vendredi 11 avril 2014

Direction Delhi en Inde

( 10 avril 2014 )
C'est aujourd'hui que nous quittons Bangkok pour l'Inde. Depuis le temps qu'on attend, c'est comme si nous recommencions du début. 
Il y a notre compagnie d'assurance qui nous ont envoyer un message en disant
" Qu'elle beau voyage vous faites ". C'est le fun, sont pas rancunier d'avoir eu à payer.
Nous disons adieux aux personnels de l'hôtel Traha House, pour la plus part se sont des femmes, nous avons été bien traité, et c'est un endroit propre que nous recommandons facilement.
Bon à 09:00hre. Comme prévu, nous attendons notre ride pour l'aéroport, sont pas à l'heure c'est normal.
À 09:10hre. une petite van arrive (seulement 10 minutes de retard).
Nous sommes huit à l'intérieur, en cours de route, à une lumière de circulation, il parle avec une autre van arrêté au côté de lui.
Tous les deux s'arrêtent sur le côté de la rue, le chauffeur nous dit qu'il faut changer de bus et nous fait embarquer dans l'autre van ou nous nous retrouvons tassé comme des sardines. Notre van tourne de bord et s'en vas.
Quand je vous disais hier, qu'ils se foutent des gens, c'est l'exemple type.
Passons.....faut pas gâcher cette belle journée.
L'aéroport de Bangkok est immense et moderne, très facile de se retrouver.
Nous quittons avec Indigo air line, dans l'avion c'est notre premier contact avec des indiens, nous sommes en minorité, y a pas grand blanc ici. 
Je peu tu vous dire qu'ils sont bruyant et prennent de la place, pas habitué de vivre ça dans un avion.
Le vol se passe bien, nous arrivons à Delhi vers 15:45hre. nous reculons l'heure d'une heure. 
Ici aussi c'est une belle aéroport, tout se passe bien. 
Grace au petit livre que notre ami Guy Lassonde à publié sur l'Inde, il nous dit comment s'y prendre a notre arrivé.
Après avoir traversé les formalitées d'usage.
On se dirige vers le comptoir ou on paie le taxi tout de suite pour le trajet ou on veut se rendre, ils nous remettent un reçu que l'on doit remettre au chauffeur.
Pour faire une histoire courte, nous prenons un chauffeur qui a de la jasette, je lui montre l'adresse ou on veut se rendre et on part.
Il nous parle de tout et de rien, il est très amicale.
En cour de route on dévie vers une agence de voyage ou un type me dit que l'hôtel ou je veux aller est fermé.
Ils ont poigné un nœud, je les aient traités de menteur (je vous ferais grace de ce que j'ai rajouté) pis j'ai dit à notre chauffeur d'embarquer dans son &+#% de taxi, pis de nous amener à l'hôtel si y veut son reçu (dit sur un ton qui ne porte pas à répliquer).
Faut dire que notre ami Guy Lassonde nous avait mis en garde contre se stratagème.
Il nous a conduit, a contre cœur, à l'endroit désiré.
Nous nous trouvons sur la rue Rajguru dans le vieux Delhi. 
C'est du jamais vue pour nous.......faut pas arriver de nuit ici. 
C'est le capharnaüm, tous les termes que j'ai déjà employé, jungle, bordel, pagaille, s'applique en MAJUSCULE.  
C'est un désordre incommensurable.
C'est tout simplement indescriptible. 

Tout se qu'on peut avoir lue et vue sur les vieux quartiers de l'Inde, on le retrouve.
On a pas encore fait le tour du quartier qu'on a déjà une bonne idée de se qu'on y retrouveras. 
Nous trouvons  situé dans une ruelle, l'hôtel Chandler la propreté est à la limite de l'acceptable. 
Mais se qui compte pour nous c'est de nous éloigner du bruit des rues principales et l'air conditionné évidemment.
Quand nous sortons pour aller souper, l'air est plus fraîche, les gens sortent à l'extérieur, c'est la foule. Comme on dit "on est dans le bain".
Sérieusement, j'ai de la difficulté a décrire se qu'on vois et vie. 
Nous trouvons un restaurant terrasse sur le toit d'un édifice. Dans ce quartier, il n'y a pas de terrasse dans la rue, oubliez ça, les terrasse se trouvent en hauteur.
De notre table, nous avons une vue en plongé sur le désordre qui règne tout en bas. 
L'histoire des vaches dans les rues! c'est vrai, il y en a cinq qui se baladent librement en mangeant je ne sais quoi qui traine et que des gens leur donnent.
Quand nous revenons à notre guesthouse nous sommes fatigués et vidés, dépassé par se que nous voyons. On verras pour la suite demain.























jeudi 10 avril 2014

Bangkok 23e jour

( 9 avril 2014 )
Notre purgatoire achève, c'est notre dernier jour à Bangkok.
C'est aujourd'hui qu'on nous devrions avoir notre visa pour l'Inde, sinon je vais faire une crise, nos billets d'avion son acheté pour demain.
Pendant que Manon vas s'occuper des visas, moi je vais m'occuper d'envoyer à notre assurance, tous les factures qu'on a eu à payer concernants mon accident.
Au risque de les perdrent dans notre voyage, on préfère les envoyer tout de suite.
Je passe une grosse partie de la journée à mettre de l'ordre dans ces papiers, de les notifiées, faire des photocopies, remplir les documents exigés par la compagnie et d'aller porter le tout au bureau de poste.
Le reste de l'après-midi je le passe à relaxer.

Nous quittons au bon moment, la semaine prochaine c'est fête, je ne me rappelle pas la fête de quoi, mais pendant trois jours tout le monde s'arrose, même les policiers se font arroser, il semblerait que c'est la foire. Les gens arrosent à partir des balcons, des véhicules, de partout, c'est pour ça que ces derniers jours, on voyais beaucoup de jeunes acheter des fusils à eau.
Les gens qui nous en parlaient disait, c'est le fun une journée, mais pas trois jours.

Vers 18:00hre. c'est le temps d'aller chercher nos visas, je rejoindre Manon dans le hall de l'hôtel. 
Là elle me dit <<  Assis toi, j'ai quelque chose à te dire! >>
<< Je viens de l'agence, ils n'ont pas encore nos visas, ils disent de revenir à 19:00hre. >>
<< ......... >>
<< Voyons André, prend de grande respiration, tu te stress pour le rien, nous sommes en Asie, y connaissent pas ça le stress ici >>
" C'est là que je fais ma monté de lait "
<< C'est pas que je me stress, mais chez-nous nous avons été éduqué dans le respect des gens, ici c'est le JE, ME, MOI. Du moment qu'ils obtiennent se qu'ils veulent de nous, se qui adviendra après, c'est pas grave >>
<< On en a l'exemple avec les bus, les vannettes, on te vend des billets en te promettant une qualité, si ça change en cour de route on s'en fout, on nous entasse cul par dessus tête, on conduit en fou sans tenir compte des passagers, c'est pas grave on a eu ce qu'on voulait >>
<< Combien de fois on vas essayé de te vendre un produit excessivement cher, j'ai rien contre ça, c'est la game. Mais fa moé pas la baboune parceque tu me le vendu au prix que j'ai négocié, si tu voulais pas le vendre, tu le garde >>
<< Là les visas, y font les beaux pour te vendre leur service, y te garantisse ça pour le 8 à 18:00hre, arrivé le 8 ils n'ont pas les visas, reviens le 9 à 18:00hre. ils ne sont pas encore arrivé, reviens à 19:00hre. Pis tu voudrais que je prenne de grandes respiration.........T'as raison ÇA ME STRESS >>
<< Une chance qu'on c'était donné une journée de délai pour le réserver les billets d'avions >>
À 19:00hre. nous sommes à l'agence, la dame avec un gros sourire et comme si elle était notre sauveur nous remet nos passeport avec les visas. 
J'en rajouterais pas..... mais elle était mieux des avoir....
Bon pour souper, comme convenue, nous retournons sur la Khao San Road pour la dernière fois. 
Manon opte pour une assiette de Pad Thaï, nouilles avec légumes et crevettes.

En attendant Manon je me suis approché du buffets de bibites. 
Il y a de belle petite chenille blanche et brune qui me tente, je vais juste en essayer une, voir si j'aime ça, pis une sauterelle je vais pouvoir comparer.
Les chenilles sont délicieuses et croustillantes, elles sont meilleurs que les sauterelles.
Il y a les scorpions noir, avant des mangers la vendeuse casse la bout de la queue mais faut croquer la carapace et les pinces, ça me tente un peu moins, peut-être une autre fois. 
Manon viens me retrouver, nous marchons à la recherche du buffet de champignons, j'ai bien aimé ça la dernière fois. Mais après vingt minutes de marche on trouve pas les champignons, bon ben, je vais me rabattre sur des spring roll aux légumes (genre de roulé de printemps) accompagné d'un petit sac de chenilles.
Je fais essayé les chenilles à un jeune couple de français assis au côté de nous, ils ont aimé. Eux aussi leur trouve un goût de noisettes.
Si vous avez l'opportunité de goûter à ces insectes, faites le, vous serez surpris, il vous faut seulement briser la barrière du dédain.
En retournant à l'hôtel, je croise un vendeur de champignons. 
Deux petites brochettes avec votre  sauce piquante svp.
Un vrai délice.
C'était notre dernière soirée en Thaïlande. 
A partir de demain je vous écrirais de l'Inde, c'est çomme si notre voyage reprenait.













mercredi 9 avril 2014

Bangkok 22e jour

( 8 avril 2014 )
Un autre journée qui commence. On à hâte de partir d'ici. 
C'est aujourd'hui qu'on doit avoir notre visa pour l'Inde.
Mais se qui m'intéresse se sont les résultat des élections au Québec.
C'est vers 10:00hre. Ici que l'annonce se fait, que si la tendance ce maintien, le prochain gouvernement serait LIBÉRAL MAJORITAIRE......
Je m'abstiendrais de tout commentaire.
Si vous voulez bien, prenons une minutes de silence à la douce mémoire de madame Pauline Marois, qui après cette débâcle, vas certainement quitter la politique active.
.........
Bon, on a pas rien que ça a faire. 
Moi j'ai des petites achats et Manon doit passer pour les visas.
Après mes achats, je reviens a notre parc préféré pour un peu d'écriture.
A part ça on ne s'exciteras pas, on veut être en forme pour l'Inde.
Manon reviens de l'agence sans les visas, il semblerait que l'ambassade était fermé aujourd'hui. On nous promet les visa pour demain 18:00hre.
Je vais a l'agence a mon tour pour qu'ils comprennent bien l'importance d'avoir nos 
visas demain.
Quand on a réservé nos billets d'avion, on a bien fait de ce donner un jour de délai entre le visa et le vol.
Au souper un couple qu'on a rencontré ici, nous ont demander de les accompagnés pour souper.
Lui est français sa conjointe est thaïlandaise et elle a un petit gars de 10 ans.
Ce sont des gens sympathiques, de toute façon, c'est toujours des gens sympathique que l'on côtoient.
Nous passons une belle soirée en leur compagnie. 


mardi 8 avril 2014

Bangkok 21e jour

( 7 avril 2014 )
Aujourd'hui on vas faire se qu'on voulait faire depuis quelque jours. 
On prend le bateau-taxi, (avec le nombre de gens qui embarque sur le bateau, il devrait appeler ça un bateau-bus) et on se dirige du côté opposé ou les touriste se rendent. 
Nous sommes au quai no. 13, correspondant au quartier Khao San Road. Les touristes habituellement ne vont pas plus loin. Nous allons nous rendre à la limite, jusqu'au quai no. 30.
Lorsque nous embarquons, il y a de la place pour s'assoir, la plus part des touristes ont quitté le navire.
Il fait beau et chaud, avec le déplacement du bateau nous sommes juste bien.
Nous passons à tous les quais, lorsqu'il y a des gens debout sur le quai, le bateau accoste quelque secondes, le temps aux gens de sauter dans le bateau. S'il n'y a personne, on n'arrête pas, à moins que quelqu'un désire descendre évidemment.
La balade est intéressante, nous ne voyons pas de belles résidences privé, quelque building d'une vingtaine d'étage sans plus. 
Par contre des maisons sur pilotis, nous en voyons un peu plus, et c'est a ce demander pour certaine, comment il se fait qu'ils ne ce sont pas encore écroulés.


En cour de route on doit avoir passé devant tout près d'une dizaine de temple, il y en a partout.

Arrivé au quai no. 30, tout le monde descend. 
Notre carte de la ville ne nous permet pas de nous dire dans quel quartier nous sommes arrivé, mais je peut vous dire qu'il y a de l'animation ici, ça bouge de monde.
Face au quai il y a un grand boulevard qui déroule son pavé à l'infini (vous avez compris que j'exagère un ti peu, mais le boulevard est long).
Nous sommes accueilli par un type, debout sur un camion, chapeau de cowboy sur la tête et micro dans les mains, vociférant contre je ne sais quoi. 
Vous allez dire, comment sais tu qu'il vociférait?
A crier comme il le faisait, il ne chantait pas les louanges de quelqu'un.
Ça semble bien être encore des manifestants.
De toute façon y semble pas avoir grand monde qui l'écoute.
Tout le long du boulevard il y a des kiosques de petits commerçants. On y retrouve de tout, on vois bien que ce n'est pas pour les touristes, c'est beaucoup plus pour le local. D'ailleurs dans les deux heures que nous passons ici, nous avons croisé que deux blanc.
On s'est retrouvé dans un gros marché, comme il y en a dans toutes les grandes villes. 
Faut avouer qu'il est très grand. Il y a une grande variété de fruits et légumes, des piments séché à volonté, et surtout, les étalages préféré de Manon, les poissons et charcuterie. 



Rien ne se perd, vous désirez quoi? Des têtes de poules, des petites couleuvres, de grosses barbottes visqueuses, des tripes de.....ché pas quoi, du bon boudin noir. 
Vous n'avez qu'à demander. 
Mais pour se qui est de la fraîcheur......rien de garantie.
Pour dîner j'achète des morceaux de "Jack fruit" c'est un fruit vert très gros ressemblant à un ballon de football, on ne mange que l'intérieur qui est jaune et délicieux.
Le problème c'est de le dépecer. Lorsqu'il est ouvert ce fruit à une odeur de vieux fromage puant, c'est tellement fort comme odeur que certain hôtel interdit ce fruit dans leur édifice.
J'essai également des petites pâtes translucide que je vois souvent, ils sont de différentes couleur, pas moyen de savoir c'est quoi. La dame me demande si elle rajoute un peu de sauce, pourquoi pas, je sais même pas ce que je mange.
Une jeune fille assis près de nous, nous traduit avec son i-phone, se que je mange, il semblerait que ce soit du tapioca aux légumes........c'est pas fameux.
Tant pis ça peu pas être toujours bon.
Nous retournons au quai et reprenons le bateau qui vas nous conduire à notre quai no. 13.
Ce fut une belle balade sur l'eau, surtout quand on peu s'assoir.
L'après-midi petit thé glacé dans le parc en rédigeant mon rapport quotidien.
Faut croire qu'ici c'est le parc des rencontres fortuite. 
Je demande à Manon si c'est bien notre copain de rencontre au Laos.
Assis sur un banc concentré dans ça lecture, notre ami Traven du UK (United Kingdom, Angleterre quoi! je vous dit ça parce qu'il disait toujours UK, j'ai été obligé de lui demander ce qui voulait dire par ça).
Il est de passage à Bangkok et quitte dans deux jours pour retourner au UK.
On a jasé voyage pendant près de deux heures, un type dans la soixantaine fors sympathique.
Pour souper nous décidons de sortir du quartier, on choisi un resto fréquenté par les thaïlandais, dans un secteur typiquement thaïlandais.
Ça peu pas être plus original que ça. 
Nous sommes assis sur des petits bancs de bois sans dossier, avec une table en bois très simple, la cuisine se fait sur le bord de la rue, notre serveur un petit gros est en bedaine avec un tablier de cuisine. De l'autre côté de la ruelle, nous avons une très belle vue sur la grand-mère édenté qui se promène les seins à l'air.
De quoi se mettre en appétit. Mais pour en rajouter, un chat viens dégueuler parterre près de notre table.
On voulait de l'original, on est servis.

A l'heure ou on vas se coucher, au Québec c'est l'heure ou les bureaux de votes vont s'ouvrir.



Bangkok 20e jour

( 6 avril 2014 )
Retour à notre petite routine .
Marche et flanage dans la ville. On a hâte de partir pour l'Inde.
A notre hôtel nous rencontrons beaucoup de gens qui nous parlent de l'Inde.
On doit s'attendre à quelque chose de spécial. La thailande c'est organisé contrairement à l'Inde. C'est intéressant d'échanger avec des gens qui ont déjà voyage dans ce pays. Les opinions sont partagés, on aime ou on n'aime pas.
Il faut avoir le cœur bien accroché, pas seulement sur la question malpropreté et odeurs, mais surtout sur le côtoiement de la misère humaine.
On verras tout ça quand on y sera. 

Cette après-midi, retour dans le parc à la recherche d'un peu de fraîcheur, faut dire qu'il fait 32 celsius.

Pour souper, nous décidons de manger à la volé. Non c'est certain on ne vas pas voler, ce que je veux dire c'est qu'on se promène et qu'on essai ce que les petits vendeurs on a nous offrir.
Nous nous rendons sur la rue Khao San Road, c'est possiblement ici qu'il y a le plus de petits vendeurs de bouffes et que le choix est le plus varié.
Je me lance en premier avec un pilon de poulet sur BBQ (une petite cuisse quoi) elle est délicieuse. 
Manon se rabat sur un épis de maïs, c'est pas nouveaux ça, c'est la troisième fois qu'elle en mange. Ils sont bon ont du goût, mais pas assez chaud pour moi. 
Pendant que Manon dévore son épis, nous passons près du buffet d'insecte.
Je me prend un petit canapé, le temps que Manon finisse son épis de blé d'Inde.
<< Une sauterelle s.v.p. c'est pour manger tout de suite >>
Je veux voir si le goût est toujours le même.
Oui, le goût n'a pas changé, un petit goût de noisette.
<< Me semble que ça seras bon avec de la bière, en regardant une partie de hockey! >>
<< J'ai comme idée que tu regarderais le hockey tout seul >>
<< Ben après une couple de bière, tu en mélange une couple dans un bol de chips BBQ, personne ne verrais ça! >>
<< J'y pense! On en a des sauterelles chez-nous, y doit ben y avoir une recette sur l'Internet, ça doit pas être sorcier à faire cuire! >>
<< L'été prochain, un party de bibittes, ça feras changement des épluchettes de blé d'Inde >>
Prochaine étape, une vendeuse de champignons.
Trois brochettes de champignons différent, elle les fait cuire sur charbon de bois, badigeonné d'une petite sauce et épicé. 
Lorsqu'elle me les remets, elle me demande si je veux de ça petite sauce verte qu'elle à dans un gros bol. 
La couleur de la sauce laisse à désirer. Raison de plus pour l'essayé.
Les champignons avec cette sauce sont sublimes. 
Mais ne faite pas comme moi, le piment vert qu'il y a au bout de la brochette, c'est pour les estomacs en acier.
De toute façon, quand vous mangez des mets Thaï, ayez toujours une bouteille d'eau a porté de bouche.
Nous avons terminé notre tournée de bouffe avec une crêpe, banane chocolat.
Pas méchant. 
Je pense que je vais suggèrer à Manon de recommencer l'expérience, mais la je vous promet
des photos.

lundi 7 avril 2014

Bangkok 19e jour

( 5 avril 2014 )
Notre but aujourd'hui c'est de réserver les billets d'avion pour l'Inde.
Nous retournons à une agence que nous avons ciblé hier. 
Le jeune homme est seul, il est à l'ordinateur quand nous entrons. 
On dirait qu'on les déranges. Il nous regarde d'un air comme s'il ne savait pas ce que nous faisons ici.
Je lui demande. << Are you busy, no, lets talk about business >> 
Il se rappelle de nous, il re vérifie les tarifs qu'il nous a donné hier, évidemment les prix on encore monté.
D'accord on prend les billets quand même, si on attend ça vas encore monter.
Entre temps quatre autre personnes entre dans l'agence et attendent qu'il ai terminé avec nous.
Il demande a être payé tout de suite, et de revenir dans une heure chercher la réservation pour les billets. Pas de problème, nous payons par carte de crédit.
Nous sortons pour une balade et reviendrons plus tard.
En face de l'agence il y a une porte dérobé, ou je vois de temps à autre des gens entrer ou sortir.
La curiosité est forte, on vas allé voir ce qu'il y a de l'autre côté de ce mur.
Nous nous retrouvons sur un terrain ceinturé d'un haut mur de béton (du déjà vue et entendu) il y a de gros bâtiments qui servent d'habitation pour les moines. 
Alors que nous marchons sur le terrain, il y a un équipe d'émondeurs occupé à débiter un gros arbres. 
Je les regardent travailler, personne n'a de casque dur, en plus celui qui manipule la scie à chaîne, porte une tuque, pas de lunette protecteur, pas de gants et porte des scandales croc aux pieds.
( Je me suis dit "c'est peut-être des croc avec bout d'acier!")
En sortant de cette enceinte par la porte principale, nous découvrons en traversant une petite rue, 
le temple Chana Songkhram, c'est le temple que desservent les moines que nous venons de voir.
Il y a d'important travaux en cour sur ce temple, mais a l'intérieur la cérémonie ce poursuit quand même. 
Dans la grand salle du temple les moines sont assis d'un côté et parle au micro. 
De l'autre côté, des disciples sont eux aussi assis à les écouter les mains jointes. Devant les moines des offrandes de tout genres. Au fond de la salle des statues de bouddha. C'est assez spécial comme cérémonie.
Je fais remarquer à Manon, que nous voyons beaucoup plus de femmes que d'homme travailler. Elles transportent des brouettes de roches ou de sable, elles n'ont pas peur du travail, au diable la manucure.

Vers l'heure du dîner on s'achète deux plats de mango sticky rice, c'est du riz pâteux avec morceaux de mangue, le tout bien arrosé de jus de noix de coco, c'est sucré et très bon. 
En passant près de l'agence de voyage, nous arrêtons pour récupérer nos réservations. 
Il nous annonce qu'il a fait une erreur, que lorsqu'il à rappelé pour les billets le prix avait changer à la hausse, c'est 1000 baht de plus. 
On lui fait savoir qu'on n'est pas content et que dans ces conditions on cancelle et qu'il nous rembourse.
Il nous remettent nos réservations, en nous disant qu'ils étaient pour absorber leur erreur. 
"Yé pas content le monsieur"
Son erreur, c'est de ne pas avoir réservé tout de suite avec la compagnie aérienne et nous faire payer après. Il a préféré nous faire payer, s'occuper des gens qui sont entrés et après appeler la compagnie. Durant ce délais les prix avaient grimpés.
Pour l'après-midi balade et relaxation dans le parc. 
J'aime bien le parc les fins de semaines, il y a plus de gens qui viennent se balader, des familles font des picniques, et malgré la hausse de l 'achalandage, les gens respectent la quiétude du parc, personnes ne cri. 
Faut dire qu'il y a constamment des policiers dans le parc.
Pour souper nous optons de retourner de l'autre côté du canal. De s'éloigner un peu du Khao San Rd.
En nous promenant dans une petite rue. 
Nous arrivons devant un restaurant qui annonce de la Poutine. Il y a un drapeau du Québec d'accrocher et un drapeau du canadien de Montréal.
Nous sommes devant le Snack Bar de Bruno Blanchette. 
Nous sommes tombé dessus tout a fait par hasard.
Nous le cherchions du côté de Khao San Road, mais il a déménagé de ce côté ci.
Bruno Blanchette n'était pas au restaurant, c'est Boris son fils qui nous a reçu, il est très sympathique, ça lui a fait plaisir de se faire photographier avec Manon.
Pis Manon était Ben Ben Ben contente.
 

dimanche 6 avril 2014

Bangkok 18e jour

( 4 avril 2014 )
La journée que nous attendions est enfin arrivé. C'est aujourd'hui que j'ai mon dernier rendez-vous avec le docteur Yutthavat a l'hôpital de Bangkok.
Notre rendez-vous est pour 10:30 hre. mais par expérience, vos mieux partir beaucoup plus tôt. 
À 07:30hre. nous quittons notre hôtel. Comme à l'habitude, je fais signe au premier tuk tuk qui passe. Je lui dit que nous voulons allé a la station National Stadium prendre le Sky Train, il ne comprend rien, un garde de sécurité pas loin viens a son secoure,  lui non plus ne comprend rien. 
"Je leur donne un plus pour l'effort!"
Merci quand même on vas essayer avec le prochain.
On a plus de chance avec le suivant.
Nous arrivons plus rapidement à la station du Sky Train, mais nous sommes à une autre station que celle demandé.
Pas de trouble on vas se retrouver et même plus facilement, nous n'aurons pas à changer de ligne comme d'habitude.
Quand notre train arrive et que les portes s'ouvrent, seigneur.....c'est bondé.
Nous faisons comme les autres....on fonce et on se fait un nid.
Tout le monde est collé l'un sur l'autre.
Le type derrière moi à la bedaine collé dans mon dos (en souhaitant que c'est juste ça bedaine). 
De ma main valide je me m'agrippe à la barre au dessus de ma tête, et de mon bras immobilisé dans son écharpe, je surveille ma main invalide pour qu'elle n'aille pas (involontairement dis-je) se glisser dans le corsage de la jolie dame devant moi.

<< Je m'excuse madame de fixer du regard votre généreuse poitrine. Mais je veux être prêt à intervenir, si ma main, au voisinage de votre corsage, reprenait subitement de sa vigueur >>

De son côté Manon debout agrippé au poteau  verticale, n'espère qu'une chose, qu'un banc se libère pour qu'elle puisse s'assoire, fuir cette nuée de tsour de bras agrippés à SON poteau.
Son souhait est exaucé, elle à enfin réussit à avoir un banc, pour cinq minutes.
Arriver à la station Prhom Phong, il nous faut maintenant retrouver la navette qui se rend à l'hôpital. Nous avons de la difficulté à la trouver parceque nous sommes arrivé dans la direction opposé à notre habitude. 
Je sais vous allez dire ça doit être facile pourtant! 
Ben......puis non je réplique pas à ça, faut vraiment être icite  pour nous comprendre.
Nous trouvons enfin la navette, et repartons direction l'hôpital en empruntant le labyrinthe de ruelles pour enfin arriver à destination à 09:15hre. 
1hre. 45minutes pour parcourir 10 km, c'est quand même bien........pour ici.
10:30hre. Direction radiographie des deux épaules, c'est fait en temps de le dire et on me demande d'aller au bureau du docteur Yutthavat au 5e étage.
Nous rencontrons le docteur il a toujours le sourire, il est très sympathique et prend le temps de bien tout nous expliquer
Il nous montre les radiographies prise aujourd'hui examine ma plaie et est très satisfait de ma récupération. 
Je n'ai plus à porter de pansement.
Il rit quand je lui dit que mon épaule gauche est maintenant plus belle que la droite.....et c'est vrai.

Vous devriez voir ma cicatrice à l'épaule. Moi qui croyait qu'elle serait tout petite, elle a au moins quatre pouces de long, du haut vers le bas.
J'imagine déjà la réponse que je vais donner au gens quand ils me demanderont ou je me suis fait cette blessure?
<< Ha! ça, je me suis fait ça dans les montagnes au Laos >>
Ce qui n'est pas faux, Phonsavanh est une ville dans les montagnes.
Si on me demande, comment c'est arrivé?
<< Ha! C'est des mauvais souvenir, j'aime mieux pas en parler >>
C'est encore pas faux, c'est pas un bon souvenir.
Pis ça laisse place à l'imagination....c'est quand même mieux que de leur avouer que je suis incapable de conduire un scooter. 
J'ai quand même ma fierté. 
Mais, y a Manon....elle, elle ne se gêneras pas pour raconter les faits à ça façon, juste  pour me remettre les petits coups que je lui ai fait soyez en sur. 

Nous avons l'accord du docteur pour poursuivre notre voyage. C'est ce que nous voulions faire certain avec lui. 
Mais je dois porter l'atèle, 24 heures même au coucher pour encore 4 semaines. 
Avant 6 mois, ne porter aucune charge dans la mains gauche avec le bras tendu vers le bas.
Ne pas élever le bras plus haut que l'épaule.
Faire les exercices qu'il ma montrer.
Pas de poids et haltères avant 6 mois pour l'épaule gauche.

Je lui ai demandé s'il avait objection que nous prenions une photo de lui et moi, au contraire ça lui faisait grand plaisir, il s'est levé rapidement.
Pour le retour à notre hôtel, ce fut un peu plus difficile. 
A 12:30hre. nous quittons l'hôpital avec la navette qui nous conduit à la station du Sky Train. De cette station nous décidons de nous rendre à la station dont nous sommes parti ce matin.
Nous trouvons un TukTuk qui veux bien nous conduire jusqu'à notre hôtel. 
C'est parti, mais pour pas loin, environs 10 minutes plus tard c'est l'embouteillage monstre.
Le trajet emprunté nous fait passer devant le boulevard longeant le palais royale.
Grosse erreur. Les manifestants ont choisi aujourd'hui et ce boulevard pour manifester. 
C'est étrange, aux intersections majeurs, se sont des manifestants avec visages dissimulés qui s'occupent de la circulation, alors que des militaires sur le trottoirs semblent n'être que des observateur. 
Notre TukTuk doit demander l'autorisation aux manifestants pour passer.
La police se trouve plus loin  pour gérer les embouteillages monstre que cause cette manifestation. 
C'est le bordel.
Nous avançons à pas de tortue, sous un gros soleil, en prenant des bouffés de monoxyde de carbone. 
C'est intenable, nous sommes entrain de cuire dans un tuk tuk.
Nous demandons à notre chauffeur si la Khao San Road est loin, nous pourrons peut-être marcher.
C'est pas loin qu'il nous dit, on peu marcher.
Je crois qu'on a pas la même notions des distance.
Après 20 minutes de marches en zigzagant entre les gens et les véhicules, on est toujours pas arrivé et je ne reconnaît pas le quartier.
Quand on s'informe les gens nous font signe que c'est toujours tout droit, mais comment loin? Comme réponse on a droit a un sourire.
Bon j'arrête un autre tuk tuk. 
Pour 60 baht, il nous conduit à notre hôtel en 10 minutes.
Enfin de l'air climatisé, il est 15:15hre. quand nous arrivons. 
Pas question de ressortir, on est trop bien au frais dans notre chambre.
Quand nous sortons pour souper, nous passons a une agence de voyage pour des billets d'avions destination Delhi en Inde.
Les journées que j'allais dans le parc pour écrire, que je mettais de l'ordre dans notre comptabilité ou encore que je faisais le tris des photos. 
Manon, avait la tâche de faire le tour d'agences de voyage et négocier les meilleurs prix pour des billets d'avions.
Depuis deux jours le prix des billets à monté.
Nous allons prendre la chance de réserver par internet auprès de la compagnie aérienne Indigo. C'est eux qui ont les meilleurs tarifs.
Impossible, on a beau essayer, ça passe pas. 
Il est trop tard pour repasser aux agences, on feras ça demain.
On s'installe a une terrasse (si on peu appeller ça une terrasse) et on fête la bonne nouvelle (pour mon épaule et notre voyage) en buvant une bonne bière et un coke.