Agra, Uttar Pradesh, Inde 2e jour

( 20 avril 2014 )

<< Un mois aujourd'hui. >>

<< Quoi ça? >>

<< Ben ça fait un mois que je me suis fait opéré >>

<< Tu vas tu en faire une fête national? >>

<< Ben non! Mais il ne me reste que deux semaines encore à supporter mon attelage, pis après bye bye >>

<< Ben ça! Ça vas dépendre de moé, si je vois que tu en a encore besoin tu vas continuer à le 

  porter >>

......................" On verras ben ça "

Aujourd'hui c'est la visite du TAJ MAHAL, on se trouve à cinq minutes de la porte d'entré sud.

Notre hôtel à la meilleur vue sur LE TAJ (les familier l'appelle LE TAJ) et c'est certainement nous dans tout l'hôtel qui avons la plus belle vue a partir de notre chambre, nous sommes les seul a avoir le wi-fi dans la chambre, pis à Ben y penser je pense que nous avons une suite. Ça compense pour les affreuses chambres qu'on a des fois.

Ça c'est la vue de notre chambre, pis assis sur le coin de la galerie, c'est un voyeur.

Ça court partout sur les toits, une vrai peste.

Pour entrer au TAJ c'est pas donné, on nous remet une bouteille d'eau et des chaussettes à enfiler dans les pieds lorsque l'on entre dans le mausolée.. 

Nous y allons de bonne heure pour éviter la chaleur de l'après-midi.

Pour traverser la première porte, nous devons passer à la fouille et au détecteur de métal.

Mon attelle les intrigues, surtout le coussinet pour appuyer le bras.

<< Aie, les gars si vous voulez le confisquer, je vous le donne tout de suite! >>

Pas chanceux, ils me le laissent pour la visite.

Traversé cette première porte, on se retrouvent dans une court a traverser pour arriver à une seconde et immense porte.

C'est la porte "sud" qui donne accès au jardin. 

La porte est tellement grande qu'elle dissimule a nos yeux ce qui ce trouve derrière.

Lorsque l'on avance vers son arche, nous ne voyons que la lumière éclatante du soleil traverser son orifice. 

En s'avançant sous le portique, nos yeux s'ajuste à la brillance du jour et subitement apparaît à nos yeux éblouis, le plus belle édifice du monde, le TAJ MAHAL.

Cette merveille que nous avons tant entendu parlé et vue seulement en image, se trouve devant nous.  

Ce magnifique et gigantesque monument, un chef d'œuvre architecturale, fait de marbre blanc, fut édifier par l'empereur Shahi Jahan pour recevoir le corps de sa 3ème épouse, morte en mettant au monde leur 14e enfant en 1631.

La construction entreprise en 1632, s'acheva en 1653.

On dit de ce monument qu'il est aussi immaculé aujourd'hui qu'à l'époque de sa construction.

Seul les véhicules non polluants peuvent s'approcher à 200 mètres du mausolée. 

Plus nous nous approchons, plus nous prenons conscience de l'immensité des lieux.

Nous traversons les jardins, le regard rivé à cette merveille.

Nous prenons des photos, sachant pourtant bien, que les plus belles images seront ceux restés à jamais gravés dans nos cœurs. 

Pour entré dans le mausolée, nous enfilons nos chaussettes. 

Arrivé au pieds de ce monument, nous sommes émerveillé par son gigantesque,

la beauté du marbre, les sculptures. 

A l'intérieur, il n'y a que deux tombeaux ou les gens circulent tout au tour.

Les murs sont incrusté de pierres semi-précieuses formant de superbe motifs, sur les murs il y a des citations du coran en jaspe incrusté.

(Désolé aucune photo permis à l'intérieur)

Pour nous la beauté se trouve à l'extérieur.

On se balade dans le parc, en ne ce lassant pas d'admirer ce chef d'œuvre dédier à l'amour.

C'est un peu avec regret que nous quittons ces lieux pour retrouver la cohue des rues de l'Inde.

C'est deux mondes, séparé seulement par un mur, une richesse fabuleuse d'un côté et une extrême pauvreté de l'autre.

Le temps des Maharadjas est-il terminé?.........J'en doute!

Direction Agra, Uttar Pradesh, Inde

( 19 avril 2014 )

06:15hre. nous quittons notre hôtel à Jaipur, direction la gare de train.

Exceptionnellement le ciel est sombre et il pleut, pas une grosse averse mais rien pour embellir le paysage. 

Il y a des flaques d'eau partout et ça sens pas très bon. Mais ça rafraîchi l'air.

Notre train part à 07:35hre. Nous sommes en avance.

C'est encore un express, pour le coût de $14. nous avons le confort, un petit déjeuner et une bouteille d'eau.

Contrairement à ce que nous avons lue sur les trains de l'Inde, c'est la deuxième fois que nous le prenons le trains et rien à redire. C'est certain que si nous prenions les trains populaires ça serait la vrai galère.

Nous en avons pour 3 1/2 heures de trajet avant d'arriver a Agra. 

Le paysage est toujours le même.

Bidonville en sortant de la gare. La misère est visible, n'ayant pas de toilette, les gens font leur besoin ou il peuvent, surtout sur le bord de la voie ferré à la vue de tous.

En nous éloignants des villes, c'est la campagne et des champs de blés.

Le trajet se déroule bien, nous arrivons à l'heure prévu à Agra.

En sortant de la gare, nous négocions un rickshaw pour 200 roupis, nous lui montrons l'adresse et il dit connaître l'endroit.

Nous partons encore dans la cohu de la circulation (plus on change plus c'est pareil).

En cour de route, nous voyons le Taj Mahal au loin, il est immense.

Arrivé à notre hôtel, le Shanti Lodge, comme à toutes les fois, on se demande bien oû on se trouve, nous sommes dépaysé et la seul chose que l'on désire c'est une chambre.

Nous demandons a voir une chambre, la première qu'il nous montre n'a pas d'air climatisé et à vue sur la ruelle.

La deuxième est au dernier étage, il y a l'air climatisé, 2 fans au plafond, la pièces est très grande avec sofa, et surtout une magnifique vue sur le Taj Mahal.

Le tout pour1000 roupis ($18.28).

Après un bon somme, nous sortons pour une visite des environs. Dans le secteur ou nous nous trouvons, il n'y a que des ruelles accessible aux rickshaw, moto, vélopousses et piétons. 

Ha oui! j'oubliais les vaches.

On ne fait pas vingt pas sans être sollicité pour quelque chose, promenade en rickshawx, pousse pousse, restaurant, achat quelconque et toute sorte de gugusses. 

En se dirigeant vers les portes d'entrée du Taj Mahal, nous devons passer dans une ruelle oû il n'y a que des vendeurs. Ici c'est la galère, il y a des jeunes enfants qui servent de rabatteur, ils vous accoste et vous invitent à visiter leur magasin, c'est chacun leur tour.

Nous c'est demain matin que nous allons visiter le Taj Mahal.

Du toit de notre hôtel, nous avons possiblement la plus belle vue de tout le quartier sur le Taj Mahal.

C'est la première fois qu'on se fait autant achaler.

Jaipur, Rajasthan 5e jour

( 18 avril 2014 )

Nous n'avons pas prévu faire grand chose aujourd'hui, nous voulons nous reposer pour être en forme demain pour notre voyage en train.

Notre ami Yunus nous ramasse devant l'hôtel à 10:00hre. 

Nous lui avons demander de nous conduire dans un gros centre d'achat, parce que l'on a quelque achat à faire.

Le centre d'achat n'est pas encore ouvert, Yunus nous balade dans le secteur de la ville Rose. 

Yunus arrête son bolide sans nous avertir et se rend à un comptoir. 

Il reviens avec trois lassis, c'est du yougourt avec une boule de crème glacé à la vanille arrosé d'un coulis aux fraises avec amende et raisin, c'est dégueulasse ment bon, je comprend que Yunus ai une bedaine.

Yunus nous informes qu'ici si les gens repeinture leur maison, ils doivent la repeinturer rose (selon moi c'est plus saumon de rose) sinon ils peuvent avoir un amende.

En parlant d'amende, Yunus n'a pas ça chemise bleu de chauffeur de rickshaw, (c'est son uniforme), il pourrait se faire arrêter par la police.

Avant de quitter la ville rose, nous repassons par le palais des vents, je veux le revoir une dernière fois.

Vers 12:00hre. Nous débarquons au centre d'achat.

C'est un centre d'achat de six étages avec des magasins de marques connus, c'est vous dire qu'il y a quand même des gens en moyen ici. 

A 14:00hre. nous repartons sans rien avoir acheté.

Nous disons à Yunus que nous voulons  manger quelque chose.

Il nous demande se que nous voulons manger?

<< La même chose que toi, mais de l'indien >>

<< Ok, ok >> qu'il dit, et c'est parti.

Il nous conduit dans un resto de la ville rose.

Je ne connais pas beaucoup de personne qui viendrais manger ici.

Il ne faut pas trop regarder......sauf que l'avantage c'est que la cuisine se trouve à l'avant en entrant, au moins on sait à quoi s'attendre.

Manon se fait regarder. C'est encore un endroit ou il n'y a pas de femme.

Yunus dit que ce sont les hommes des commerces environnants qui viennent manger ici.

Ce n'est pas un resto pour touriste, il n'amène pas souvent les gens dans ces lieux, il les choisies. Comme nous, il a bien vue que nous aimions sortir des sentiers battus.

On nous a servi de l'agneau au cari, de l'agneau avec une autre sauce et de la cervelle de vache dans une sauce épicé. 

Pour manger nous n'avons pas d'ustensiles, ils nous servent du pain nam que nous déchirons et trempons dans les sauces, c'est délicieux.

Pour boire un bon verre de "butter milk" froid.

Lors du repas, nous échangeons beaucoup avec Yunus.

Yunus est musulman, il nous parle de certain rituel qui nous font sourire. 

Il dit que les toilettes se sont des lieux sale. Avant d'y entrer ils ont une petite pensée  pour leur dieu, il entre dans la pièce le pied gauche en premier, lorsqu'il s'installe sur la toilette, c'est le pieds droit en premier, quand il a terminé, il déplace le pied droit et quitte la pièce avec le pied droit. 

Il semble que ça fait fuir les fantômes???

(De mon côté, quand j'ai envie, le pied droit ou gauche ça m'importe peu....en autant qu'il y a du papier pour s'essuyer).

On vois bien que Yunus est croyant, il se dit bon musulman, mais que pour faire vivre ça famille, il n'a pas la possibilité d'être un fervant pratiquant, il doit toujours travailler.

Ça fait 14 ans qu'il conduit un rickshaw, il en est pas le propriétaire, il le lou avec

ces frères. Il nous dit << si c'était à moi, mes enfants pourraient aller à l'école >>

Il a 5 enfants, de 4 à 14 ans.

Yunus ne sait pas lire et écrire, il a appris l'anglais en côtoyant les touristes.

Nous quittons le ventre plein, encore une fois.

Comme hier, nous ne souperons pas, nous avons encore trop mangé.

Ça nous a coûté 110 roupis ($2.) pour 3 personnes.

Nous sommes retourné à notre hôtel vers 16:00hre.

Nous faisons nos adieux à Yunus, nous lui disons de garder son sourire, c'est ce que recherche les gens

 

Jaipur, Rajasthan 4e jour

( 17 avril 2014 )

Aujourd'hui notre chauffeur Yunus doit nous ramasser à 10:00hre.

Il est fidèle au poste et à l'heure pile.

Première destination le temple sur la montagne. 

Lorsque nous sommes entre les murs de la ville rose, nous pouvons voir une forteresse et un temple tout au loin sur les hauteurs.

Malheureusement aujourd'hui c'est jour d'élection et certain site sont fermé dont le fort Naharggarth. 

Par contre on vas se rebattre sur la temple hindou, lui est ouvert.

Ce temple hindou est remarquable par ça svastika (croix gammée) peinturé sur ça façade. 

La svastika est, pour les hindous, un signe porte chance.

Notre ami nous trimballe dans un labyrinthe de ruelles qui nous conduit au pieds d'un escalier de roche.

Nous montons avec notre chauffeur qui nous sert de guide également.

Au loin il y a des singes, sachant que Manon n'aime pas les singes. Yunus lui donne un bâton en disant que ça vas les effrayés, mais " ne les frappes pas " qu'il lui dit.

En cour de route nous avons une belle vue sur les tombes que nous avions visités voilà deux jours, ce sont les tombes d'une famille de maharadja qui ont régné sur Jaipur. 

Notre guide nous indique les tombes de chacun des membres de la famille.

(Je suis certain que vous allez m'excusé de ne pas tous vous les nommer, même...vous en nommer aucun).

Une de ces tombes contiendra les corps des quatorze enfants d'un des fils du maharadja, tous décédés de la malaria. Un autre tombe, c'est le plus grand des maharadjas qui à existé, il mesurait 2 mètres et pesait 250 kilo.

Arrivé au temple nous avons une belle vue sur la ville de Jaipur et le palais sur le lac.

Dans le temples nous nous faisons accoster par des jeunes qui veulent se faire photographier avec nous.

En redescendant de la montagne, Manon se fait aborder par des femmes qui désirent eux aussi une séance de photo. 

Je ne comprend pas, c'est comme tout un honneur de ce faire photographier en notre compagnie?

Je pense que je vais commencer à distribuer des autographes.

Mais c'est frustrant....c'est Manon qui est la plus populaires......c'est dur pour mon égaux.

Prochaine arrêt, Hawa Mahal connu sous le nom de, " le palais des vents", c'est un des incontournables de Jaipur. 

Le palais se trouve dans l'enceinte de la ville rose. Il s'agit d'un palais construit en 1799. La construction de ces dizaines de fenêtre à deux raisons, une serais tout simplement question de ventilation et l'autre pour permettre aux femmes du harem de pouvoir regarder à l'extérieur sans se faire voir.

L'avantage d'avoir un type comme Yunus avec nous c'est qu'il connaît tous les petites recoins. Il nous fait monter les marches d'une porte de l'autre côté de la rue et nous arrivons sur un balcon face au palais qui nous donne une vue imprenable.

C'est le temps de dîner, << Que voulez vous manger? >> nous demande Yunus.

<< On vas manger la même chose que toi >>

<< OK qu'il dit >>

Nous restons dans l'enceinte de la ville rose et il nous conduit dans un resto qui n'est certainement pas classé dans le guide de cuisine gastronomique.

C'est plein de monde, je devrais plus tôt dire d'homme, il n'y a aucune femme.

Notre table n'est pas encore desservi, il y a des os de poulet directement sur la table.

Yunus commende, du chicken carrie avec pain nam. 

C'est un vrai délice, c'est gras.......mais un vrai délice. 

On se bourre la panse, il nous rapporte de la sauce et du pain autant qu'on en veut. 

C'est la que Yunus nous dit que nos os de poulet ça vas directement sur la table.

Tout ça pour 150 roupis ($3.) pour les trois.

Avant de partir je me suis laver les mains dans un lavabo sur le bord de la rue et on utilise le papier journal pour s'essuyer......rien ne se perd. Ha oui! ton papier tu le garroche dans la rue, perd pas ton temps à chercher une poubelle......

Prochaine étape, le temple des singes. 

Il faut encore monter une montagne, Manon n'est pas trop intéressé, elle préfère rester en bas avec Yunus et m'attendre.

Les singes se faisaient rare, faut dire qu'il est 13:00hre. et que le soleil plombe, ils doivent être caché à l'ombre. 

Y a juste un innocent comme moi qui vas ce payer une marche en montagne sous ce chaud soleil.

Arrivé au temple, la vue sur la ville et ces environs est merveilleuse, pour ce qui est du temple << yé pas ben beau >>. 

En plus de ça, il y a un gars dans le temple avec un linge à vaisselle au tour de la taille, qui viens me marquer le front d'un point, avec une peinture rouge, c'est de la chance qu'il me dit. 

En redescendant, j'ai effacé cette tâche......je donnerais pas le chance à Manon de rire de moi.  << Pis non! J'ai pas pris de photo! >>

Prochaine étape, Albert Hall. C'est un édifice qui à été construit par le prince Albert d'Angleterre. il habitait ici lorsqu'il venait en Inde.

Habituellement les visites du Hall sont permise, mais aujourd'hui élections oblige, c'est fermé.

Bon, la fatigue se fait ressentir, retour à l'hôtel, Manon vas se reposer, mais moi je dois me rendre à la gare pour réserver des billets de train pour Agra après demain.

Je ne vous expliquerais pas tout le processus pour avoir des billets de trains, mais une chance que Yunus était avec moi.

Pour souper......on n'a pas faim, on est encore sur les réserves du dîner. 

On vas juste manger des fruits.

Jaipur, Rajastan 3e journée.

( 16 avril 2014 )

Aujourd'hui on devrait avoir une autre belle journée.

Yunus veut nous faire voir ce qu'est vraiment le Rajasthan. 

Nous de bons nous rendre dans un village à 40 kilomètre de Jaipur.

Tel que convenu, il est devant notre hôtel à 08:00hre. 

Nous partons en ricksaw, Yunus dit que nous allons emprunter l'autoroute.

Je sais pas si vous savez mais un ricksaw électrique, c'est aussi vite qu'un kart de golf. Sur un autoroute c'est pas ce qu'il y a de plus rassurant, mais on trouve de tout même des chameaux.

Avant de quitter la ville, nous voyons de loin que le temps est assombri et le vent se lève. Nous traversons une tempête de sable.

Ben disons une mini tempête de sable, assez pour allumer les phares d'auto.

Après le sable, quelque goutes de pluie tout au plus.

Aujourd'hui je me suis dit, hier j'ai eu chaud avec mes pantalons long, je vais mettre des pantalons court. 

Je peu vous dire que le sable poussé par le vent ça pince les jambes.

Yunus, dit "c'est ça la Rajasthan".

Avant de quitter l'autoroute, Yunus s'arrête dans un restaurant le long de la route.

Il nous offre une thé indien, accompagné d'un genre de galette frit dans l'huile dans lequel à l'intérieur il y a un mélange de mais et légumes au curi que l'on trempe dans une sauce (très bon) et des petites boules de lentilles sucré servant de dessert.

Nous repartons et une quinzaine de minutes plus tard, nous quittons l'autoroute pour la région de Chomu en empruntant des petites routes.

Ici c'est du naturel, nous voyons le quotidiens des gens.

Comme dit Yunus, "C'est ça le Rajasthan".

Nous entrons dans le village de Samode, on croirait un retour dans le temps. 

Nous traversons tout le village pour nous arrêter au bout de la route, au pied des montagnes et près d'une spacieuse résidence privé. 

Cette résidence appartiens a un des fils du Maharadja du compte de Jaipur.

Nous voulons voir la région dans son ensemble, il y a un escalier qui semble se diriger au haut de la montagne. Ça vas être notre exercice pour aujourd'hui.

Nous sommes les seul à monter....avec les chèvres, nous n'en voyons pas, mais ça laisse des traces ces petites bêtes là.

Tout au haute de cette montagne, la vie est différente. Aucune habitation, c'est la nature à l'état pur, le paysage est sec et sablonneux, la végétation presqu'inexistante. 

Autre que le barrissement des ânes, c'est le silence. 

Au loin on vois un homme s'éloignant dans la montagne avec son troupeau d'âne. On ne ce croirait pas en Inde, le paysage ressemble beaucoup aux nouveaux-Mexique.

Nous continuons un peu plus haut notre monté jusqu'au ruine d'un fort abandonné.

D'ici nous voyons le village de Samode au fond de la vallée, la vue est magnifique.

On s'assoie sur des pierres et admirons en silence ce merveilleux décor.

Au loin sur les montagnes avoisinantes, on peu voir deux autres forts abandonnés, oubliés dans le temps.

En redescendant, nous croisons une chèvre qui semble bien se demander ce que nous faisons ici!

Nous demandons à Yunus d'aller nous attendre un peu plus loin dans le village, nous voulons nous balader dans ces rues.

Cette balade est inoubliable, on se croirait revenu dans le passé, les habitations ont de l'âge et de l'histoire, les véhicules sont rare, les gens sont souriants.

Lorsque nous arrivons au ricksaw, Yunus n'y est pas, il nous fait signe au loin, il est en discutions avec deux hommes du village. Il nous fait signe de le rejoindre les gens veulent nous offrir un thé.

C'est un vieil homme et son fils. A notre approche des enfants se précipitent vers nous pour nous serrer la mains, ce sont les quatre enfants du plus jeune des deux hommes. 

Nous buvons un bon thé, tout en discutant de la vie au village.

Avant de partir, je demande au vieil homme et son fils si je peu les prendre en photo, ils acceptent volontiers.

Yunus nous dit que le vieil homme lui à parlé d'un fort dans une petite vallée, à environs 2 km, un endroit qui a servi à quelque reprise pour tourner des films.

Il ne connaît pas l'endroit mais on réussit à le trouver.

L'endroit est merveilleux, le coup d'œil en vaut vraiment le déplacement.

Ce fort est abandonné, il y a deux hommes qui servent de gardiens.

Yunus frappe à la grosse porte de bois à l'entré principal, jusqu'à ce que quelqu'un réponde. Il raconte aux types que je suis un policier étrangé envoyé par par le ministère Indiens, un affaire de fou, tout ça pour nous permettre de visiter le fort.

Les types nous servent de guide, nous raconte toute l'histoire qu'ils connaissent sur le fort qui à 500 ans d'âges, que le maharadja qui la édifier venait se reposer ici avec ces trois femmes et la seul raison de ça construction de ce fort c'est pour éviter le contact avec la population.

Les viens ici croit, dur comme fer, aux fantômes. Yunus leur demande se qu'ils font le soir pour ce protéger des revenants. 

Les types ont répondu qu'ils consommaient de l'alcool pour mieux dormir et ne pas entendre les fantômes.

J'ai demandé au types si je pouvais les prendre en photo, ils ont refusé.

Yunus m'a dit qu'ils ont peur que leur photos se retrouvent dans des dossiers de polices.

Nous retournons vers l'hôtel, Yunus nous propose d'aller voir un autre temple, nous en avons assez, surtout que nous en avons pour une heure de route encore.

En cour de route, Yunus arrêté à différente endroit pour nous faire goûter à des choses nouveaux pour nous. 

Nous commençons par un genre de lait de chèvre, dont ils en on fait un yogourt, retirer le solide, pour conserver que le liquide blanc. Pas méchant, mais Yunus y rajoute du poivre et du sel???? (Pas très bon)

Par la suite il nous fait goûter une sauce qui se bois......encore moins bon.  

Ne me demandé pas avec quoi c'est fait, je n'ai pas retenu la recette.

Il nous a également fait goûter à du jus de bambou, il s'agit tout simplement de bâton de bambou, déchiqueté dans une presse pour en ressortir un jus d'une couleur verte, pas très attirante, mais c'est bon, ça goute un peu à la canne à sucre.

Il a également arrêté pour acheter une grosse cruche en terre cuite pour chez lui.

Il dit que l'eau se conserve fraîche dans ces cruche.

Retour dans la ville et enfin arriver à l'hôtel, vanné, mais très satisfait de notre journée.

Nous parlons avec Yunus pour une visite en ville demain, il y a des endroits que nous voulons voire et lui a des endroits qu'il veut nous montrer.

Mais demain c'est la dernière journée d'élection en Inde et Yunus veut aller voter, il vas nous ramasser vers 10:00hre. Ça fait bien notre affaire.