dimanche 13 avril 2014

Delhi, Inde 3e jour

( 12 avril 2014 )
Ce matin on est gonflé à bloc. On a bien dormis.
De plus ça fait trois semaines que je porte mon atèle, j'en ai pour trois autre semaines, j'ai bien hâte d'en avoir fini, c'est chaud sur le corps.
Bon sur l'horaire d'aujourd'hui, la visite du Fort Rouge.
Avant de partir, nous descendons dans le petit portique de notre Guesthouse pour notre café matinal. Comme à tous les matins, il y a un type qui utilise la salle de bain au côté de nous pour le grand lavage corporel et c'est le raclage de gorge, comme on dit par chez-nous, "yé t'après se gourmer", pis pas a peu près, y vas le chercher loin.
Pis ça c'est normal ici, on le vois et entend surtout, pis tout le monde crache, homme comme femme.

Nous partons tôt pour profiter de la fraîcheur du jour.
Nous allons prendre un rickshaw car ça semble un peu loin.
Je fais signe au premier qui passe. Je lui demande combien pour nous conduire.
Il demande 200 roupis, je lui offre 100 roupis, il commence à me raconter une histoire qu'il ne peut pas me conduire en dehors du Old Delhi, mais que.....
<< Aie c'est fini les histoires! >>
<< Tu peu pas, c'est pas grave >>
Il y en a un qui viens a moi il nous offre ces services, la deux autres types s'ingèrent dans la conversation???
<< Aie, c'est assez! je parle avec lui >>
Ils sont surpris et tout le monde se taie. Là je peu négocier calmement avec le chauffeur, les deux gars ne parlent plus.
Pour 100 roupis il acceptent de nous conduire.
Pour la première fois depuis notre arrivé nous sortons du quartier de Old Delhi.
Nous qui pensions qu'à l'extérieur du vieux quartier se serait un peu mieux, on a des surprises. Y a autant de monde, beaucoup de circulation et la misère y est plus visible.
Ça doit nous avoir pris un bon 20 minutes pour nous rendre, le chauffeur n'a pas essayé de nous vendre quoi que se soit, ne nous a pas raconté sa vie et n'a pas essayé de nous fourrer. 
Ça vaut bien un 40 roupis de pourboire, il était bien content.
Devant nous la silhouette imposant de Fort Rouge. C'est une forteresse en grés rouge, d'où son nom. 
Nous allons avoir chaud, c'est en plein soleil.
Je me rend chercher les billets pour entrer. Il y a deux guichets, un pour les Indiens prix d'entré 10 roupis et l'autre guichet pour les touristes 250 roupis.
Les touristes paient beaucoup plus cher et, je trouve ça ben correct, c'est quand même à eux ce fort, c'est leur histoire.

Les murs et la porte principal d'entré sont impressionnantes, on revie la grandeur de l'ancienne cité moghole construit entre 1638 et 1648.
Peut ont imaginer que ce fort fut construit, alors que l'Amérique venait d'être découverte!

En traversant cette immense porte (la Lahora ) j'imagine revoir le défilés d'éléphants diriger par leur cornac transportant l'empereur et ça cour, tous somptueusement décorés.
A l'intérieur des murs on se retrouve dans un immense parc nous permettant de fuir la cohue de la ville.
A l'abris des arbres avec un peu de la fraîcheur du matin, la visite des bâtiments se fait bien et deviens plus plaisant.

En nous baladant nous sommes émerveillé par les couleurs des saris des indiennes.
Je me risque et je demande a un groupe de femme si je peu les prendre en photos. 
A notre grande surprise elles acceptent avec empressement, elles sont emballés et demandent à Manon de venir dans la photo. Elles rient de bon cœurs, ça fait du bien à entendre et a voir.
Par après, quand nous recroisions ces dames, elles nous souriaient et envoyaient la main.
C'est étrange, mais pour nous ce fut un petit moment magique qui nous a fait chaud au cœur.
Il y a eu un groupe de jeunes qui voulait se faire prendre en photo avec nous....je devrais plus tôt dire avec Manon. 
Ça semblait plus macho qu'autre chose.
Accompagnant les jeunes, il y avait un vieux monsieur le teint cuivré, signe d'une vie rude et bien chargé, il à bien voulu prendre la pose avec Manon.
La visite terminé, nous décidons de nous noyer dans la cohue de la rue Chandni Chowk, qui fait face au Fort Rouge.
CIEL!  C'est incroyable, c'est FOU FOU FOU.

On pensait qu'il y avait du trafic près de notre Guesthouse! 
C'est même pas comparable avec ce qu'on vois ici! 
Dans le quartier du Old Dehi c'est le désordre, ici c'est le GRAND DÉSORDRE.
Les seul bon points ici, c'est qu'il y a des trottoirs ou on peut se permettre de jouer du coudes, et la rue est a deux voies, séparé par un terre plein. Là s'arrête les bons points.
On vois de tout, et on sent de tout. Il y a des couleurs et il y a des odeurs.
Sans parler que le concepts de la pollution par le bruit ne c'est pas rendu jusqu'ici.
Dans les rues c'est la loi du plus gros, du plus fort et du plus fou. 
C'est celui qui feras le plus de bruit.
Tout se qui a des roues y circule. Tout se qui se déplace à l'énergie mécanique, animal ou humaine si retrouve également.
Il y a les riches avec leur bagnole, les moins riches avec leur moto, les pauvres avec leur brouettes tiré à bout de bras.
Il y a les taxis, pour les gens et touristes en moyen, il y a les rickshaws pour les gens et touristes moins nantis, il y a les vélopousses pour les gens et touriste parcourant de courte distance et il les pauvres, n'ont que leur sandales (quand ils en ont).
Je passe sur beaucoup de chose que nous voyons et qui nous surprend.
Nous nous promenons pendant une heure, dans cette foule et ce cohue.
Pour dîner on a beau essayé de chercher quelque chose de typiquement indien, Oublier ça,  a moins de prendre se qui se cuit sur le bord de la rue, au risque d'avoir des petits problèmes gastrique, non merci.
On se rabat sur le McDonald, et oui, il y en a un ici, un McDo sans viande, seulement du poulet. 
Vas pour un chicken Maharadja, c'est ce qui remplace le BigMac.
Bien rassasié, nous quittons pour revenir à notre chambre. 
Nous trouvons un jeune chauffeur de rickshaw, je lui dit ou nous voulons aller, c'est près de la station de train Old Delhi.
Et c'est parti....mais tsé quand je vous dit qu'avec nous c'est jamais facile, notre chauffeur nous trimballe dans la ville dans un trafic fou et nous conduit à la gare Old Delhi. 
Malheureusement ce n'est pas la bonne gare. 
On viens a bout de se comprendre et aussi bizarre que ça puisse paraître, notre Guesthouse qui se trouve dans la Old Delhi est desservie par la station de train du NEW DELHI alors que le quartier New Delhi est desservi par la station de train OLD DELHI.
C'est à ce demander s'il le font exprès.......
Tout ça pour dire que notre jeune chauffeur nous a promené pendant une heure dans les rues du New et Old Delhi, un tour de ville quoi, et bizarrement.....on a aimé ça.


Mais BON DIEU! C'est le bordel partout.
Je ne peu imaginée, jour après jour, me lever et me coucher dans ce cohue.
Nous sommes des gens privilégiés de vivre au Québec. 























































Delhi, Inde 2e jour

( 11 avril 2014 )
Comme d'habitude le lendemain de notre arrivé à un endroit, nous partons à la découverte du quartier. 
Mais ce matin je vais me balader seul, Manon a une migraine (qui en aurait pas avec le concert de Klaxon qu'il y a ici). 
Je vais en profiter pour me rendre à la gare pour acheter le livre sur les horaires de train. 
Grâce au petit guide de mon ami Guy, ça devrait être facile. Mais comme vous savez avec nous, rien n'est facile.
En sortant de notre Guesthouse, je me retrouve en plein action, les Klaxons on déjà commencer, la vie s'anime tôt.
C'est assé facile et difficile à décrire l'animation de la rue.
Facile, parceque je pourrais seulement vous dire que c'est bordélique, c'est un désordre total.
Difficile, parceque si j'essai de vous expliquer ce que je vois, je n'en finirais pas.
Faisons l'exercice quand même. 
Imaginez Il fait beau soleil avec ciel sans nuages, le temps est chaud, mais sec, étrangement c'est tolérable.
Vous quitter votre Guesthouse et vous vous retrouvez dans une ruelle ou un type répare une moto, un autre passe ça journée à repasser des vêtements avec un fer de pierres chaudes,
 d'autre hommes sont assis ou accroupis sur le sol et jase entre eux, un autre est couché de tout son long et semble dormir.
Là vous arrivez à l'artère principale, la Rajguru road.



C'est une rue pas tellement plus large qu'une rue normal de chez-nous, à la différence qu'il n'y a pas de trottoirs, la rue en pavé plein de trous est écrasé par des bâtiments en hauteurs. Bâtisses pour la plus part non entretenues et même en ruine. La circulation est sans logique, aucun code ne s'applique. Camions, autos, motos, rickshaws, vélopousses, piétons, vaches, chiens, c'est au plus fort le passage. Dans ce petit jeux, le piétons est rarement gagnant.
Il y a des autos et motos stationner partout dans tous les directions, en double s'il le faut et perpendiculaire à la rue.
Quand tu marche dans les rues, (ne chercher pas les trottoirs il n'y en a pas, et s'il y en as c'est pour tout autre utilité que la marche) tu dois avoir les yeux partout (pour éviter de mettre les pieds dans quelque chose.....).
Ici le Klaxon est utiliser pour te dire je m'en viens, pour te dire attention, pour montrer leur impatience et je pense même pour le fun de klaxonner.
Sur beaucoup de camion, à l'arrière c'est écrit " horn please"???
Il y a des petits vendeurs ambulants un peu partout, des gens qui marches dans les rues, il y a ceux qui dorment sur le bord des bâtisses, il y à les mendiants, ceux qui marchent et ceux qui rampent. Il y a les vaches qui eux ont tous les droits et les chiens errants qui fouillent les déchets. 
Et parmis ce beaux mondes, se balade quelque touristes comme nous a la recherche de changement, d'exotisme. Ici on est loin des plages du sud!
Arrivé sur la Main Bazar Road, l'artère majeur du Old Delhi, la circulation y est encore plus désordonné, comme le nom le dit, c'est la rue des commerces, c'est LA place.
Si vous chercher un resto avec terrasse, regarder vers le haut, les terrasses sont sur les toits. Pas question de faire une terrasse au ras du sol, l'achalandage ne le permet pas, sans parler de la pollution, du bruit, des gens qui vous fixe, des vaches qui mangeraient dans votre assiette et des chiens qui vous pisserait dessu.

Et puis c'est vraiment plus relaxant de voir de haut ce foutu bordel.
Comme à mon habitude je suis parti dans la mauvaise direction, j'ai pris la rue Main Bazar dans le mauvais sens. Ne trouvant pas la gare, je me rabat sur un rickshaw qui mis conduit rapidement.
En me dirigeant à pieds vers la gare un type que je croyais travailler a la station de train, voyant que je cherchais quelque chose m'aborde et voulant m'aider me dirige dans une autre direction.
Je me suis retrouver dans une agence de voyage, quand j'ai vue ça j'ai demandé au type de l'agence, qu'il ne perde pas son temps que je veux juste le livre sur les horaires de trains. Je quitte les lieux sans le livre. 
Un autre type sort de la même agence et me dit que l'agence a essayé de le fourrer, il s'offre de venir me montrer ou se trouve le centre d'information touristique qui eux pourrons m'aider.
Je le suis et me retrouve dans une autre agence de voyage.
Merde! Tout le monde essaie de nous fourrer ici.
<< Je retourne à la gare, pis qui en a pas un maudit qui veuille me rendre service >>
<< Aidez moi pas personne, ça vas allé beaucoup mieux >>
A l'intérieur de la gare, ça m'a pris 10 minutes et j'avais le fameux livre désiré.
Pour retourner à l'hôtel, je n'ai qu'à prendre la rue devant la gare c'est la Main Bazar  Road, je vais devoir la marcher d'un bout à l'autre pas de problème et je vais m'amuser à dire NON à tous ceux qui m'adresse la parole, ce sera ma petite vengeance.
<< Non! je suis pas rancunier.....mais quand même >>
Mais pour me rendre sur la Main Bazar je dois traverser un carrefour très achalandé, 
il y a bien une police dans la rue, mais je pense que c'est juste un bibelot. 
Il me faut foncer et zigzaguer entre les véhicules, et aller à la limite du risque, sinon personne ne vous donne de chance.
Arrivé à la chambre, je dois me reposer, je suis fatigué, la chaleur, le bruit, être constamment sur ces gardes, je m'allonge sur le lit et tombe endormi.
Nous sortons vers l'heure du souper, mais nous aimerions avant consommer une bonne bière fraîche.
Quel misère, ici nous sommes dans un pays hindouisme et musulman, la bière leur ai interdit. Les gens ne doivent pas voir ceux qui consomme de la boisson.
Il y a bien quelque rare bar, mais l'intérieur de ces bars, sont sombre et pas très attirant.
Nous trouvons un bar qui a un peu plus d'allure avec une vitrine teinté (pour ne pas être vue entrain de consommer) notre jeune serveur, nous fait la morale, disant que la consommation de bière n'est pas bon.
<< Ben vois tu mon gars, si tu veux prêcher sur les méfaits de la boisson, c'est pas dans un bar que tu devrais travailler, mais dans une mosquée >> 
Et TOC ça m'a fait du bien....
Nous trouvons un resto "on the roof" on a une belle vue sur cette fourmilière humaine.
Quand nous quittons le resto, il y a beaucoup de gens dans les rues, la fraîcheur des soirées les faits sortir.
Nous retournons à notre chambre en nous disant que malgré tout, c'est pas si pire....





vendredi 11 avril 2014

Direction Delhi en Inde

( 10 avril 2014 )
C'est aujourd'hui que nous quittons Bangkok pour l'Inde. Depuis le temps qu'on attend, c'est comme si nous recommencions du début. 
Il y a notre compagnie d'assurance qui nous ont envoyer un message en disant
" Qu'elle beau voyage vous faites ". C'est le fun, sont pas rancunier d'avoir eu à payer.
Nous disons adieux aux personnels de l'hôtel Traha House, pour la plus part se sont des femmes, nous avons été bien traité, et c'est un endroit propre que nous recommandons facilement.
Bon à 09:00hre. Comme prévu, nous attendons notre ride pour l'aéroport, sont pas à l'heure c'est normal.
À 09:10hre. une petite van arrive (seulement 10 minutes de retard).
Nous sommes huit à l'intérieur, en cours de route, à une lumière de circulation, il parle avec une autre van arrêté au côté de lui.
Tous les deux s'arrêtent sur le côté de la rue, le chauffeur nous dit qu'il faut changer de bus et nous fait embarquer dans l'autre van ou nous nous retrouvons tassé comme des sardines. Notre van tourne de bord et s'en vas.
Quand je vous disais hier, qu'ils se foutent des gens, c'est l'exemple type.
Passons.....faut pas gâcher cette belle journée.
L'aéroport de Bangkok est immense et moderne, très facile de se retrouver.
Nous quittons avec Indigo air line, dans l'avion c'est notre premier contact avec des indiens, nous sommes en minorité, y a pas grand blanc ici. 
Je peu tu vous dire qu'ils sont bruyant et prennent de la place, pas habitué de vivre ça dans un avion.
Le vol se passe bien, nous arrivons à Delhi vers 15:45hre. nous reculons l'heure d'une heure. 
Ici aussi c'est une belle aéroport, tout se passe bien. 
Grace au petit livre que notre ami Guy Lassonde à publié sur l'Inde, il nous dit comment s'y prendre a notre arrivé.
Après avoir traversé les formalitées d'usage.
On se dirige vers le comptoir ou on paie le taxi tout de suite pour le trajet ou on veut se rendre, ils nous remettent un reçu que l'on doit remettre au chauffeur.
Pour faire une histoire courte, nous prenons un chauffeur qui a de la jasette, je lui montre l'adresse ou on veut se rendre et on part.
Il nous parle de tout et de rien, il est très amicale.
En cour de route on dévie vers une agence de voyage ou un type me dit que l'hôtel ou je veux aller est fermé.
Ils ont poigné un nœud, je les aient traités de menteur (je vous ferais grace de ce que j'ai rajouté) pis j'ai dit à notre chauffeur d'embarquer dans son &+#% de taxi, pis de nous amener à l'hôtel si y veut son reçu (dit sur un ton qui ne porte pas à répliquer).
Faut dire que notre ami Guy Lassonde nous avait mis en garde contre se stratagème.
Il nous a conduit, a contre cœur, à l'endroit désiré.
Nous nous trouvons sur la rue Rajguru dans le vieux Delhi. 
C'est du jamais vue pour nous.......faut pas arriver de nuit ici. 
C'est le capharnaüm, tous les termes que j'ai déjà employé, jungle, bordel, pagaille, s'applique en MAJUSCULE.  
C'est un désordre incommensurable.
C'est tout simplement indescriptible. 

Tout se qu'on peut avoir lue et vue sur les vieux quartiers de l'Inde, on le retrouve.
On a pas encore fait le tour du quartier qu'on a déjà une bonne idée de se qu'on y retrouveras. 
Nous trouvons  situé dans une ruelle, l'hôtel Chandler la propreté est à la limite de l'acceptable. 
Mais se qui compte pour nous c'est de nous éloigner du bruit des rues principales et l'air conditionné évidemment.
Quand nous sortons pour aller souper, l'air est plus fraîche, les gens sortent à l'extérieur, c'est la foule. Comme on dit "on est dans le bain".
Sérieusement, j'ai de la difficulté a décrire se qu'on vois et vie. 
Nous trouvons un restaurant terrasse sur le toit d'un édifice. Dans ce quartier, il n'y a pas de terrasse dans la rue, oubliez ça, les terrasse se trouvent en hauteur.
De notre table, nous avons une vue en plongé sur le désordre qui règne tout en bas. 
L'histoire des vaches dans les rues! c'est vrai, il y en a cinq qui se baladent librement en mangeant je ne sais quoi qui traine et que des gens leur donnent.
Quand nous revenons à notre guesthouse nous sommes fatigués et vidés, dépassé par se que nous voyons. On verras pour la suite demain.























jeudi 10 avril 2014

Bangkok 23e jour

( 9 avril 2014 )
Notre purgatoire achève, c'est notre dernier jour à Bangkok.
C'est aujourd'hui qu'on nous devrions avoir notre visa pour l'Inde, sinon je vais faire une crise, nos billets d'avion son acheté pour demain.
Pendant que Manon vas s'occuper des visas, moi je vais m'occuper d'envoyer à notre assurance, tous les factures qu'on a eu à payer concernants mon accident.
Au risque de les perdrent dans notre voyage, on préfère les envoyer tout de suite.
Je passe une grosse partie de la journée à mettre de l'ordre dans ces papiers, de les notifiées, faire des photocopies, remplir les documents exigés par la compagnie et d'aller porter le tout au bureau de poste.
Le reste de l'après-midi je le passe à relaxer.

Nous quittons au bon moment, la semaine prochaine c'est fête, je ne me rappelle pas la fête de quoi, mais pendant trois jours tout le monde s'arrose, même les policiers se font arroser, il semblerait que c'est la foire. Les gens arrosent à partir des balcons, des véhicules, de partout, c'est pour ça que ces derniers jours, on voyais beaucoup de jeunes acheter des fusils à eau.
Les gens qui nous en parlaient disait, c'est le fun une journée, mais pas trois jours.

Vers 18:00hre. c'est le temps d'aller chercher nos visas, je rejoindre Manon dans le hall de l'hôtel. 
Là elle me dit <<  Assis toi, j'ai quelque chose à te dire! >>
<< Je viens de l'agence, ils n'ont pas encore nos visas, ils disent de revenir à 19:00hre. >>
<< ......... >>
<< Voyons André, prend de grande respiration, tu te stress pour le rien, nous sommes en Asie, y connaissent pas ça le stress ici >>
" C'est là que je fais ma monté de lait "
<< C'est pas que je me stress, mais chez-nous nous avons été éduqué dans le respect des gens, ici c'est le JE, ME, MOI. Du moment qu'ils obtiennent se qu'ils veulent de nous, se qui adviendra après, c'est pas grave >>
<< On en a l'exemple avec les bus, les vannettes, on te vend des billets en te promettant une qualité, si ça change en cour de route on s'en fout, on nous entasse cul par dessus tête, on conduit en fou sans tenir compte des passagers, c'est pas grave on a eu ce qu'on voulait >>
<< Combien de fois on vas essayé de te vendre un produit excessivement cher, j'ai rien contre ça, c'est la game. Mais fa moé pas la baboune parceque tu me le vendu au prix que j'ai négocié, si tu voulais pas le vendre, tu le garde >>
<< Là les visas, y font les beaux pour te vendre leur service, y te garantisse ça pour le 8 à 18:00hre, arrivé le 8 ils n'ont pas les visas, reviens le 9 à 18:00hre. ils ne sont pas encore arrivé, reviens à 19:00hre. Pis tu voudrais que je prenne de grandes respiration.........T'as raison ÇA ME STRESS >>
<< Une chance qu'on c'était donné une journée de délai pour le réserver les billets d'avions >>
À 19:00hre. nous sommes à l'agence, la dame avec un gros sourire et comme si elle était notre sauveur nous remet nos passeport avec les visas. 
J'en rajouterais pas..... mais elle était mieux des avoir....
Bon pour souper, comme convenue, nous retournons sur la Khao San Road pour la dernière fois. 
Manon opte pour une assiette de Pad Thaï, nouilles avec légumes et crevettes.

En attendant Manon je me suis approché du buffets de bibites. 
Il y a de belle petite chenille blanche et brune qui me tente, je vais juste en essayer une, voir si j'aime ça, pis une sauterelle je vais pouvoir comparer.
Les chenilles sont délicieuses et croustillantes, elles sont meilleurs que les sauterelles.
Il y a les scorpions noir, avant des mangers la vendeuse casse la bout de la queue mais faut croquer la carapace et les pinces, ça me tente un peu moins, peut-être une autre fois. 
Manon viens me retrouver, nous marchons à la recherche du buffet de champignons, j'ai bien aimé ça la dernière fois. Mais après vingt minutes de marche on trouve pas les champignons, bon ben, je vais me rabattre sur des spring roll aux légumes (genre de roulé de printemps) accompagné d'un petit sac de chenilles.
Je fais essayé les chenilles à un jeune couple de français assis au côté de nous, ils ont aimé. Eux aussi leur trouve un goût de noisettes.
Si vous avez l'opportunité de goûter à ces insectes, faites le, vous serez surpris, il vous faut seulement briser la barrière du dédain.
En retournant à l'hôtel, je croise un vendeur de champignons. 
Deux petites brochettes avec votre  sauce piquante svp.
Un vrai délice.
C'était notre dernière soirée en Thaïlande. 
A partir de demain je vous écrirais de l'Inde, c'est çomme si notre voyage reprenait.













mercredi 9 avril 2014

Bangkok 22e jour

( 8 avril 2014 )
Un autre journée qui commence. On à hâte de partir d'ici. 
C'est aujourd'hui qu'on doit avoir notre visa pour l'Inde.
Mais se qui m'intéresse se sont les résultat des élections au Québec.
C'est vers 10:00hre. Ici que l'annonce se fait, que si la tendance ce maintien, le prochain gouvernement serait LIBÉRAL MAJORITAIRE......
Je m'abstiendrais de tout commentaire.
Si vous voulez bien, prenons une minutes de silence à la douce mémoire de madame Pauline Marois, qui après cette débâcle, vas certainement quitter la politique active.
.........
Bon, on a pas rien que ça a faire. 
Moi j'ai des petites achats et Manon doit passer pour les visas.
Après mes achats, je reviens a notre parc préféré pour un peu d'écriture.
A part ça on ne s'exciteras pas, on veut être en forme pour l'Inde.
Manon reviens de l'agence sans les visas, il semblerait que l'ambassade était fermé aujourd'hui. On nous promet les visa pour demain 18:00hre.
Je vais a l'agence a mon tour pour qu'ils comprennent bien l'importance d'avoir nos 
visas demain.
Quand on a réservé nos billets d'avion, on a bien fait de ce donner un jour de délai entre le visa et le vol.
Au souper un couple qu'on a rencontré ici, nous ont demander de les accompagnés pour souper.
Lui est français sa conjointe est thaïlandaise et elle a un petit gars de 10 ans.
Ce sont des gens sympathiques, de toute façon, c'est toujours des gens sympathique que l'on côtoient.
Nous passons une belle soirée en leur compagnie. 


mardi 8 avril 2014

Bangkok 21e jour

( 7 avril 2014 )
Aujourd'hui on vas faire se qu'on voulait faire depuis quelque jours. 
On prend le bateau-taxi, (avec le nombre de gens qui embarque sur le bateau, il devrait appeler ça un bateau-bus) et on se dirige du côté opposé ou les touriste se rendent. 
Nous sommes au quai no. 13, correspondant au quartier Khao San Road. Les touristes habituellement ne vont pas plus loin. Nous allons nous rendre à la limite, jusqu'au quai no. 30.
Lorsque nous embarquons, il y a de la place pour s'assoir, la plus part des touristes ont quitté le navire.
Il fait beau et chaud, avec le déplacement du bateau nous sommes juste bien.
Nous passons à tous les quais, lorsqu'il y a des gens debout sur le quai, le bateau accoste quelque secondes, le temps aux gens de sauter dans le bateau. S'il n'y a personne, on n'arrête pas, à moins que quelqu'un désire descendre évidemment.
La balade est intéressante, nous ne voyons pas de belles résidences privé, quelque building d'une vingtaine d'étage sans plus. 
Par contre des maisons sur pilotis, nous en voyons un peu plus, et c'est a ce demander pour certaine, comment il se fait qu'ils ne ce sont pas encore écroulés.


En cour de route on doit avoir passé devant tout près d'une dizaine de temple, il y en a partout.

Arrivé au quai no. 30, tout le monde descend. 
Notre carte de la ville ne nous permet pas de nous dire dans quel quartier nous sommes arrivé, mais je peut vous dire qu'il y a de l'animation ici, ça bouge de monde.
Face au quai il y a un grand boulevard qui déroule son pavé à l'infini (vous avez compris que j'exagère un ti peu, mais le boulevard est long).
Nous sommes accueilli par un type, debout sur un camion, chapeau de cowboy sur la tête et micro dans les mains, vociférant contre je ne sais quoi. 
Vous allez dire, comment sais tu qu'il vociférait?
A crier comme il le faisait, il ne chantait pas les louanges de quelqu'un.
Ça semble bien être encore des manifestants.
De toute façon y semble pas avoir grand monde qui l'écoute.
Tout le long du boulevard il y a des kiosques de petits commerçants. On y retrouve de tout, on vois bien que ce n'est pas pour les touristes, c'est beaucoup plus pour le local. D'ailleurs dans les deux heures que nous passons ici, nous avons croisé que deux blanc.
On s'est retrouvé dans un gros marché, comme il y en a dans toutes les grandes villes. 
Faut avouer qu'il est très grand. Il y a une grande variété de fruits et légumes, des piments séché à volonté, et surtout, les étalages préféré de Manon, les poissons et charcuterie. 



Rien ne se perd, vous désirez quoi? Des têtes de poules, des petites couleuvres, de grosses barbottes visqueuses, des tripes de.....ché pas quoi, du bon boudin noir. 
Vous n'avez qu'à demander. 
Mais pour se qui est de la fraîcheur......rien de garantie.
Pour dîner j'achète des morceaux de "Jack fruit" c'est un fruit vert très gros ressemblant à un ballon de football, on ne mange que l'intérieur qui est jaune et délicieux.
Le problème c'est de le dépecer. Lorsqu'il est ouvert ce fruit à une odeur de vieux fromage puant, c'est tellement fort comme odeur que certain hôtel interdit ce fruit dans leur édifice.
J'essai également des petites pâtes translucide que je vois souvent, ils sont de différentes couleur, pas moyen de savoir c'est quoi. La dame me demande si elle rajoute un peu de sauce, pourquoi pas, je sais même pas ce que je mange.
Une jeune fille assis près de nous, nous traduit avec son i-phone, se que je mange, il semblerait que ce soit du tapioca aux légumes........c'est pas fameux.
Tant pis ça peu pas être toujours bon.
Nous retournons au quai et reprenons le bateau qui vas nous conduire à notre quai no. 13.
Ce fut une belle balade sur l'eau, surtout quand on peu s'assoir.
L'après-midi petit thé glacé dans le parc en rédigeant mon rapport quotidien.
Faut croire qu'ici c'est le parc des rencontres fortuite. 
Je demande à Manon si c'est bien notre copain de rencontre au Laos.
Assis sur un banc concentré dans ça lecture, notre ami Traven du UK (United Kingdom, Angleterre quoi! je vous dit ça parce qu'il disait toujours UK, j'ai été obligé de lui demander ce qui voulait dire par ça).
Il est de passage à Bangkok et quitte dans deux jours pour retourner au UK.
On a jasé voyage pendant près de deux heures, un type dans la soixantaine fors sympathique.
Pour souper nous décidons de sortir du quartier, on choisi un resto fréquenté par les thaïlandais, dans un secteur typiquement thaïlandais.
Ça peu pas être plus original que ça. 
Nous sommes assis sur des petits bancs de bois sans dossier, avec une table en bois très simple, la cuisine se fait sur le bord de la rue, notre serveur un petit gros est en bedaine avec un tablier de cuisine. De l'autre côté de la ruelle, nous avons une très belle vue sur la grand-mère édenté qui se promène les seins à l'air.
De quoi se mettre en appétit. Mais pour en rajouter, un chat viens dégueuler parterre près de notre table.
On voulait de l'original, on est servis.

A l'heure ou on vas se coucher, au Québec c'est l'heure ou les bureaux de votes vont s'ouvrir.



Bangkok 20e jour

( 6 avril 2014 )
Retour à notre petite routine .
Marche et flanage dans la ville. On a hâte de partir pour l'Inde.
A notre hôtel nous rencontrons beaucoup de gens qui nous parlent de l'Inde.
On doit s'attendre à quelque chose de spécial. La thailande c'est organisé contrairement à l'Inde. C'est intéressant d'échanger avec des gens qui ont déjà voyage dans ce pays. Les opinions sont partagés, on aime ou on n'aime pas.
Il faut avoir le cœur bien accroché, pas seulement sur la question malpropreté et odeurs, mais surtout sur le côtoiement de la misère humaine.
On verras tout ça quand on y sera. 

Cette après-midi, retour dans le parc à la recherche d'un peu de fraîcheur, faut dire qu'il fait 32 celsius.

Pour souper, nous décidons de manger à la volé. Non c'est certain on ne vas pas voler, ce que je veux dire c'est qu'on se promène et qu'on essai ce que les petits vendeurs on a nous offrir.
Nous nous rendons sur la rue Khao San Road, c'est possiblement ici qu'il y a le plus de petits vendeurs de bouffes et que le choix est le plus varié.
Je me lance en premier avec un pilon de poulet sur BBQ (une petite cuisse quoi) elle est délicieuse. 
Manon se rabat sur un épis de maïs, c'est pas nouveaux ça, c'est la troisième fois qu'elle en mange. Ils sont bon ont du goût, mais pas assez chaud pour moi. 
Pendant que Manon dévore son épis, nous passons près du buffet d'insecte.
Je me prend un petit canapé, le temps que Manon finisse son épis de blé d'Inde.
<< Une sauterelle s.v.p. c'est pour manger tout de suite >>
Je veux voir si le goût est toujours le même.
Oui, le goût n'a pas changé, un petit goût de noisette.
<< Me semble que ça seras bon avec de la bière, en regardant une partie de hockey! >>
<< J'ai comme idée que tu regarderais le hockey tout seul >>
<< Ben après une couple de bière, tu en mélange une couple dans un bol de chips BBQ, personne ne verrais ça! >>
<< J'y pense! On en a des sauterelles chez-nous, y doit ben y avoir une recette sur l'Internet, ça doit pas être sorcier à faire cuire! >>
<< L'été prochain, un party de bibittes, ça feras changement des épluchettes de blé d'Inde >>
Prochaine étape, une vendeuse de champignons.
Trois brochettes de champignons différent, elle les fait cuire sur charbon de bois, badigeonné d'une petite sauce et épicé. 
Lorsqu'elle me les remets, elle me demande si je veux de ça petite sauce verte qu'elle à dans un gros bol. 
La couleur de la sauce laisse à désirer. Raison de plus pour l'essayé.
Les champignons avec cette sauce sont sublimes. 
Mais ne faite pas comme moi, le piment vert qu'il y a au bout de la brochette, c'est pour les estomacs en acier.
De toute façon, quand vous mangez des mets Thaï, ayez toujours une bouteille d'eau a porté de bouche.
Nous avons terminé notre tournée de bouffe avec une crêpe, banane chocolat.
Pas méchant. 
Je pense que je vais suggèrer à Manon de recommencer l'expérience, mais la je vous promet
des photos.