nous aider, lui ne parle pas anglais, et nous ne parlons pas Thaïlandais, le vrais bordel. Après un vingt minutes de gestuel avec desçription a l'aide de notre i-pad, il nous trouve un numéro de téléphone et rejoint l'hôtel.

L'hôtel nous envoie un transport pour 100baht (pour $3.33) on chialeras pas.

Cinq minutes après, notre transport arrive, deux types a motos.

" C'est pas vrai André! Après le vietnam je m'étais promis de ne plus rembarqué la dessu "

" Pas le choix c'est ça ou tu marche, pis moi je marche pas "

" André, ou sont les casques? "

" y en on deux, pis y sont sur leur tête "

Voyez comment elle le tiens bien!

Le trajet a duré tout au plus huit minutes, mais trop loin pour marcher avec sac a dos.

Nous étions a .6km, mais d'un autre gare de bus.

Enfin arrivé.

Je dois vous dire que nous avons réservé par internet avec nos critères habituel, dont le plus important pour nous le coût.

Nous ne sommes pas dans un Guesthouse, c'est l'hôtel Chudchada qui avait le meilleur tarif versus

qualité.

En arrivant nous sommes surpris par le beau et grand hall d'entré.

On nous remet les clefs de la chambre 601.

WOW! Toute une chambre, immense, trois fois plus grande que tout celle qu'on a eu a date.

Très propre, lit double, air climatisé, télé, frigidaire rempli, grande salle de bain avec douche a part, garde robe, table de travail avec deux chaises, grandes fenêtres qui s'ouvre, c'est un vrai palais pour le prix de $18.14, WOW.

Mais il se fait tard nous avons faim. Tout près de l'hôtel, il y a une rue a gargotes. Nous entrons dans la première et nous installons. Les gens sembles surpris et amusé de nous voir. 

On leur montre que nous voulons une soupe avec nouille et tout se qui viens avec.

C'est plus facile le montrer, qu'essayé de leur expliquer.

Nous avons manger deux bonnes bols de soupes aux nouilles avec "toffu".

Après dodo dans notre suite.

Georgetown et son agitation

14 janvier 2014

WHOPPY, on a très bein dormis, réveil à 08:30hre. mais j'ai sauté la prière. C'était le silence, exception  ceux qui nous marche sur la tête, ça peu pas être parfait.

Sur l'horaire aujourd'hui, organiser notre départ demain pour la Thaïlande.

Pendant que Manon fouille dans l'Internet, assis dans un petit café. Moi, je me paie une bonne marche ( sous le brûlant soleil ) pour prendre le traversier et me rendre au terminal de bus a Butterworth (sur le continent).

J'obtiens les infos désirés, demain nous prenons le seul bus en partant de la Thaïlande à 02:00hre. pm.

Je retourne  (sous le soleil brûlant) rejoindre Manon bien installé a l'air climatisé, sirotant un bon jus froid.

" Y fais tu chaud André? "

Pas de réponse de ma part, seulement un regard.....

Je sais pas se qui ce passe aujourd'hui, mais il y a de l'agitation en ville.

On voie subitement surgir dans la rue une procession indienne, un gros char décoré tiré par un gros bœuf, suivi par un groupe d'indien torse nue. Malheureusement j'ai pas été assez vite pour prendre une photo.

Plus tard dans l'après-midi, c'est un autre procession. Plusieurs groupes différent de musulman parade dans la rue. 

" Tu peu sortir de ta cachette Manon, c'est pas une manifestation, tout le monde est joyeux et ça chante "

Ça circule comme ça pendant un bon 45 minutes.       

Retour a nos recherche, demain nous prenons le bus jusqu'à Hat Yai en Thaïlande. On vas s'installer là  le temps d'organiser notre trajet en Thaïlande.

Pour nous la Malaisie ça ce termine demain. Nous aurions aimé nous rendre sur la côté EST, mais les gens nous disaient qu'il y pleut beaucoup. Notre regret, c'est de ne pas nous être diriger vers Malaca en partant de Kuala Lumpur, et surtout nous aurions dû passer quelque jours de plus dans les Cameron Highlands. Faut pas s'en faire ce n'est que le début de notre voyage, on vas s'adapter.

Nous avons bien aimé le contact avec les gens d'ici, mais c'est à ce demander oû son les vrais Malaisiens? Il y a tellement de culture différente qui se côtoie avec harmonie.

Pendant que j'écris un vieux monsieur viens nous jaser, c'est l'ancien propriétaire du café. Il est très sympathique et parle bien anglais. C'est plaisant de parler avec lui, il nous en conte des bonnes.

Pour souper on vas pas trop loin. Devant notre hôtel les gargotes avec leur cuisine ambulante s'installe. Au menu ce soir, nouille avec morceaux de porc.  C'est délicieux. 

De retour a Georgetown.

13 janvier 2014

Je veu juste vous dire que la nuit passé, à un heure, j'ai du cogner dans le mur,  pour signifier a nos voisins qu'il était temps de se la fermer? 

Non mais, ils savent pas que j'ai ma prière à 05:45hre. n'ont pas remarquer que les murs étaient en carton.

" C'est fait, j'ai fait ma montée de lait " 

De toute façon c'est aujourd'hui que nous quittons ce palais de carton. Mais soyons quand même honnête, ne serais ce du bruit, et du manque d'originalité du décorateur. Nous avons aimé l'endroit pour son emplacement et pour.........son emplacement.

Faut que je vous dise. Tout le temps que nous étions à cet endroit il y avait une jeune femme qui fesait le ménage, j'amais elle n'arrêtait, elle frottait tout le temps, c'est elle qui fesait également les chambres,   lavait les murs, les plancher, je vous dit une vrai cendrillon. Elle était malaisienne et les propriétaires de l'hôtel son chinois.

Quand nous avons quitté, j'ai pris a part la jeune femme et je lui ai donné 10 ringit en lui disant qu'elle faisait du bon travail, vous auriez dû voir la vitesse a laquelle elle la dissimulé sous son chandail et le beau sourire qu'elle ma fait en partant.

Nous quittons pour retourner a Georgetown.

Il nous faut organiser notre entré en Thaïlande, le oû, le quand et le comment. Par oû passer la frontière, quand allons nous partir et comment allons nous voyager?

De plus, c'est la fête a Manon et je vais la sortir dans un beau restaurant de Georgetown.

Faut avouer que nous sommes tombé en amour avec Georgetown, nous aimons son animations, ces habitations rustique, ces ruelles, son multiculturel et son quotidien bordélique.

Nous sommes retourné au D Mo Inn, le proprio est content de nous revoir. Pour le même prix nous avons droit a une chambre avec murs de BÉTON et douche dans la chambre. Le traitement royal.

On prend pas de chance on réserve deux soirs.

Pour souper, tel que promis, je sors Manon pour ça fête. 

Nous allons au Kapitan restorant, ( c'est pas une faute c'est écrit comme ça ).  C'est un restaurant populaire ici.

Au menu bruyani sauce yatzee pour Manon et tandoori set avec cheese nam set pour moi, le tout évidemment accompagné d'une grosse bouteille d'eau. Tout ce bon repas pour 25 ringit, pourboire compris ($8.)

Retour à l'hôtel en passant par le Little India et dodo.

Batu Ferinnghi (3ème jour)

12 janvier 2014

Réveil a 05:45hre. pour la prière, on se recouche dix minutes plustard.

On a bien dormis malgré la minceur des murs, nos voisins n'était pas trop bruyants.

Sur l'horaire aujourd'hui, visite du jardins des épices.

Nous partons vers 09:00 hre. pour profiter de la fraîcheur du matin. 

Direction le prochain village, en bus évidemment, et politesse oblige, je fais le voyage debout.

En entrant sur le terrain de Tropical Spice Garden, des odeurs d'épices nous monte au nez.

C'est l'endroit idéal pour les amateurs de cuisine et de bonne bouffe.

Nous prenons un guide, comme de raison, y en a pas un qui parle français. Celui qu'on a parle anglais avec un bon accent, mais il est très sympathique, mais y veut pas que je goûte a tous les arbres!!!

On vois qu'il connaît ça matière, il nous fait sentir et goûter différente épices et feuille. Nous en apprenons beaucoup.

Saviez-vous qu'il y a un arbre dont les feuilles sentent l'ail. Ces feuilles sont quelque fois utilisé en replacement de l'ail, et également en salade.

Nous apprenons également les secrets médicinales de certaines épices. Nous apprenons qu'il y a des épices que l'on appelle épice froide, pour l'été et d'autre que l'on appelle épice chaude pour l'hiver.

Nous apprenons également des petits truc que nous essaierons a la maison ( si on s'en rappelle ).

Nous pourrions suivre des cours de cuisine ici, et apprendre comment utiliser les épices.

Mais il commence a faire trop chaud. Retour a notre palais, cette après-midi c'est la plage.

En fouillant dans mon sac a dos, je découvre qu'il manque mon costume de bain, il doit être encore sur mon lit a la maison, avec ma brosse à dents, et oui, j'ai également oublié ça.

Pas de problème, il y a une petite boutique sur le bord le la plage qui en vend.

J'ai trouvé, un joli costume bleu royal avec inscription Penang, pour seulement 15rm ($5.)

Savez-vous comment faire pour savoir si le vêtement que vous voulez acheter, est a votre votre taille. Et bien, le vendeur me la montrer. Vous prenez le vêtement par la taille vous l'etirez, vous l'entourer autour de votre cou et s'il n'est pas serré ou trop lâche, il vous vas bien. Croyez le ou non, et bien ça marche pour moi!      

Mais j'ai eu l'air fou avec un costume de bain autour du cou.

" Arrête de rire Manon pis dit moi s'il me fait bien "

Désolé, je n'ai pas encore de photo de moi avec mon beau costume (pis vous êtes pas prêt de le voir).

La mer était agitée, brouillé par le sable, mais rafraîchissante, pas trop chaud, pas trop frette.

Aucun nuage à l'horizon. Première journée, qu'on peu en profiter et se faire griller au soleil, et premier coup de soleil. 

Je m'aperçois que ce n'est pas le soleil de Cuba, y frappe fort icitte.

Petite pause a notre chambre, faut bien se reposer de s'être reposer......(je me comprend).

Pour souper, pas d'hésitation, vers sept heures direction le night light market.

Le night light market, se sont facilement deux cents petits vendeurs qui installent leur commerce sur près d'un demi kilomètre, il y a de tout, même des Rolex a bon prix. Ici en Malaisie les vendeurs sont pas trop à halant, mais si vous entrez dans un magasin, vous êtes certain de l'avoir sur vos talons a deux pieds de vous.

Dans le centre de ces installations les vendeurs de bouffes ambulants se regroupe et c'est là qu'on s'en vas.

Il y a de tout, on arrête notre choix sur de l'indien.

Un plat de vegetarien Masala pour Manon, pour moi chicken jalferijey (c'est du poulet mais je sais pas avec quoi) et un plat de riz blanc. On s'est régalé, ah oui, ne pas oublier la bouteille d'eau. Une bouché, une gorgé.

Retour à l'hôtel. 

Grosse discutions avec une écrivain Australienne de 70 ans, un homme d'affaire Texan d'une cinquantaine d'année, on a parlé de tout et de rien.....et j'ai pas tout compris. 

Pas facile de tenir une conversation avec Crocrodile Dundi et John Wayne.

Bat Ferinnghi, (2ème jour)

11 janvier 2013

Toute une nuit...si sur les photos on a des cernes sous les yeux, faut pas trop être surpris. Il y avait une noce chez nos voisins de bâtisse, et deviné quoi, c'est nous qui avons la fenêtre la plus près du party. 

En plus c'était la préparation du repas de noce du lendemain avec cuisson sur feu de bois. Il y avait de bonnes odeurs qui entrait dans notre chambre.....en plus de la boucane. C'est pour ça que j'ai pris une photo au travers du moustiquaire, si jamais on nous retrouve intoxiqués, les gens sauront pourquoi.

Vers trois heure du matin c'est le silence, enfin.

A 05:45 hre. réveil en sursaut, " Manon...on égorge quelqu'un " 

" Mais non, c'est l'appel a la prière "

" Y peu pas prendre le téléphone comme tout le monde pour appeller "

" C'est quoi l'idée, quand on étaient jeune, pis ma mère nous appelait a prenait pas un haut parleur elle "

Y doit pas avoir grand monde qui a répondu a son appel, y a appellé pendant quinze minutes.

Autre critère a considéré lors de nos prochaines réservation, pas de mosquée, mais pour ne pas être accusé de faire de la ségrégation, pas de temple,  pas d'église, pas de pagode ou cabine téléphonique dans un rayon de un kilomètre de notre hébergement.

Que pensez-vous qu'on a fait de notre journée?

On a essayé de récupérer. Au réveil on était fatigué. 

Pour nous réveiller, rien de mieux qu'une bonne marche sur la plage.

La journée s'annonce quand même bien, nuageux sans solei, mais chaud et humide.

Au début de l'après-midi, il y a de l'agitation aux pieds de notre balcon.

Beaucoup de vas et viens vers une chambre de notre hôtel 5 étoiles.

Les gens sont habillés de costume traditionnel, très jolie. Nous entrevoyons un jeunes couple joliment costumé, nous en déduisons qu'il s'agit des nouveaux mariés.

Je descend voir un homme qui semble avoir le contrôle sur tout, et je lui demande si je peu avoir la permission du couple pour les prendre s'en photos. 

Il m'introduit auprès du jeune couple qui accepte volontier de se livrer a une séance de photos.

Ces gens sont très sympathique et m'ont remercier de les avoir pris en photo.

Très belle noces avec musique forte, heureusement tout était fini au souper.

En parlant de souper, qu'est-ce qu'on vas manger ce soir?

On se rend dans une rue près du MacDonald (hé oui, même ici) c'est dans cette rue que se trouve les gargotes et que l'on mange le mieux (évidemment, pas cher), mais, je comprend pas nous sommes samedi soir et ils sont tous fermés???

On rebrousse chemin, direction MacDonald, pas pour manger, mais ça presse on cherche les toilettes. 

Il y a une porte a l'extérieur d'où je vois un homme sortir. Sur la porte il y a comme signe le profile d'un homme avec petit chapeau. J'entre, il n'y a personne. Je vais essayé de vous décrire l'intérieur. Il s'agit d'une pièce d'environs quinze pieds carré. C'est très beau tout en céramique beige, plancher, murs, plafond. 

Sur le sol il y a trois tapis, étendus ça et là. Vers le mur fesant face à la porte d'entrée, il y a comme on dirait un petit bassin également en céramique d'environs trois pieds de large, au dessu duquel il y a un beau robinet, d'ailleurs tout est beau. 

Je m'installe et je pisse, ça fait du bien. Mais alors que je me soulage, je réfléchis. 

C'est pas mal trop beau pour une toilette, pis est oû la bassine? Y a aucun trou dans le planché???

Je suis mieu, de terminer avant que quelqu'un arrive. 

Je pense que je suis dans un lieu de prière, pis je suis après uriner dans le bassin oû ils se lavent les pieds. 

J'actionne le robinet pour effacer tout trace de mon passage, et j'espère que personne vas me voir sortir d'ici. 

Ni vue, nie connu, j'ai évitée un conflit diplomatique, voir même le jihad. 

J'ose pas imaginer se qui se serait produit s'il y avait eu des gens à l'intérieur!!!

Batu Ferinnghi, île de Penang

10 janvier 2014

Aujourd'hui nous quittons Georgetown et notre douillet petit nid du D Mo Inn. C'était très simple comme endroit, mais très propre. Seul bémol, les murs en carton et les flatulences de notre voisin.

A part ça rien a redire.

Direction Batu Ferinnghi, il semblerait que les plus belles plages de l'île si trouverait.

Pour si rendre, nous prenons le bus de l'île. Le système de transport par bus (Rapid Penang) est très efficace, Gatineau aurait tout intérêt a venir voir comment ça marche. Des bus y en a beaucoup et partout. Dix minutes après être embarqué, petit problème mécanique, les portes ne fermes plus. 

Y a rien là, immédiatement un autre arrive et tout le monde change de bus, ça c'est du service.

Mais...il y a moins de place assis dans leur bus. Politesse oblige, j'ai passé quarante cinq minutes debout.

Enfin arrivé à Batu Ferinnghi, on débarque devant le Park Royal Hôtel, un 5 étoiles. Nous avons hâte de voir notre hôtel, nous savons qu'il ne seras pas aussi prestigieux que Park Royal, mais, avec un nom aussi évocateur que BaBa Guesthouse on devras être surpris.

OUPS, pour être surpris!!!

" André....t'es tu sur de la place? "

" Ben.....j'aimerais ben te dire non, mais c'est écrit en gros. Pis avant que t'en rajoute, je te fais remarquer qu'on la choisie a deux, selon NOS critères, un étoile et le moins chère "

" Faudras peut-être revoir nos critères...."

" Ben..... dans la catégorie camps de réfugier, c'est certainement un 5 étoiles! "

" Bon, Ben, on restera pas planté là, on a réservé pour deux soir, peut-être que l'intérieur vas nous surprendre. On y vas ? "

" Oui Manon, on y vas....passe la première, pis fait attention au trou d'eau "

Avant d'entré, par politesse nous laissons nos sandales à l'extérieur, le plancher  du hall est propre (un bon point). Nous sommes bien accueilli par une dame (un autre bon point). Notre chambre est déjà prêt (encore un point).

Pour se rendre a notre chambre, nous traversons la cuisine.

Passons par le pièce du fond, qui doit servir de pièces a tout faire. Remarqué que les planchers sont propre ici aussi. Nous montons l'escalier et débouchons dans un grand et large corridor de pré fini beige, dont toutes les portes sont peinturés d'un beau bleu azur.

Première impression que j'ai, on se croirait dans un centre de détention. En plus toutes les portes on un gros cadenas extérieur pour bien barrer notre chambre quand on s'absente (rien de rassurant!).

Pour se qui est de la chambre, mur en pré fini brun pale, lit double avec drap propre (autre bon point), un petit bureau en bois de style....inconnu, avec tabouret de style....moins connu, mais, au moins, on a des meubles. Ventilateur de plafond, en métal c'est sur, juste a voir la rouille sur les palmes. Et, évidemment, pour le fini décor... la porte bleu.

Je vous ai garder ma pièce coup de cœur pour la fin, la salle de bain.

Rien a dire, a part qu'il n'y a pas d'eau chaude, qu'il faut ouvrir un robinet pour activer la chasse d'eau de la toilette, un autre robinet pour l'urinoir. Pour les couleurs ça doit être le même décorateur (tout se qui s'ouvre doit être bleu), et ha oui, faut surveiller notre serviette pour qu'elle ne trempe pas dans l'urinoir.

Ici ils ont trouvé le moyen de bien faire passer leurs messages aux clients. Tout est écrit aux crayons feutre noir, directement sur les murs, bouton Fan, bouton light, close de light, lock your door, enlever vos souliers, etc.

Si nous nous sommes amusé a vous décrire avec détails le côté hébergement, c'est voulu, nous attendions l'occasion de vous dévoilez un côté du voyage que nous aimons. C'est évident que vouloir voyager pour une si longue période, nous devons réduire nos critères de sélection pour que se soit le plus économique et devons être prêt a faire certain compromis. Les choix qui se font a distance, en se basant uniquement sur des images et commentaires, c'est le côté mystère que nous avons appris à aimer. 

Souvent c'est avec ceux qui ont le moins à offrir que nous allons chercher le plus.

Nous fesons un choix et vivons la surprise, c'est facile comme ça, et c'est le FUN.

Nous passerons l'après midi sur la plage à méditer sur nos critères de sélections, on vous en reparle a tête reposé demain après une bonne nuit de sommeil.

Georgetown, Penang, ( 4ème jour )

9 janvier 2014

Un autre belle journée en perspective. On prévois pour cette après-midi d'aller visiter le plus gros temple de l'île appellé le Kek Lok Si, se trouvant juste au limite de Georgetown. 

Mais, pour cette avant-midi, c'est la recherche des murales. A plusieurs endroit dans le vieux quartier de Georgetown, il y a une vingtaine de murales qui ont été peind sur les murs des bâtisses. 

A l'aide d'une carte du quartier, nous partons à la chasse aux murales.

J'aurais bien aimé vous en montrer quelques une, mais ils sont tellement défraîchis que je n'ai même pas penser a les prendre en photo.  

Gardons le moral, soyons positif et voyons le bon côté, ça nous a permis de nous balader dans des secteurs que nous n'avions pas encore vue.

Mais...seigneur....y en as-tu  des temples ici! 

Après deux heures de marche, aux pas ralenti, ben ralenti. On est de retour a notre chambre pour un quinze minutes d'air climatisé.

Sa serait bien le fun si on allait en montagne. Hors de la ville, il y a un téléphérique qui grimpe au plus haut sommet de l'île, et il semblerait que nous avons une très belle vue.

C'est décidé on y vas. 

Malheureusement (ou peut-être heureusement), le téléphérique est hors service.

Pas le choix, ça vas être le temple, même si ça me temple pas.....:)

Très bonne décisions, ce temple Boudhiste est très impressionnant, construit en flan de montagne.

Pour y avoir accès, nous devons gravir une multitude de marches, dans un corridor fermé, ou si trouve des vendeurs de tout genre de gugusse. Mais quand on en ressort et qu'on entre dans le temple, c'est un explosions de couleur.

C'est un délice pour les yeux. C'est de toute beauté, et c'est très grand. Nous pouvons nous y balader sans contrainte, sauf pour entrer prier dans les temples qu'il y a sur le site, nous devons nous déchausser. 

J'ai rien contre l'idée de me déchausser, mais a voir les gougounnes qu'il y a à l'entrée, j'ai peur qu'en ressortant, je ne retrouve plus mes belles sandales, pis que je sois poigné a continuer notre voyage en gougounnes fluos.

 Je dois l'avouer, nous avons aimé notre visite et nous le recommandons a tous ceux qui passe par Penang (méchant détour).

Ce soir on ne vas pas trop loin pour souper. Juste devant notre Guesthouse dans la rue, vers six heure les petites gargotes s'installent, c'est décidé, ce soir c'est ici qu'on mange.

A demain, je vous dirais si ça gargouillé toute la nuit.